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    Le déplacement de la colonne du Châtelet
     

    Dans le cadre des aménagements du centre de Paris, la place du Châtelet est agrandie, sous la direction de l'architecte Gabriel Davioud (1824-1881). Le 21 avril 1858 à 14h30, la colonne est déplacée vers le sud-ouest de 12 mètres en 21 minutes. Le 19 mai 1858, en 4h37 avec une équipe de 136 ou...

    vriers, la colonne est surélevée pour lui adjoindre un nouveau socle. La hauteur du monument passe de 18 à 22 mètres. On voit ici l'emplacement du futur théâtre de la Ville.
    Ci-dessous: Charles Marville, Déplacement de la colonne de la Victoire, dite fontaine du Palmier, place du Châtelet, le 21 avril 1858 (1er arrondissement, Paris). Tirage sur papier albuminé.
      
      

     
     
     
     
     
     
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    Marchande de fleurs en face du 53 rue Cambon 25 juin 1918 Auguste Léon 

     

    Place de la Madeleine un dimanche matin 29 mars 1914 

     
     
     
     
     
     Quai des Grands Augustins - 1912
     
     
     
     
     
     
    Réception des maréchaux de France à l'Hôtel de Ville - 13 Juillet 1919
     
     
     
     
     
     
     
     
    Rue de la Paix pavoisée pour les Fêtes de la Victoire, avec au loin la colonne Vendôme - 13 Juillet 1919 - Auguste Léon
     
     
     
     
     
     
     
    Rue de Birague et Pavillon du Roi Place des Vosges
     
     
     
     
     
     
     
     
    Station de métro Auteuil, Boulevard Exelmans - 1er Mai 1920 - Frédéric Gadmer
     
     
     
     
     

     quelques légumes sur un marché de Paris vers 1914 (garantis sans OGM)

     

     

     

     

     

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     Sans titre (une petite fille dans une cour d'école qui ressemble à celle du film le "ballon rouge")
    © Henri Guérard

    sa petite robe du dimanche, ses petites chaussettes blanches, ses petites sandalettes neuves...

    bien coiffée avec de passer à table, en Famille...

     

     

     

    Montmartre 1959

     

     

     

     

     

     

    Menilmontant 1966

     

     

     

     

    Henri GUERARD

     

     

     

     

    Sortie d’école, Rue Julien Lacroix 1954
    © Henri Guérard

    « Ignorer Henri Guérard, c'est entraver la marche à rebours, nostalgique et parfois douloureuse, qui nous mène dans les rues et passages d'autrefois, parmi les terrains vagues et les cours, sur les traces d'une enfance qui connut la rue Vilin et le Passage Deschamps. Le photographe Henri Guérard fut le témoin de la rue du Pressoir avant sa d...
    estruction. Il réalisa, en 1960, quelques clichés où l'on voit la poussière de nos immeubles transformés en décombres. »
    Enfant de Ménilmontant, Henri Guérard n’a jamais rompu les liens avec « son village ». A 91 ans, il y est toujours solidement implanté, et, comme un villageois, connait le plus petit sentier, la couleur et le langage des murs, la moindre pierre. Il se souvient avec une étonnante fidélité des maisons, des gens, des rues, et même des arbres dont la réalité n’est plus qu’un vague souvenir.
     
    Pendant 55 ans, Henri Guérard ne s’est jamais séparé de son appareil photo, guettant le reflet d’un coucher de soleil, le cheminement d’un nuage afin de capter cette lumière si particulière du ciel parisien.
    Attentif à la vie, aux petits gestes quotidiens, aux fastes et aux joies comme à la misère et à la détresse ; familier des personnalités emblématiques, il n’a eu de cesse de tout fixer sur la pellicule.
    Des milliers de photographies de Belleville, Ménilmontant et Charonne plus tard, il s’en dégage une atmosphère de poésie, de tendresse et de nostalgie.

    Sources : http:// ruedupressoir.hautetfort.co m/ et http:// saintsulpice.unblog.fr/ pour le texte.
     
     
     

     

     

     

     

    1960 - rue du Pressoir
    © Henri Guérard 

     

     

     

    Défilé d’anciens combattants, Rue Julien Lacroix 1953
    © Henri Guérard

     

     

    1966 - passage Deschamps
    © Henri Guérard

     

     

     

    Brume, Rue Pelleport 1948
    © Henri Guérard

     

     

    Destruction du quartier “amandier” par le feu 1958
    © Henri Guérard 

     

     

    Enfants sur les hauteurs de Belleville 1966
    © Henri Guérard

     

     

    Les enfants de la rue Ramponneau 1957
    © Henri Guérard

     

     

    Gosses de Ménilmontant 1955
    © Henri Guérard

     

     

    1963 - rue du Pressoir les démolitions et la poussière
    © Henri Guérard

     

    1963 - rue du Pressoir les démolitions et la poussière
    © Henri Guérard

     

     

     

     

    Les Buttes Chaumont 1950
    © Henri Guérard

     

     

     

    Les midinetttes de la rue Vilin 1971
    © Henri Guérard

     

     

     

     

    La blanchisseuse de la rue du Pressoir 1954
    © Henri Guérard

     

     

    Ménilmontant 1950
    © Henri Guérard

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     Passage de la Duée 1950
    © Henri Guérard

     

     

     

     

    Passage des Gres 1954
    © Henri Guérard 

     

    Passage des Mûriers
    © Henri Guérard

     

     

     

    Passage Ronce 1966
    © Henri Guérard

     

     

    Rue de la Mare 1954
    © Henri Guérard 

     

     

     

    Rue des Couronnes 1959
    © Henri Guérard

     

     

     

    Rue des Couronnes et Passage Notre-Dame de la Croix XXème siècle
    © Henri Guérard

     

     

    Rue des Couronnes, sur le pont SNCF de la petite Ceinture 1945
    © Henri Guérard

     

     

    Rue des Maronites, à l'angle de la rue du Liban. Vers 1957
    © Henri Guérard

     

     

     

     

     Henri Guérard - Ménilmontant, 1950

     Ménilmontant 1950

     

     

     

     

     

     

     

    Henri Guérard.

    Ou comment se faire donner une bonne leçon par un couple fou d'amour à 80 ans.

     

    Moment de grâce.

    Face au bonheur, solide, fondé, présent; On se sent tout petit.

    La fragilité de la vieillesse et toute la force d'une vie à deux.

     

    Henri Guérard, photographe pendant 40 ans et sa femme Simone ( dite Mounette ) sont là présents, devant moi, et je les trouvent tellement plus beaux que n'importe quel couple dans un magazine.

    Henri est devenu aveugle, sa femme c'est ses yeux.

    Tout les soirs elle lui prépare une soupe, et ce geste prend tout son sens quand on voit combien ce rituel les lient.

     

    En hommage à un couple impressionnant, à un photographe de talent, et à une femme qui conserve la beauté du temps qui passe.

     

    IMG_9488.JPG

     

     

     

     

     

     

     

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