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    Vers 1910-1915    Photographie Talbot, Paris

     

     

     

    Polaire – Photographie Eugène Pirou – Vers 1905

    Polaire est une chanteuse et actrice française,

    née Émilie Marie Bouchaud le 14 mai 1874 à Alger (Algérie)

    et morte le 11 octobre 1939 à Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne).

     

    Polaire – Vers 1905  Cliché Eugène Pirou

    1905

      

      

    En 1891, Polaire, 17 ans, vint à Paris rejoindre son frère Edmond qui y exerçait au café-concert sous le nom de Dufleuve.

      

    Elle avait déjà chanté dans des cafés à Alger et continua sur cette voie. Elle se fit remarquer par son physique particulier tenant à une exceptionnelle taille de guêpe à une époque où les femmes portaient des corsets pour affiner leur taille.

      

    Elle obtint au théâtre le rôle de Claudine dans Claudine à Paris aux Bouffes-Parisiens en 1902 et se produisit aux États-Unis en 1910, puis à Londres.

      

    Elle a posé également pour les peintres Antonio de La Gandara, Henri de Toulouse-Lautrec, Leonetto Cappiello, Rupert Carabin et Jean Sala.

     

    File:Jean Sala 11.jpg

     

     

    À partir de 1909, elle interprète plusieurs rôles au cinéma. Après la grande guerre, elle se consacre surtout au théâtre.

    Elle a interprété Tha ma ra boum di hé (son plus grand succès, à ses tout débuts),

    La Glu (sur un poème de Jean Richepin),

    Tchique tchique de Vincent Scotto, et a récité

    La Charlotte prie Notre-Dame de Jehan Rictus.

    Elle est décédée le 11 octobre 1939.

     

    Polaire – Vers 1905-1910  Photographie A. Bert

     

    Sous le nom de « Mlle Polaire » elle est citée par

    le Livre Guinness des records

    comme la personne à la taille la plus fine.

    Son tour de taille aurait en effet été de 33 cm.

     

    Carte publicitaire annonçant le début de la publication de La Maîtresse du Prince Jean, de Willy, dans La Vie en Rose [N° 57 du 16 novembre 1902]

     

    Carte publicitaire annonçant le début de la

    publication de La Maîtresse du Prince Jean, de Willy,

    dans La Vie en Rose [N° 57 du 16 novembre 1902]

     

     

     

     

    Polaire with the young man she provocatively called her "slave"

    at the end of her 1910 tour of the United States

    Polaire   http://deesk.pagesperso-orange.fr/polaire-1900/index.htm

     

    Qui est la plus belle Pauline?

     

     

     

     

     

    Polaire – Vers 1900 note the poorly retouched photographer's stand which were used to help the subject keep still for the exposure.

     

     

     

    Polaire – Vers 1900 note the poorly retouched photographer's s

    tand which were used

    to help the subject keep still for the exposure.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    La Butte de Montmartre à Paris en 1848-1850

     

     

     

    La Butte de Montmartre à Paris en 1848-1850

     

     

     

     

     

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    Un jour... une histoire... 29 juillet 1907

     

    Robert Baden-Powell, fondateur du Scoutisme

     

    29 juillet 1907

      
      
    Naissance du scoutisme
     
     
    Le mouvement scout, d'un mot anglais qui signifie éclaireur, a été fondé par le général Robert Baden-Powell le 29 juillet 1907.
     
     
      
      
      
      
      
    Un héros très britannique
     
     
    Robert Baden-Powell est né 50 ans plus tôt, le 22 février 1857. Son père, professeur à Oxford, meurt prématurément et sa mère doit élever la nichée : dix frères et soeurs, au prix d'une rigoureuse organisation. C'est le début d'une vocation...
     
     
     
     
    Brillamment reçu à l'école militaire malgré de médiocres études, le jeune homme en sort sous-lieutenant du 13e hussard et part combattre aux Indes. Cavalier éclaireur (scout), il goûte le bonheur de survivre, se repérer et traquer l'ennemi dans une nature inconnue. De même que son cadet Winston Churchill, il se fait connaître en racontant dans la presse ses exploits.
     
     
     
      En 1888, le voilà en Afrique du sud, où il participe aux guerres zouloues. Il devient à 40 ans le plus jeune colonel de l'armée britannique et se fait remarquer par ses méthodes non-conformistes.  
     
     
     
    Ainsi allège-t-il la discipline et forme-t-il des commandos mobiles... à l'image de ceux qu'ont créés ses futurs ennemis, les Boers.
     
     
     
    Il constitue aussi la police montée sud-africaine en donnant la priorité à l'initiative personnelle au détriment des ordres directs. Ses policiers à cheval portent un uniforme élégant qui anticipe celui des futurs scouts, avec chemise kaki à col rabattu ornée de badges, chapeau à bord plat importé des westerns cow-boys et marqué d'un BP, rappel de la devise «Be Prepared» (Toujours prêt) !  
     
     
     
     
     
     
    Le siège de Mafeking
     
     

    Quand la guerre des Boers éclate en 1899, le colonel Baden-Powell est chargé de s'emparer de la petite ville de Mafeking, noeud ferroviaire au coeur du Transvaal. Une armée de 7.000 Boers ne tarde pas à l'assiéger. Lui-même ne disposant que 2.000 hommes mal entraînés, il va compenser son handicap par le bluff.

     

    Le colonel fait disposer un faux champ de mines autour de Mafeking, avec des boîtes de sable. Il érige aussi un fort factice à proximité de Mafeking, ce qui détourne pendant un temps les bombes de la ville !... Enfin, il recourt à des cadets de 12 à 16 ans, sans armes, pour assurer les tâches de surveillance, de soutien et de liaison.

     

    Il va supporter de la sorte un siège de 217 jours qui lui vaudra un retour triomphal à Londres et des galons de général.

     

     

     Plik:BP1907Brownsea.jpg

      
      
    Apostolat en uniforme
     

    En Angleterre, le héros de Mafeking découvre avec surprise que son manuel Aids to scouting (Instructions aux éclaireurs) est employé par des éducateurs sociaux pour former ou redresser des jeunes en perdition.

     

    Lui-même, parcourant le pays, mesure le mal-être des adolescents des quartiers pauvres. Il décide d'y remédier avec son expérience militaire et se met au service des associations caritatives. Sa réputation est bienvenue pour séduire les donateurs et recueillir des fonds.

     

    Robert Baden-Powell veut fabriquer des citoyens émérites, épanouis tant au moral qu'au physique.

     

    Le 29 juillet 1907, il entraîne sur l'île de Brownsea, dans le Dorsetshire, 24 jeunes gens à des jeux de piste. L'année suivant, il affiche son projet dans une brochure : Scouting for boys. Le scoutisme est né !

     

    Son idéal connaîtra une fortune prodigieuse...

      

    En ce début du XXIe siècle, le scoutisme réunit 16 millions de jeunes garçons et jeunes filles dans 136 pays, au sein de groupements confessionnels ou laïcs.

     

    Notons hélas aussi que le scoutisme a été dévoyé après la Première Guerre mondiale par les partis totalitaires, qui ont créé sur le même modèle des mouvements de jeunesse à leur dévotion.

     

     

      
      
    Épilogue
     

    En 1910, Robert Baden-Powell, qui a été anobli, quitte l'armée pour se consacrer au mouvement scout.

     

    Comme les bonnes volontés ne sont jamais de trop, le vieux célibataire se résout à épouser une jeune fille de 23 ans, Olave, qui lui donnera trois enfants et dirigera la branche féminine du scoutisme.

      

     

    Le héros meurt dans son lit .... au pied du Kilimandjaro, le 8 janvier 1941.

     

    Gardons de lui cette profession de foi : «Aucun plaisir n'est comparable à celui que l'on éprouve à préparer soi-même son repas sur un petit feu de braises à la fin du jour, et aucune odeur ne vaut celle de ce feu». -

     

     Robert Baden-Powell with Juliette Low

     

     

    SOURCEs

    http://acoeuretacris.centerblog.net/rub-un-jour-une-histoire-.html

     

     

    Le scoutisme (de l'anglais scout, lui même issu du vieux français « escoute » signifiant éclaireur) est un mouvement de jeunesse mondial créé par Lord Robert Baden-Powell, un général britannique à la retraite, en 1907, à Brownsea.

     

    Aujourd'hui, le scoutisme et le guidisme comptent plus de 38 millions de membres dans 217 pays et territoires, de toutes les religions et de toutes les nationalités, représentés par plusieurs associations scoutes au niveau mondial.
    Le scoutisme est un mouvement de jeunesse reposant sur l'apprentissage de valeurs fortes, telles que la solidarité, l'entraide et le respect.

     

    Son but est d'aider le jeune individu à former son caractère et à construire sa personnalité tout en contribuant à son développement physique, mental et spirituel afin qu'il puisse être un citoyen actif dans la société. Pour atteindre cet objectif, le scoutisme s'appuie sur des activités pratiques dans la nature, mais aussi des activités en intérieur, destinées plutôt à un apprentissage intellectuel.

     

    Le scoutisme s'appuie sur une loi et une promesse et est souvent laïque, bien qu'il existe des groupes religieux.


    Les membres sont appelés « scouts » (suivant le terme anglais international d'origine) ou parfois « éclaireurs » (sa traduction) dans les pays francophones. Au sens strict, ces termes désignent les jeunes gens âgés de 11 à 14 ans ou de 11 à 17 ans (lorsque le mouvement est dit unitaire). Au sens plus large, les encadrants, les animateurs ou les anciens membres sont des scouts, ou « restent des scouts dans l'âme ».

     

    Dans les pays francophones, les plus jeunes sont communément appelés des « castors », « hirondelles », « louveteaux », « louvettes », « jeannettes » ou « exploratrices » et les plus âgés des « scouts », « éclaireurs » « guides », « pionniers », « caravelles », « compagnons », « routiers », « aînés », etc. Le « scout » est connu du public par le port d'un foulard et d'une tenue plus ou moins complète.
    Le guidisme est l'équivalent féminin du scoutisme.

     

    À partir des années 1970, certains mouvements scouts ont fait le choix de la mixité (ou « co-éducation ») dans les unités, tandis que d'autres conservent aujourd'hui des unités exclusivement masculines ou féminines.

    En France, il existe près de 50 groupements se réclamant du mouvement scout. Neuf d'entre eux, regroupés en fédérations, sont reconnus par le ministère français de la Jeunesse et des Sports :



    • Les mouvements de la Fédération du scoutisme français :
    . . . • Éclaireuses éclaireurs de France (EEF)
    . . . • Éclaireuses et Éclaireurs unionistes de France (EEUF)
    . . . • Scouts et Guides de France (SGdF)
    . . . • Éclaireuses éclaireurs israélites de France (EEIF)
    . . . • Scouts Musulmans de France (SMF)
    • Les mouvements de la Conférence française du scoutisme :
    . . . • Guides et Scouts d'Europe (AGSE)
    . . . • Éclaireurs neutres de France (ENF)
    . . . • Fédération des éclaireuses et éclaireurs (FEE)
    • Ainsi que :
    . . . • Les Scouts Unitaires de France (SUF)

     

     

     

     

     

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    L'équithérapie, souvent appelée hippothérapieen Belgique, est une prise en charge thérapeutique, non conventionnelle, complémentaire au soins médicaux, qui prend en considération le patient dans son entité physique et psychologique, et utilise le chevalcomme partenaire thérapeutique afin d'atteindre des objectifs fixés en fonction de la spécialité du thérapeute1.

     

     

     

    Certaines propriétés thérapeutiques liées au cheval sont connues depuis l'Antiquité. La mise à cheval était pratiquée en Grèce dans les temples d'Esculape pour favoriser l'évolution de certaines maladies somatiques et pour fortifier les membres3[réf. insuffisante]. Les vertus du contact avec des chevaux en faisaient déjà une activité préconisée afin de soutenir l'éducation des enfants et des adolescents, et pour améliorer l'état de personnes souffrantes.

     

    « Le cheval est un bon maître, non seulement pour le corps, mais aussi pour l'esprit et pour le cœur » Xénophon, ve siècle av. J.-C..

     

    Récapituler le développement des activités thérapeutiques associant le cheval, c'est également parcourir un chemin qui va du corps vers l'esprit. Les premiers essais d'utilisation du cheval en tant qu'outil thérapeutique sont marqués par l'histoire de Lis Hartel, cavalière danoise qui décrocha une médaille d'argent en

    dressage aux Jeux olympiques d'été de 1952 à Helsinki après avoir surmonté sa poliomyélite en poursuivant une pratique équestre intensive4. Cet exploit favorisa durablement le développement de pratiques équestres adaptées avec l'implication de personnels médicaux. C'est donc par l'aspect biomécanique du cheval que s'ouvre la longue voie qui mène jusqu'à l'équithérapie telle que nous la connaissons aujourd'hui5.

     

    La seconde étape fait intervenir Renée de Lubersac, psychomotricienne, et Hubert Lallery, masseur-kinésithérapeute, qui vont ensemble chercher à théoriser les bénéfices psychomoteurs véhiculés par le contact avec le cheval. Il publieront ensemble l'ouvrage princeps La Rééducation par l'équitation en 1973, fruit d'un travail de recherche les ayant conduits dans toute l'Europe et marquant l'arrivée en France d'une discipline thérapeutique nouvelle, pratiquée par des professionnels du soin, dans l'intention spécifique de soigner6.

     

    La création de la Fédération nationale des thérapies avec le cheval, à partir de 1986, marque la libération des activités de soin de la tutelle des fédérations sportives. L'influence de Renée de Lubersac conduit également ce mouvement de soignants au sein d'un courant largement influencé par la psychomotricité, et des activités de soin orientées explicitement vers le corps7. Dès 1986, la FENTAC définit son champ d'action comme suit : « la thérapie avec le cheval est une thérapie psycho corporelle dont le but est de réaménager les fonctions psychiques et physiologiques. »

     

    La création de la Société Française d'Equithérapie, à partir de 2005, apporte un nouveau regard sur les pratiques de soin associant le cheval. Après le soin médical, le soin kinésithérapeutique et le soin psychomoteur, c'est à présent le soin psychique médiatisé par le cheval qui se voit ancré par l'apport des différents domaines de la psychologie et de la psychothérapie à l'utilisation du cheval en thérapie8.

     


    http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89quith%C3%A9rapie

     L'équithérapie, souvent appelée hippothérapieen Belgique, est une prise en charge thérapeutique, non conventionnelle, complémentaire au soins médicaux, qui prend en considération le patient dans son entité physique et psychologique, et utilise le cheval comme partenaire thérapeutique afin d'atteindre des objectifs fixés en fonction de la spécialité du thérapeute.

    Image: Henry Hintermeister

     

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