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    HISTOIRE DE L'HÔPITAL SAINT-LOUIS

    Par R. Sabouraud (1937)

     

    Ce petit ouvrage, édité en 1937 par les laboratoires Ciba, nous a été aimablement fourni par le Professeur Jacques Bardot, chirurgien plasticien à Marseille.

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    AVANT-PROPOS

    Je voudrais brièvement résumer ici l'histoire de l'hôpital Saint-Louis, depuis sa fondation sous le règne de Henri IV, jusqu'à nos jours, rappeler les conditions qui ont déterminé sa naissance et les circonstances au milieu desquelles il fut élevé; dire ensuite les événements qui survinrent et comment cet hôpital fut utilisé, rappeler enfin les hasards qui ont modifié son rôle au cours des trois siècles que déjà, il a vécus, jusqu'au, XIXe où il devint le centre même de l'Ecole Dermatologique française, sa maison-mère et si l'on peut dire : son emblème représentatif.

    En relatant succinctement cette histoire, j'éviterai les détails sans intérêt. Je n'ai pas la prétention de faire l'oeuvre complète d'un historien. En vingt auteurs qui en ont écrit avant moi, on trouvera la foule des menus faits auxquels je n'ai pas cru devoir m'arrêter.

    Par contre il m'a semblé utile de rappeler au milieu de quelles conditions sociales, urbaines et hospitalières, la création de cet hôpital fut jugée nécessaire. Autant que nous pouvons nous reporter de trois cents ans en arrière, cette vue rétrospective nous aide à mesurer les difficultés qu'on eut à vaincre à cette époque et les efforts faits par les hommes pour y parer de leur mieux, même quand ces efforts ne nous semblent pas avoir donné tout le fruit qu'ils en attendaient, ou quand le fruit s'est montré différent de celui qu'ils en avaient d'abord espéré.

     

     

     
     

     

    D'ABORD, en toute question qui, par un côté au moins, touche à l'histoire, il est présomptueux de formuler un jugement catégorique, parce qu'il est impossible à un homme d'aujourd'hui de se représenter les moeurs, les usages, les croyances, et même les nécessités d'une époque ancienne.

    Il nous suffit maintenant d'appuyer sur un bouton pour faire naître de la lumière, est-ce que nous pouvons nous représenter nous-mêmes, battant le briquet dans la nuit pour enflammer une allumette de chanvre et allumer avec elle une chandelle de suif ou de cire?

    Est-ce qu'un habitant de Paris actuel peut se représenter sa vie au XVe ou au XVIe siècle, lorsque l'alimentation de toute la ville dépendait entièrement de la batellerie venue de Melun, et que la moindre crue de la Seine faisait doubler le prix du pain. C'est une question pourtant qui remplit les chroniques du temps jadis et par exemple les Mémoires d'un bourgeois de Paris qui vivait sous Charles VII.

     

     

    De même, comprenons qu'il est impossible au médecin de se représenter l'état sanitaire d'une grande ville de ce temps-là. Certes, on peut constater la fréquence des épidémies, il en est question presque à chaque page des chroniques anciennes, mais quant à deviner ce qu'elles ont été, de quelles maladies il s'agissait, cela est tout à fait impossible. On disait toujours la peste comme on disait plus tard le scorbut mais sans parler jamais de quelque symptôme que ce soit. Si c'est la peste, il n'est jamais question de la mortalité des rats qui la précède toujours, ni des bubons pesteux qui l'accompagnent presque invariablement sur chaque malade. On pourrait croire qu'il s'est agi en beaucoup de cas, du typhus exanthématique. Quoi qu'il en soit, il n'est jamais question dans les vieux papiers, ni de la diarrhée du choléra, ni des croûtes de la variole, ni de l'angine de la diphtérie.

    En racontant les méfaits d'une épidémie, les mémoires diront seulement que les pauvres gens mouraient par milliers, qu'on en trouvait morts « sur les fumiers dans les rues ». Et ce ne sont pas des hyperboles, les registres de l'Hôtel-Dieu comptent 68.000 morts pour la seule épidémie de « peste » de l'année 1562.

    On comprend sans peine que les hôpitaux ordinaires de la ville ne pouvaient suffire en des cas pareils, mais ce qu'étaient les hôpitaux d'alors c'est ce qu'il nous est aussi très difficile d'imaginer. Et pour cela il est nécessaire de savoir comment ils étaient nés, comment ils avaient grandi.

    Au Ve siècle de notre ère, les invasions barbares avaient laissé les populations survivantes dans un état de misère sans nom. Dès VIe vie et le VIIe siècles une foule de conciles provinciaux répètent aux évêques qu'ils sont responsables devant Dieu, au temporel comme au spirituel des pauvres gens de leur diocèse. Néanmoins l'organisation des hôpitaux fut lente à se faire. Nous ignorons presque toujours la date de leur fondation. C'est plus tard que nous trouvons des chartes royales ou seigneuriales, faites pour leur assurer des ressources et permettre leur fonctionnement. Ainsi la première charte de l'Hôtel-Dieu de Paris que nous connaissions est du Xe siècle. Cependant l'Hôtel-Dieu, alors bâti à droite du parvis Notre-Dame, avait à ce moment quelques trois cents ans d'existence puisque la tradition rapporte à saint Landry la création de son personnel hospitalier. Et ['Hôtel-Dieu avait succédé à un hôpital antérieur érigé sous le vocable de saint Christophe.

     

     

    Façade méridionale de l'Hôpital Saint-Louis

     

     

    A partir de sa fondation, Hôtel-Dieu représente pour le Paris d'alors, ce qu'est l'Administration de l'Assistance publique pour le Paris de nos jours. Toutes les fondations hospitalières naquirent de lui ou par son intermédiaire. Pendant des siècles il est resté le seul hôpital de Paris. A la vérité beaucoup de veuves et de vieilles gens mourant sans hoirs, faisaient héritiers les pauvres de leur paroisse, il y avait donc beaucoup de fondations pieuses, isolées, les unes faites par des particuliers, d'autres par des seigneurs, même par des rois, mais souvent dans un but spécial et limité, comme l'Hospice des Quinze-Vingts qui, à son origine avait abrité trois cents chevaliers revenus aveugles de la Croisade. Ces diverses fondations, sans lien commun, et sans direction commune, ne rendaient pas grand service à l'ensemble de la population. Et puis, surtout, la ville grandissait; il fallut bien songer à bâtir de nouvelles maisons hospitalières. On les conçut tout naturellement comme des filiales de l'Hôtel-Dieu.

    La première fut créée dans le faubourg Saint-Marcel et sous le nom de saint Marcel. Durant très longtemps, cette maison put suffire aux besoins de la rive gauche et du quartier universitaire. Elle persista jusque sous Louis XIII, gardant son nom et son rôle. Ce fut Anne d'Autriche qui la supprima pour la remplacer par l'hospice Sainte-Anne, appelé ainsi de son nom, nom sous lequel il existe encore aujourd'hui. La seconde filiale de l'Hôtel-Dieu, fut l'hôpital Saint-Louis: mais sa construction ne fut décidée que dans les dernières années du XVIe siècle. Nous y reviendrons tout à l'heure.

     

     

    La grande cour.

     

     

    Il nous est presque impossible aujourd'hui de nous représenter le manque d'hygiène et de propreté des populations à cette époque, et dans toutes les classes de la société. D'abord la rareté de l'eau dans les villes rendait la propreté, difficile. Montaigne s'élevait encore contre les gens de son époque, vivant la peau «estoupée de crasse ». Les étuves d'origine gallo-romaine étaient devenues dès le haut moyen âge, des sortes de maisons publiques très décriées. La rue des Etuves-Saint-M.artin nous indique encore l'emplacement de l'une d'entre elles. En fait, il n'y avait de propreté que chez les filles galantes. Presque tout le premier christianisme et les ascètes avaient prêché la haine du corps, ne pouvant voir en lui que l'instrument du péché. Ainsi les femmes honnêtes en arrivaient à se faire gloire de leur malpropreté, comme faisant la preuve de leur vertu. Je voudrais bien être sûr qu'on ne trouverait pas en certains coins de nos provinces, quelques restes de ce préjugé.

    Quant à ce qu'était un hôpital au Moyen Age, il est aussi très difficile pour nous de l'imaginer. Il y avait d'abord toute une population de pauvres diables qui en vivaient. Ensuite l'hôpital était toujours plein parce qu'il y avait un très grand nombre de maladies, bénignes en soi, mais qu'on ne savait pas guérir. La pouillerie et la gale étaient de ce nombre. On croyait encore que certains malades devenaient pouilleux spontanément et que leur peau engendrait les poux. On considérait donc comme impossible de les débarrasser de leur vermine, et on ne l'essayait pas. On comprend le nombre d'infestations qu'ils devaient semer autour d'eux. En fait, tous les malades hospitalisés devenaient pouilleux du fait de leur hospitalisation. Le pou étant le véhicule du typhus et le porteur intermédiaire de son germe, il est donc bien à croire que la soit-disant peste du Moyen Age était le plus souvent du typhus exanthématique.

    Ce qui arrivait pour les poux arrivait de même pour la gale. C'est une maladie que l'on guérit aujourd'hui en vingt minutes, mais réfléchissons que sous le premier Empire on la traitait encore par des cures de petit lait pendant six mois et davantage, jusqu'à ce que les pommades soufrées eussent révélé leur vertu curatrice. Encore fut-il beaucoup discuté à ce moment pour savoir s'il n'était pas dangereux de guérir la gale aussi vite, sans prévenir par un traitement général les répercussions que la guérison pouvait avoir sur la santé générale. (Il y aurait un beau chapitre à écrire sur le rôle de l'imagination chez les médecins ! )

    Dans toutes les grandes villes, il y avait deux catégories de pauvres : les vrais et, les faux ; ceux-ci se faisaient mendiants pour le profit et par paresse, et beaucoup arrivaient à se faire nourrir par les hôpitaux. A. diverses reprises on vit évacuer plus tard sur Saint-Louis les services de malades chroniques de l'Hôtel-Dieu, parmi lesquels des truands qui faisaient la loi.

     

     

    Comment comprendre ce qu'était un hôpital comme l'Hôtel-Dieu ? Imaginez d'abord que toutes les fièvres éruptives sont. méIangées et méconnues, y compris les varioles. On distingue nettement les fièvres intermittentes des fièvres continues, celles-ci nommées putrides étaient surtout notre, fièvre typhoïde, et Dieu sait si, avec l'usage exclusif des puits, à proximité des puisards, l'eau d'alimentation devait être contaminée.

    De tous temps les hôpitaux Comme l'Hôtel-Dieu avaient eu des consultations externes, souvent faites par un chanoine ou un médecin noir gradué, et qui comportaient d'habitude une distribution de pain. C'est par cette consultation sans doute que se recrutaient les malades hospitalisés à moins qu'ils ne fussent amenés d'urgence.

    Ce qu'était l'hospitalisation à cette époque, parait à la nôtre un peu effarant. Jamais ou presque jamais un malade ne couchait seul ; il y avait trois ou quatre malades dans un même lit, quelquefois cinq., quelquefois plus, en temps d'épidémie. Cela paraissait alors tout naturel et, l'habitude nous dresse à ne nous étonner de rien. Ce fait qui nous parait quasi monstrueux s'est perpétué jusqu'à la veille de la Révolution. C'est le ministre Necker qui s'insurgea le premier contre cette coutume barbare et qui voulut qu'elle cessàt. Avec les lits communs à quatre et cinq malades, la police des salles était quasi impossible ; les batailles entre les malades d'un même lit. qui ne pouvaient pas se souffrir se terminaient par l'expulsion du plus faible ou du plus gênant qui s'en allait mourir par terre. C'étaient là des spectacles de tous les jours. Le personnel hospitalier était obligé à tout instant de faire intervenir les archers.

     

     

    S'il en était ainsi en temps normal, quel spectacle pouvait présenter un hôpital en temps d'épidémie? A une époque où l'on savait si mal ce qu'il eût fallu faire contre elles, elles se reproduisaient presque chaque année.

    Le développement de l'Hôtel-Dieu, resserré entre les bâtiments voisins ne pouvait se faire comme l'accroissement de la population l'aurait voulu. On sait que plus tard l'Hôtel-Dieu éleva, sur la rive gauche de la Seine, une annexe à laquelle un pont franchissant le petit bras de la Seine le réunissait. Mais avant que cette solution intervint, on se contentait d'élever les étages ou de multiplier les bâtiments aux dépens des espaces libres. On en avait élevé partout. Il fallut une catastrophe pour mettre fin à ces errements et ce fut l'incendie de l'Hôtel-Dieu en 1773.

    De même pour décider de la construction de l'hôpital Saint-Louis, il avait fallu trois ou quatre épidémies de « peste » en dix ans. Vraiment, les évêques et les médecins recommandaient bien, en temps d'épidémie de ne pas mélanger les contagieux aux autres malades. Mais que faire contre une accumulation qui avait pour cause le manque de place et le manque de lits. Et puis, on discutait toujours sur les causes de la contagion. Même parmi les médecins, beaucoup croyaient à l'influence des constellations sur la naissance et le développement des épidémies. De telles imaginations rendaient illusoire la prophylaxie des maladies infectieuses, et empêchaient même de la croire possible. On implorait le ciel : « Quis contra Deum, sine Deus ipse ?» Alors on multipliait les processions...

    Pourtant on avait bien su au XIIe et au XIIIe siècles prendre contre la lèpre et les lépreux les mesures de ségrégation et d'isolement qui convenaient, mesures draconiennes correspondant à la cruauté des temps, mais mesures utiles. A coup sûr on avait dû enfermer avec les lépreux beaucoup d'eczémas et de psoriasis qui n'avaient rien de commun avec la lèpre, mais on était parvenu à isoler et sequestrer tous les malades. L'histoire montre que cet isolement rigoureux atteignit son but.

    Or, en ce qui concernait toutes autres maladies épidémiques, comme la peste ou ce qu'on appelait de ce nom, rien n'avait été prévu de semblable.

     

     

    Lorsque au cours d'une épidémie, les malades nouveaux affluaient, on essayait d'abord de les parquer séparément, très vite on se trouvait forcé de les mélanger aux anciens, faute de place. Alors couchaient côte à côte contagieux et non contagieux. On conçoit l'extension que prenaient les épidémies et ce qu'était la mortalité parmi le personnel hospitalier. On pourrait presque dire qu'un hôpital ainsi compris n'avait qu'un but effectif, celui de capter les malades venus du dehors et d'en finir avec la maladie par leur mort.

    La question se pose, et elle a été scientifiquement étudiée, de savoir comment une épidémie ainsi traitée pouvait s'éteindre et ne persistait pas indéfiniment. Les épidémies comme les maladies ont leur cause, leur loi de naissance et d'accroissement, de diminution et de mort. Les épidémies finissaient donc par s'éteindre mais sans qu'on ait su limiter leurs ravages. On ne contestait pas l'utilité de l'isolement s'il eût été réalisable, mais alors il ne l'était pas. Paris grandissait toujours, et il n'avait toujours qu'un hôpital d'autrefois, son Hôtel-Dieu déjà trop petit pour les besoins normaux de la population. Quand survenait une épidémie sévère, les moyens hospitaliers précaires en temps normal devenaient tout à fait insuffisants. L'évidence du fait devint si frappante qu'à la suite d'une série d'épidémies lamentable, on projeta d'établir une succursale de l'Hôtel-Dieu, destinée à ne servir qu'au temps des épidémies, et qu'on fermerait après elles. On pensa d'abord augmenter l'importance du Sanitat déjà existant au faubourg Saint-Marcel, mais cet établissement pouvait à la rigueur suffire pour la rive gauche. C'est surtout sur la rive droite de la Seine que Paris s'agrandissait et, de ce côté, il n'y avait aucun hôpital. On chercha donc un emplacement possible au nord de Paris et hors les murs. Le choix se porta sur des terrains de culture situés entre le vieux chemin de Pantin devenu de nos jours la rue de la Grange-aux-Belles, le faubourg du Temple et la rue Saint-Maur qu'on disait : le chemin Saint-Maur, autrefois. Ces terrains dépendaient de la paroisse Saint-Laurent, ils appartenaient pour une part à la maison de Saint-Lazare, pour une autre à l'abbaye de Saint-Martin-des-Champs. On possède encore les contrats passés pour l'achat du terrain et le nom des vendeurs. Et ceci se passait en 1607. Le 19 du mois de mai, le roi Henri IV, signait l'Edit qui fondait l'hôpital Saint-Louis, et dont on possède le texte dans son intégralité.

    Sans doute, l'édit aurait-il tardé davantage si en la fin du XVIe siècle les épidémies ne s'étaient pas multipliées -- car de tous temps les pouvoirs publics ont reculé devant les décisions onéreuses -. Mais après la peste si cruelle en 1562, une autre était survenue en 1596 où l'impossibilité de tout isolement avait été démontrée. Enfin, en 1606 survint une épidémie nouvelle qui causa beaucoup d'effroi, ayant fait quelques victimes dans l'entourage de la cour.

    Et c'est ainsi qu'avait été décidée la fondation d'un hôpital intermittent, spécialement destiné à soigner les pestiférés, ou comme on disait alors « les Empestez ». En souvenir du roi Saint Louis, mort de la peste devant Tunis en 1270, cet hôpital appelé d'abord Maison de la Santé devint l'hôpital Saint-Louis.

     

     

    Premier plan de l'Hôpital Saint-Louis portant la signature de Maximilien de Béthune (Duc de Sully).

     

     

    Certainement l'édit du roi avait été prévu d'avance car moins d'un mois après lui, trois plans étaient présentés au Roi qui choisit l'un d'eux. Ce plan exécuté sur parchemin est encore aux Archives de l'Assistance publique et porte le contre-seing, du grand voyer de France : Maximilien de Béthune, duc de Sully. Ce plan avait été établi par Claude Vellefaux « maître masson-juré, ès oeuvres de massonneries du Roy ».

    Il est toujours surprenant de voir combien, à travers les âges et les révolutions, nos coutumes restent les mêmes, étant dictées par la nature des choses. Comme de nos jours, les travaux furent mis par voie d'affiche en adjudication. Le Bureau constitué par les gouverneurs de l'Hôtel-Dieu se réunit quatre fois, trouvant chaque fois les rabais proposés insuffisants. Et comme il arrive encore, il exigea de tels rabais que le premier entrepreneur allait s'y ruiner.

    Au moins les choses furent-elles menées sans retard car les bâtiments principaux étaient déjà piquetés sur le terrain, lorsque deux mois après son édit, le roi Henri IV vint poser la première pierre de la chapelle. L'architecte, directeur et surveillant des travaux, et qui devait y paraître au moins une fois par jour, était Claude Vellefaux et l'entrepreneur Antoine le Mercier. Une armée de pauvres diables --- les chômeurs d'autrefois --- envoyée par Messieurs de la Police fut employée au transport des matériaux. On leur donnait leur nourriture et quelque argent. Les travaux furent rondement menés malgré la déconfiture du premier adjudicataire, et le gros oeuvre fut terminé en trois ans. Le premier office religieux célébré dans la chapelle, fut la messe mortuaire du roi Henri IV, assassiné par Ravaillac (1610).

    Naturellement, les autorités religieuses stimulaient la curiosité et la piété des fidèles en accordant un pardon et des indulgences aux visiteurs de la chapelle qui apportaient leurs aumônes pour l'achèvement de la construction. La chapelle, alors située au bord même de la route de Pantin est une oeuvre simple, mais très caractéristique de l'époque. Sa façade charmante sur laquelle la forme même de la nef est dessinée, comporte deux statues dont nous avons encore le bordereau de commande portant mention du prix convenu : quatre-vingt-dix livres tournoys. S'il existe encore des cloches dans le petit campanile, ce ne sont plus, je le crains bien, celles qui furent commandées en juillet 1609 au maître-fondeur Le Moyne « bien sonnantes et accordantes l'une avec l'autre ».

     

     

    Dans un hôpital, la chapelle était toujours le premier bâtiment construit, et souvent comme ici, à demi hors de l'hôpital, de façon à pouvoir servir de paroisse aux habitants du voisinage. La chapelle faisait donc saillie sur le chemin et le choeur seul était engagé dans l'enceinte de l'hôpital, de telle façon que la population civile et hospitalière y pussent chacune trouver leur place.

    C'est au chevet de la chapelle que se trouvait l'entrée majeure de l'hôpital : un petit pavillon charmant qui abrite aujourd'hui le laboratoire Alibert. Au-dessus d'une porte aux jambages saillants, aujourd'hui murée, est le buste en bronze du Béarnais. Sous cette porte, partait le large escalier conduisant aux grandes salles de l'hôpital. Le plan de cet établissement immense est d'une remarquable simplicité, mais son ensemble est de proportions gigantesques. L'hôpital proprement dit forme un quadrilatère de 120 mètres de côté, limitant une grande cour intérieure et entourée d'un chemin de ronde large comme un boulevard. Ce quadrilatère présente en ses quatre angles, quatre énormes pavillons construits en brique et pierre, massifs et coiffés de toitures indépendantes. Ils sont reliés les uns aux autres par les quatre faces du quadrilatère, hauts murs blancs, de pierre, percés de longues fenêtres dont le sommet découpe le rebord des toits. Et chaque façade en son milieu présente une répétition des pavillons d'angle, un bâtiment de même dimension, construit en brique et pierre comme eux, dont le toit indépendant est couronné d'un clocheton ou campanile.

     

     

    Au premier plan, à droite, l'Hôpital Saint-Louis.

     

     

    L'ensemble est d'une simplicité de dessin, et d'une homogénéité parfaite. L'extérieur même des bâtiments démontre le but de leur construction, les longues fenêtres parallèles éclairant du haut en bas les salles d'hôpital, immenses et semblables à des nefs d'église; les grands pavillons à plusieurs étages signalant les services accessoires des salles et aussi leurs voies d'accès.

    En dehors de cette masse quadrangulaire qui constitue dans l'hôpital la partie réservée aux malades, étaient construits quatre groupes de bâtiments bordant le chemin de ronde et symétriques deux à deux, ceux-ci destinés aux différentes catégories du personnel et aux services généraux.

    En dehors de ces annexes étaient des terrains de culture limités par un mur d'enceinte muni de petits pavillons pour les jardiniers. Au fond de ce considérable domaine était un bâtiment isolé dit : le Pavillon royal. L'ensemble conçu et exécuté d'un seul jet, par un maître architecte, était d'une conception si belle, si claire, si parfaite et si homogène que la reproduction en devait tenter tous les artistes de cette époque. Beaucoup de graveurs se sont essayés à le reproduire et beaucoup d'épreuves nous sont parvenues de leurs essais. Elles montrent que dans son ensemble l'oeuvre d'autrefois est presque demeurée intacte et qu'elle a peu souffert en dépit de quelques destructions et appropriations regrettables. En considérant ces reproductions, on se rendra compte, mieux que par aucune description, de ce qu'étaient la conception de Claude Vellefaux et la réalisation qu'il en avait faite. L'ensemble donne une idée parfaite de la façon dont on comprenait alors ce que devait être un hôpital de contagieux.

     

     

    Un angle intérieur de la grande cour.

     

     

    Cependant, certaines particularités méritent pour des raisons diverses d'être soulignées. Il est curieux par exemple de remarquer, dans un établissement de cette importance, des malfaçons accusant une économie excessive dans la construction. D'abord ce monument immense fut construit, sans aucun sous-sol, sans aucune fondation profonde. Fut-ce vraiment par souci d'économie? Ou bien la nature du terrain put-elle faire craindre que des caves en sous-sol y fussent perpétuellement inondées? Je ne sais. Un ruisseau descendant de Ménilmontant côtoyait le nouvel hôpital pour aller se perdre vers la rue actuelle des Marais. En vérité, tout ce terrain alors consacré aux cultures maraîchères était fort marécageux. Lors de la fondation de l'hôpital, ce ruisseau pouvait infiltrer les terres de son voisinage et rendre aléatoire l'établissement de caves au-dessous des bâtiments. L'architecte usa donc d'un subterfuge. Tout l'étage construit au ras du sol sur trois mètres de hauteur fut considéré par lui comme un sous-sol à ciel ouvert et attribué à des celliers, à des resserres, à des magasins. Et ce rez-de-chaussée, voûté, forma le sous-sol aéré de l'hôpital. Ce ne fut que beaucoup plus tard, en 1798, je crois, que l'affluence des malades fit attribuer à des services hospitaliers tout ce rez-de-chaussée qui a l'origine n'avait pas du tout été fait pour eux.

    C'est pour la même raison qu'à l'époque de la fondation de l'hôpital, trois grands escaliers extérieurs montaient directement au premier étage alors seul attribué aux malades. On supprima plus tard ces escaliers et c'est ainsi qu'en plusieurs des pavillons de façade, on n'accède plus au premier étage que par ce qui était autrefois des escaliers de service.

    La grande entrée de l'hôpital était située, je l'ai dit, immédiatement derrière le chevet de la chapelle. En bas d'un pavillon carré de forme harmonieuse, une belle porte cintrée à claveaux saillants surmontée du buste du roi, conduisait au grand escalier d'honneur, démoli vers 1885, escalier couvert, continué par une longue galerie qui franchissait le chemin de ronde. C'est par ce passage que l'on accédait normalement aux salles de malades. La cage de cet escalier est devenue maintenant l'un des laboratoires de l'hôpital.

    Les salles de malades, hautes comme des nefs, à poutres apparentes et dont le plafond est lambrissé en voûte, à huit mètres de hauteur, communiquaient toutes entre elles autour de l'immense quadrilatère de cent vingt mètres de côté. Depuis lors, elles ont été découpées de cloisons vitrées montant jusqu'aux voûtes et interrompant la continuité des salles, mais Tenon, dans son inspection de 1787, a décrit encore les salles communicant librement l'une avec l'autre. Le chauffage de salles pareilles était impossible avec les moyens de l'époque. On s'était contenté de construire par place d'énormes cheminées dont quelques-unes existent encore. Naturellement, aucun chauffage n'avait été prévu pour les magasins du rez-de-chaussée.

     

     

    Une salle du rez-de-chaussée dans les anciens magasins de l'Hôpital. Dessin de René Fath (1886)

     

     

    Dans l'ensemble, cet immense édifice construit sans fondations a peu bougé. Cependant, sur deux points, dans l'ancien pavillon du milieu de la façade ouest et dans le bâtiment attribué à la communauté, de graves tassements et des fissures se produisirent il y a quarante ans, obligeant à des travaux de fondation en sous-oeuvre, et même à des réfections partielles. C'est alors qu'on s'est aperçu des malfaçons singulières dans l'exécution des maçonneries. Extérieurement les quatre pavillons d'angle montrent une succession de pierres angulaires qui donnent l'impression d'une solidité absolue, mais lorsqu'on fut obligé à une reconstruction partielle, on s'aperçut que chaque pierre de taille avait été resciée en diagonale de façon à faire deux pierres avec une seule. En façade, elles semblent énormes, mais à leur extrémité, elles n'ont pas plus de deux doigts d'épaisseur. On se rappelle alors que le premier entrepreneur Le Mercier, ayant soumissionné l'entreprise à un prix trop bas, fut acculé à la faillite ; il faut croire que ses malfaçons n'avaient pas suffi à équilibrer les dépenses. Il fallut procéder à de nouvelles adjudications pour achever l'édifice.

    En dépit des fautes de technique que l'on peut relever dans l'exécution, le monument, dans son ensemble a passablement résisté. A l'usage, il a subi beaucoup d'injures, mais beaucoup plus de la part des hommes que des siècles. Il garde encore aujourd'hui sa grande figure et sa majesté. L'immense quadrilatère avec ses murs aux longues fenêtres et ses massifs pavillons de brique, représente un ensemble géant, d'une harmonie et d'une unité saisissantes.

    La cour intérieure aussi paraît immense. Tout autour d'elle, accotées aux murs, de petites tourelles carrées montées en briques, correspondent aux offices de chaque salle. D'autres sont des tours d'escaliers. L'ensemble est une joie pour l'oeil. Partout les hautes fenêtres empiètent sur les toits ce qui les découpe de la façon la plus élégante et la plus jolie. Dans l'ensemble, on remarquera l'emploi judicieusement combiné de la brique et de la pierre. En façade, tous les pavillons centraux et les pavillons d'angle, et sur la cour, les pavillons d'escalier et les pavillons d'office sont construits en briques, avec leurs angles et le tour de leurs fenêtres montés en pierre de taille, tandis que tous les murs plats sont de maçonnerie, laissant voir autour des fenêtres et entre elles des chaînes apparentes en pierre de taille. L'ensemble que le temps sans doute s'est chargé d'harmoniser est étonnamment heureux. L'énorme cour intérieure plantée d'arbres centenaires, de vieux acacias et de vieux ormeaux rappelle en plus grand les cours intérieures des béguinages, dans les Flandres.

     

     

    Passage couvert réunissant à l'Hôpital les anciens bâtiments de la communauté.

     

     

    Quand on songe aux immenses surfaces symétriques du bâtiment et à la monotonie qu'elles eussent pu engendrer pour l'oeil, on se rend compte de la variété que le mélange de la brique et de la pierre lui apporta. En outre, les multiples redans que font sur les surfaces murales planes, les pavillons d'office et les pavillons d'escalier, chacun couronné de son toit distinct; tout cela met dans l'ensemble une variété, extrêmement ingénieuse, sensible à l'oeil même d'un Barbare.

    Paris contient très peu de monuments de cette époque et de ce style, et quand on a énuméré la place des Vosges, la façade sur la rue Vivienne de la Bibliothèque nationale, l'ancienne bibliothèque de l'Arsenal et l'actuel Collège Massillon sur le quai Henri-IV à l'angle de la rue du Petit-Musc, on a énuméré presque tous les édifices de ce style que Paris contient. Ensuite il faut aller au Palais actuel de l'Institut dont les admirables pavillons rappellent certes, par leurs proportions ceux de l'hôpital Saint-Louis. Mais ils en diffèrent par la nature des matériaux employés et le type de leur décoration.

    En somme, chaque époque a laissé dans Paris quelque monument caractéristique, et c'est ce qui fait de la "grand'ville" un amoncellement de chefs-d'oeuvre. Mais il y eut des époques fécondes et d'autres dont les oeuvres sont rares. Telle fut la fin du XVIe et le premier début du XVIIe siècles. C'est pour cela que l'hôpital Saint-Louis, en dehors de sa valeur propre, architecturale, fixe tout spécialement l'attention. Vraiment, très peu de monuments dans Paris peuvent lui être comparés.

     

     

    A l'esprit de celui qui parcourt cet hôpital pour la première fois, c'est une surprise de considérer l'extrême largeur du chemin circulaire qui fait le tour des bâtiments hospitaliers. Cette surface, occupée maintenant par des plantations et des plates-bandes, a près de quarante mètres de large. Cet espace libre dégage supérieurement la masse de l'édifice et lui assure toute sa grandeur. Mais ce large chemin circulaire avait son utilité. C'était un chemin de ronde gardé de jour et de nuit, soit par des hommes armés, soit par des chiens, pour éviter l'évasion des

    contagieux.

    N'oublions pas qu'à son début et pendant un siècle, l'hôpital Saint-Louis fut un hôpital temporaire très ordinairement vide, occupé seulement pendant la durée des épidémies. Alors il devenait presque une prison. Lorsque survenait une épidémie, l'Hôtel-Dieu constituait une véritable mission, une caravane, comprenant les chapelains, le personnel hospitalier et les soeurs de Saint-Landry, les médecins, les apothicaires et tous les services accessoires d'un hôpital : cuisine, buanderie, literie, magasins. Tout ce personnel devait être enfermé dans l'hôpital Saint-Louis jusqu'à la fin de l'épidémie et rester pendant tout ce temps sans communication d'aucune espèce avec l'extérieur. Et même, le personnel général ne communiquait avec le personnel proprement hospitalier que par des tours qui évitaient tous les contacts directs.

     

     

    Entrée ancienne de l'Hôpital. Ce pavillon était la cage de l'escalier conduisant aux salles de malades.

     

     

    C'est au delà de ce très large chemin de ronde que tous les pavillons des services annexes de l'hôpital étaient distribués d'ailleurs avec un remarquable souci de leur élégance particulière, de leur symétrie ou de leur asymétrie voulue, et un égal souci de leur valeur décorative dans l'ensemble.

    Imaginez autour du quadrilatère central et massif constituant l'hôpital proprement dit, un second quadrilatère beaucoup plus grand et séparé du premier par le chemin de ronde. Supposez que de ce quadrilatère immense on ait conservé seulement les quatre angles en équerre et par-ci, par-là, des pavillons de porterie, vous aurez l'ensemble des services annexes de l'hôpital. C'était d'abord et d'une part le bâtiment de la Communauté, de l'autre celui des Médecins, chacun d'eux réuni au pavillon d'angle correspondant par une galerie couverte à un étage qui enjambait le chemin de ronde et dont celle qui demeure en partie intacte est de proportions charmantes. Aujourd'hui que la grande entrée de l'hôpital est reportée du côté sud, on se rend mal compte de la symétrie primitive de ces deux annexes. On ne la retrouve que si on se place à l'entrée ancienne de l'hôpital derrière la chapelle.

    Ces bâtiments disposés chacun en équerre sont parmi les joyaux de l'hôpital. Le pavillon Lugol, situé au nord-ouest est un bijou, avec ses fenêtres dont les combles empiètent sur les toits, avec ses portes de forme et de proportions harmonieuses, avec le pavillon extérieur dans lequel est inclus l'escalier et les jolies lucarnes aérant et éclairant le dessous des toits. A ce pavillon demeuré intact, fait face au sud-ouest, le bâtiment d'administration, beaucoup moins respecté par elle, et dont les charmantes lucarnes ont été remplacées par des vasistas anachroniques.

    Hélas! le pauvre hôpital eut à subir de plus gros outrages. Autrefois, un établissement de cette importance était supposé, comme un château seigneurial pouvoir vivre sur lui-même. Il était donc le centre d'un domaine où se cultivaient les arbres fruitiers et les légumes du potager. On avait même établi un jardin botanique pour approvisionner de simples, l'apothicairerie, et c'est sur ce domaine alors libre de toute construction sauf quelques menus pavillons de jardiniers, et clos de hauts murs, que l'Assistance publique a construit depuis quarante ans une multitude de bâtiments parasites qui ont à peine respecté l'ordonnance ancienne de l'oeuvre de Claude Vellefaux. Ce furent d'abord des bains, et puis des bâtiments pour le personnel, d'autres pour des services nouveaux, pour une Maternité, qui vient toucher le délicieux pavillon Lugol. On comprend que de nouveaux besoins ou de nouveaux usages obligent à des créations nouvelles, mais peut-être serait-on en droit de demander aux architectes de l'Administration et aux Commissions qui les jugent un peu plus de respect du passé et de compréhension des chefs-d'oeuvre qu'ils massacrent. Cependant, ici et là, deux petits pavillons de jardinier existent encore, et aussi le haut Pavillon royal ou Pavillon Gabrielle, qui marquait le fond du domaine et dont une tradition encore vivace, apparemment fausse, attribuait l'origine aux écuries de la Belle Gabrielle.

     

     

    Façade méridionale de l'Hôpital vers 1830 (Musée Saint-Louis)

     

     

    L'ouest du domaine, région centrée par la chapelle, est celle qui a le plus souffert des constructions surajoutées, soit que les architectes modernes aient distribué comme au hasard leurs bâtiments nouveaux, soit qu'ils aient prétendu, comme a l'Ecole Lailler [1], rappeler avec leurs constructions l'architecture ancienne du vieil hôpital. Dans ce cas en effet, le contraste est pire.

    Le manque de proportions et d'homogénéité devient, criant, et aussi le manque de génie des successeurs de Claude Vellefaux. Mais à quoi bon récriminer ; tant qu'il dure, un monument doit s'accommoder à l'usage qu'on en fait. Tout ce qui vit se modifie incessamment et les monuments comme le reste. Par contre, un fait bien caractéristique de l'époque où l'hôpital fut construit, c'est que les architectes qui avaient bien pensé à la lumière, à l'aération, ne s'étaient aucunement préoccupés de l'adduction d'eau potable, ni de la question des égouts. Et l'on supposait à l'hôpital une population de onze cents malades! Il est vraisemblable que les jardins de l'hôpital, comme ceux de Versailles sous le grand Roi, devaient servir de champ d'épandage. A grand'peine avait-on rempli, sans doute avec l'eau des toits, quelques bassins pour les lavandières et le service de la buanderie; quant aux eaux polluées, elles s'en allaient vers un puisard, bientôt rempli et nauséabond,

    Plus tard on ira chercher au loin une source qui était propriété royale pour l'amener sur place, mais l'eau en était séléniteuse, et le plus simple pour l'Administration sera enfin de faire marché avec des porteurs d'eau pour amener chaque jour "deux muyds d'eau de Seine" à l'hôpital. (Deux muyds faisaient six barrriques de 250 litres, soit 1500 litres).

    On voit aussi à maintes reprises l'Administration faire requête aux autorités pour qu'elles assainissent la région. A cette époque c'était la zone, et une zone assez décriée, car l'ancien gibet de Montfaucon était proche. Le vieux chemin de Pantin devenu aujourd'hui la rue de la Grange-aux-Belles y conduisait. On le trouvait sur la gauche quelques cent pas plus loin, vers la place actuelle du Combat, je pense. Au pied- du gibet, les voisins venaient amonceler leurs détritus et leurs gadoues, et comme les usagers de l'hôpital devaient faire de même on conçoit les récriminations du personnel et des malades. Quoi qu'il en soit, à cette époque jamais ne serait venu à l'idée d'un architecte, qu'avant même de construire un bâtiment il devait s'inquiéter de l'apport d'une eau propre et de l'élimination des eaux usées.

     

     

    Vue de la cour intérieure vers 1830

     

     

    L'hôpital Saint-Louis y compris les combles et les annexes fut terminé en 1612. Mais les salles ne furent ouvertes aux malades qu'en 1616, et c'est deux ans plus tard qu'une épidémie de « peste » se déclara. Pendant vingt ans l'hôpital resta ouvert, avec des contagieux en permanence. Epidémie de peste, dit-on toujours, peut-être épidémies diverses et dont certaines furent violentes car dix-sept religieuses furent contaminées. Toutefois, à la fin de l'année 1636, l'épidémie fut éteinte et l'hôpital évacué.

    Il fut rouvert en 1651, pendant la Fronde. On se battait sous les murs de Paris; l'hôpital Saint-Louis reçut des blessés de la bataille du faubourg Saint-Antoine. Ensuite l'hôpital est de nouveau fermé et on ne parle plus de lui.

    En 1670, nouvelle et grave épidémie. Cette fois elle est baptisée « scorbut », elle dura peu, et six mois après, de nouveau l'hôpital ferma ses portes. Chose étrange, depuis lors, il ne fut plus jamais question de peste ou de ce qu'on avait appelé ainsi, mais toujours de scorbut, et ce scorbut pourrait avoir été de la diphtérie (1693).

    A cette époque une grande disette augmenta la misère et la mendicité et, pour un an, l'hôpital Saint-Louis servit de dépôt de mendiants et de vagabonds. En 1709, nouvelle épidémie de scorbut. On place 800 malades à l'hôpital Saint-Louis qui ne ferme ses portes qu'en 1710. Et la même histoire se répète en 1729.

    Cependant, l'hôpital Saint-Louis très souvent inoccupé, tentait parfois les pouvoirs publics en quête de locaux pour divers besoins de la ville ou de l'Etat. Déjà en 1719, le Régent voulut y transférer les ateliers de la Monnaie, mais les représentations du Conseil d'Administration de l'Hôtel-Dieu firent avorter ce projet. En 1731 et 1740, le lieutenant général de police, d'ordre du Roi, convertit l'hôpital en magasin ou plutôt en entrepôt de blé.

     

     

    En outre, pour la seconde fois en 1749 on y enferme pendant l'hiver, les mendiants valides et vagabonds qui infestaient Paris. Notez qu'une statistique de l'époque porte à 40.000 le nombre des mendiants de Paris.

    Cependant en 1658, Louis XIV avait institué, en marge de l'Hôtel-Dieu et de ses filiales : l'Hôpital général qui renfermait les pauvres et les faisait travailler. L'hôpital général avait son centre à la Pitié et comprenait la Salpêtrière, l'hospice de Bicêtre, les Enfants trouvés, l'hospice du Saint-Esprit et de Vaugirard, etc... Avec l'institution de l'Hôpital général, la décentralisation hospitalière commençait.

    En 1754, on ouvre de nouveau l'hôpital Saint-Louis pour dégorger l'Hôtel-Dieu encombré de plus de 1.200 scorbutiques. L'occupation de l'hôpital Saint-Louis se, prolongea. Il reçut 4.000 malades. On ne le ferma qu'en 1767.

    Enfin, en 1773 l'Hôtel-Dieu brûla. On transporta en hâte à l'hôpital Saint-Louis, les malades retirés de l'Hôtel-Dieu. Désormais l'hôpital Saint-Louis ne sera plus fermé. On discuta longtemps pour savoir si l'Hôtel-Dieu serait reconstruit. Necker-voulait avec grande raison disséminer partout dans Paris des hôpitaux où il y eut un lit pour chaque malade et qui seraient indépendants. On projetait de grandes réformes. Le baron de Breteuil annonçait la volonté du Roi de démolir l'hôpital Saint-Louis et l'hospice Sainte-Anne pour les reconstruire et, comme on dit aujourd'hui, les moderniser.

    .Mais les événements se précipitèrent. En 1791, l'Administration générale des Hôpitaux et Hospices avait remplacé les gouverneurs de l'Hôtel-Dieu et nous entrons à cette date dans l'ère moderne.

    Il était évidemment dans les destinées de l'hôpital Saint-Louis qui n'avait été à l'origine qu'un hôpital temporaire de devenir un hôpital permanent. D'abord il n'y a que le provisoire qui dure, dit l'opinion, mais c'est parce que le provisoire est le premier moyen qu'on trouve pour obvier à une nécessité permanente. Voilà comment le fait se produisit. L'Hôtel-Dieu était perpétuellement encombré par une série indéfinie de maladies chroniques. On pensa que par sa situation au centre de la ville, l'Hôtel-Dieu devait bien mieux correspondre au service des maladies aiguës, et que tous ses malades chroniques devaient être évacués sur l'hôpital Saint-Louis.

     

     

    Le baron Alibert

     

     

    On réunit donc tout un lot d'incurables et de malades chroniques : des cancéreux, des scrofuleux (écrouelles et lupus), des malades atteints de teignes, de gales, de fistules et d'ulcères chroniques ; et ils furent transférés à l'hôpital Saint-Louis. On pensait que ces maladies de longue durée ne nécessiteraient pas la visite quotidienne des médecins, alors que cette visite dans un quartier aussi excentrique était difficile à exiger d'eux ( !). Désormais, à la vérité, le quartier de l'hôpital Saint-Louis faisait corps avec la ville; il n'était plus dans sa banlieue, mais il restait excentrique et d'un accès assez difficile. Il est vraisemblable que lorsqu'on décida de remplir l'hôpital Saint-Louis avec ces déchets des autres services hospitaliers, on ne croyait pas faire oeuvre durable. Elle dure pourtant depuis cent cinquante ans. Un arrêté du Conseil d'Administration des Hospices en date du 27 novembre 1801, sanctionne et consacre la spécialisation de l'hôpital Saint-Louis, et son premier médecin Alibert nommé en 1803 ouvrit la série des grands dermatologistes du XIXe siècle.

     

     

    L'OPINION publique toujours simpliste voudrait volontiers que la science des maladies cutanées fût née à l'hôpital Saint-Louis et de l'hôpital Saint-Louis. Mais c'est là une erreur grande. De tous temps il y avait eu des dermatologistes en France et des ouvrages médicaux français consacrés â la Dermatologie.

    Les premiers vinrent de notre Ecole de Montpellier, elle-même la première en date de nos Facultés. Elle était née entre le XIe et le XIIe siècle, fille de l'Ecole de Salerne d'une part, et d'autre part, de la très vieille école arabe de Cordoue. Elle avait donné des hommes éminents tels que Laurens Joubert, Arnauld de Villeneuve et bien d'autres. Notre Faculté de Paris avait eu les siens. Les Astruc, les Lorry. Celui-ci, Ch. Lorry demande une mention spéciale, lui, dont le livre magistral De morbis cutaneis est une mine d'observations précises, écrites en un amusant latin cicéronien. Lorry vivait sous Louis XV, il est d'ailleurs l'arrière grand-père d'un de nos meilleurs médecins d'enfants, car il y a des familles médicales, même parisiennes, pluricentenaires. Alibert; était donc très loin d'être le premier médecin français qui se soit consacré à l'étude des affections cutanées, mais il eut d'emblée la claire vision de ce qu'un hôpital comme l'hôpital Saint-Louis allait pouvoir représenter comme centre d'études et d'enseignement. Il se consacra tout entier à cette idée de créer là une Ecole française de Dermatologie, si convaincu d'avance de son éclat à venir qu'il eût voulu inscrire sur sa porte la devise romaine : Urbi et orbi.

     

     

    C'était un observateur précis, attentif, méticuleux. Tous les types morbides qu'il a décrits le premier nous sont restés avec le nom même qu'il leur imposa. Toutes ses descriptions sont restées classiques. Son enseignement plein d'humour et d'esprit réunissait autour de lui une foule d'élèves. En été il faisait ses cours de clinique en plein air, dans le jardin du Pavillon Gabrielle. Ainsi faisait Platon dans le jardin d'Academos. Ce n'était pas d'ailleurs que les idées générales d'Alibert sur la Dermatologie fussent ni très neuves, ni très personnelles. En fait, il continuait les vieux enseignements de l'Ecole de Montpellier; il parlait presque comme Laurens Joubert. Il suivait encore la vieille nomenclature de tradition arabe, dont l'origine était galénique, Alibert la suivait même de fort près. Ses théories se trouvaient très vieilles, presque périmées à l'époque même où il les professait, lui le dernier d'une longue lignée. Il n'est donc pas étonnant de voir même ses propres élèves abandonner ses classifications vétustes, pour celles plus modernes de Plenck, un Viennois, reprises et remaniées par deux Anglais - Willan et Bateman.

    Mais si les idées dermatologiques d'Alibert ne lui survécurent pas toutes, l'exemple de sa vie et de son enseignement fut fertile et son désir de créer à l'hôpital Saint-Louis un enseignement spécial et d'en faire une grande école dermatologique, ce désir, le XIXe siècle le réalisa, sans doute plus amplement qu'Alibert ne l'aurait jamais pu supposer.

    La première génération des dermatologistes français, après Alibert, comprit Gibert, Devergie, Biett et Lugol. Gibert qui individualisa le Pityriasis rosé et inventa le sirop de Biodure d'hydrargyre ioduré, cent fois copié depuis lors par une série de médicaments spécialisés qui ne seraient pas nés sans lui. Devergie, qui soutint le premier l'idée des dermatoses mixtes et composées. Lugol qui introduisit l'iode dans le traitement de la scrofule, ainsi qu'on appelait alors les tuberculoses externes. Biett avait fourni la première description clinique de la Séborrhée sous le nom d'Acné sébacée et il avait introduit en France les nouvelles classifications willaniques en face des anciennes classifications d'Alibert. Ces classifications gardèrent leur valeur pendant soixante ans et il en persiste quelque chose dans celles dont nous usons encore aujourd'hui.

     

    Le Docteur Biett, d'après un dessin (Musée Saint-Louis)

     

     

     

    La suivante génération fut celle de Cazenave, de Bazin et de Hardy. Nos théories médicales comme nos théories politiques changent d'âge en âge. Biett, après Willan Bateman, attachait la plus grande importance à la forme des lésions cutanées pour les classer ; Bazin au contraire, au vice humoral profond et caché qu'il supposait au-dessous d'elles. Comme toujours les deux opinions antagonistes ont chacune leur raison d'être, et le sage, en s'aidant des lumières du moment, sait faire son chemin entre l'une et l'autre, mais le grand public médical, comme le suffrage universel aime les meneurs intransigeants qui glorifient leur opinion sans mesure, en vitupérant l'opinion adverse. Ainsi Bazin connut-il d'immenses succès de parole et de doctrine, sans ajouter sensiblement, à nos connaissances en dermatologie, car s'il a fait entrer dans la Pathologie les affections cutanées dues à des parasites cryptogamiques, ce n'est pas lui, c'est David Grüby qui les avait découvertes.

    A cette époque, à l'hôpital Saint-Louis, les services dermatologiques, gouvernés par des maîtres différents ont été souvent eu lutte, sinon en guerre ouverte. Les oeuvres de Devergie, Cazenave, Bazin ne les montrent pas tendres l'un pour l'autre et les élèves épousaient les querelles de leur Maitre. Mais c'est alors qu'un enseignement est vivant, c'est quand les Maîtres s'accusent réciproquement d'hérésie. Ainsi en était-il en tous les temps de fortes croyances, et à Athènes, lorsque les philosophes soutenaient chacun leur doctrine.

    Bazin, qui avait pris pour type dermatologique la Syphilis, découpée en période primaire, secondaire et tertiaire, avait conçu toute la dermatologie sur le même plan. D'abord il l'avait partagée toute entre cinq diathèses, et chacune d'elles comparable à la Syphilis. C'était particulièrement la scrofule, l'herpétisme et l'arthritisme. La scrofule est devenue la tuberculose externe, et pour elle on peut encore à la rigueur parler de périodes, mais que sont les périodes primaires et secondaires de l'herpétisine et de l'arthritisne,, et que désignent ces mots vagues, sinon des conceptions idéales très peu commodes à formuler avec précision. Cependant, si l'herpétisme survécut peu à son auteur, l'arthritisme eut, avec Bouchard, une longue période de survie. On se sert encore de ce mot sans bien s'entendre, d'ailleurs sur ce qu'il veut dire.

     

    Le Docteur Bazin (Musée Saint-Louis)

     

     

     

    Je n'ai connu cette époque de Bazin que par ses livres, et il est bien intéressant aujourd'hui de les relire et de voir en chaque auteur le mélange des erreurs et des vérités qu'il a soutenues avec le même feu. C'est une lecture propre à éteindre chez nous toute vanité, car nos successeurs penseront de même de ce que nous avons écrit et enseigné. Ni Bazin, ni son adversaire Cazenave n'avaient tout à fait raison. Bazin venait d'introduire dans la Dermatologie cette idée fausse de la contagion de la Pelade, erreur qui nous a poursuivis pendant cinquante ans, et pendant ce temps Cazenave refusait d'admettre la réalité des champignons parasites, démontrés par Grüby dans les teignes. Pour lui, ce n'était que des illusions du microscope.

     

    Mais quelle superbe, et quelle certitude dans l'enseignement dogmatique de Bazin, même quand il soutient des absurdités. Et quelle finesse mordante, et quelles pointes acerbes dans l'enseignement contraire de Cazenave. Même quand il s'agit de jeux démodés, il fait beau regarder de grands champions et de beaux jouteurs.

    A cette période homérique a succédé celle que j'ai connue, où les grands Maîtres de l'hôpital Saint-Louis étaient Vidal, Besnier et Fournier, et à côté d'eux des maîtres comme du Castel et comme Tenneson qui n'ont pas laissé une oeuvre notoire, mais qui faisaient pourtant d'excellents élèves.

    Besnier, qui fut mon maître, était un orateur incomparable et un écrivain médiocre. Son oeuvre parlée a laissé dans l'esprit de ses élèves un souvenir définitif, son oeuvre écrite déçoit un peu ses lecteurs. Il fut pendant vingt ans le Maître incontesté de la Dermatologie française et un homme qui en étendit l'éclat bien au delà de nos frontières. Il fut le président type de la Société française de Dermatologie, le père et le fondateur de nos congrès internationaux.

    Pendant ce temps, Alfred Fournier, nommé le premier: Professeur de Syphiligraphie de la Faculté se consacra exclusivement à cette science. Il en étendit prodigieusement le domaine, en prouvant l'origine syphilitique de la Paralysie générale et de l'Ataxie locomotrice. C'était montrer une face nouvelle de problèmes étudiés jusque-là hors de l'hôpital Saint-Louis, avec Ricord à l'hôpital du Midi, avec Rollet de Lyon, à l'Antiquaille.

    On peut dire qu'à partir de ce moment la renommée de l'hôpital Saint-Louis devint européenne et mondiale. L'enseignement de ces Maîtres a peuplé le monde d'élèves qui ont disséminé leur doctrine en tous pays. Et cet enseignement était formulé dans une langue claire et simple, avec la mesure dans la forme qui avait été jadis le grand mérite des maîtres grecs dont nous passions alors pour être les seuls héritiers.

     

     

    Le Professeur Fournier (Musée Saint-Louis)

     

     

    Le nom même de l'hôpital Saint-Louis devint un symbole, quelque chose comme un totem. Avec son nom, c'est toute la dermatologie française du XIXe siècle que l'on évoquait.

    Je m'en voudrais de raconter même aussi brièvement l'histoire de l'hôpital Saint-Louis sans mentionner le nom du docteur Lailler, un médecin de Saint-Louis qui fut un grand homme de bien. Après la Commune de Paris en 1871, lors de la rentrée dans Paris des troupes régulières, l'hôpital Saint-Louis regorgeait de blessés du parti vaincu. Lailler alors en fit fermer les portes et se tint derrière elles pour répondre à toutes réquisitions des autorités. Le vieux médecin avait accroché à sa vareuse d'hôpital sa croix de la Légion d'honneur.

    Plusieurs officiers de l'armée régulière se présentèrent pour perquisitionner dans l'hôpital, il les convainquit assez facilement de n'en rien faire, et ils passèrent. Un dernier survint, plus arrogant, qui voulut bousculer le vieux médecin et passer outre. Alors celui-ci arracha sa croix de la Légion d'honneur et la lui jeta au visage. (Il n'en porta plus jamais l'insigne). L'officier dernier venu, frappé d'étonnement devant ce geste du médecin, se retira lui aussi. Ainsi furent sauvés les blessés qui remplissaient les salles de chirurgie.

    Lailler était un vieux huguenot particulièrement docile aux suggestions de sa conscience. C'est lui qui suggéra à l'Assistance publique, l'idée de créer à l'hôpital Saint-Louis une école, (Elle porte aujourd'hui son nom) où l'on traiterait les enfants teigneux, évincés des écoles publiques pour cause de contagion, et qui devenaient de petits vauriens. Enfin, c'est lui encore, qui, ayant rencontré un mouleur italien, capable d'imiter à s'y méprendre les fruits en pâtes colorés, le fit installer à l'hôpital Saint-Louis pour y reproduire par des moulages les principaux types des diverses affections cutanées. Ce musée Baretta, ainsi appelé du nom du mouleur qui l'a fait, comprend des milliers de figures d'une perfection sans égale. Ce fut là une innovation qui fut imitée plus tard en tous pays. Mais tous les musées semblables, en Europe et en Amérique sont nés du nôtre, et leurs premières pièces, faites de la main même de Baretta. Assurément une telle collection n'a rien de commun avec les salles de sculpture du musée du Louvre. Aux veux d'un profane ce serait même un Musée des Horreurs, fait pour le médecin d'un drame du Grand Guignol. Mais il ne s'agit pas d'oeuvres de Beauté, il s'agit de vérité scientifique et d'enseignement. De ce point de vue un tel musée est d'une utilité sans pareille.

    Le même bâtiment, dont la laideur hélas!, est bien moderne, abrite à côté du musée, la bibliothèque de l'hôpital, bibliothèque qui est la plus riche du monde en oeuvres dermatologiques. Beaucoup de médecins sont bibliophiles. L'usage s'est généralisé, parmi les Maîtres de l'hôpital, de léguer a cette bibliothèque, tous leurs livres. Ainsi s'est trouvé constitué le fonds le plus considérable d'ouvrages dermatologiques de toutes époques et de tous pays, et contenant les livres anciens en des éditions rarissimes, trésor de collectionneurs.

    Récemment s'est adjoint à cet ensemble un musée histopathologique ayant à sa tête l'homme le plus représentatif de cette branche de notre science, et qui collationne une série de préparations microscopiques telles que les pareilles n'existent nulle part.

     

     

    Buste du Docteur Brocq, par le Docteur Sabouraud (Musée Saint-Louis)

     

     

    Avec la disparition des maîtres de la génération que j'ai connue la première à l'hôpital Saint-Louis, il ne faudrait pas croire que l'Ecole française de Dermatologie soit morte. Une série d'autres Maîtres a succédé à celle-là. Je ne puis nommer d'elle que les morts, mais les seuls noms de Louis Brocq, de Jeanselme et de Beurmann montrent combien, à l'époque suivante, notre Ecole fut loin de péricliter. Et je puis ajouter que la valeur de ceux qui sont encore vivants, si elle n'efface pas celle des morts anciens, permet de croire qu'il y aura de beaux jours encore pour les travaux à venir du vieil hôpital Saint-Louis.

     

     

    Cependant, ce vieil hôpital a beaucoup changé depuis quarante ans, et voici comment. Autrefois, au moyen age on voulait qu'un hôpital se suffit à lui-même et qu'il eût autour de lui des terres de quoi nourrir sa population.

    Aujourd'hui, l'Administration de l'Assistance publique veut qu'en chaque hôpital, chaque branche de la médecine ait un service qui la représente. Autrefois l'hôpital Saint-Louis n'avait même pas un service de médecine générale. Maintenant il contient en outre de six services de maladies cutanées et syphilitiques, trois services de chirurgie et un service de médecine générale, en outre une Maternité. On y a créé encore : un service d'oto-rhino-laryngologie, un service d'ophtalmologie, un service complet d'urologie, un service de dermatologie infantile, un autre de médecine et un autre de chirurgie d'enfants. En outre, il existe dans l'hôpital un service important de radiologie et de photothérapie, un pavillon spécial est réservé aux lépreux. Enfin il existe encore l'Ecole Lailler, où l'on traite les enfants teigneux.

    Pour donner une idée claire de ce qu'est devenu cet hôpital, on me permettra d'énoncer seulement trois chiffres qui en témoignent. En 1936, tous les services de l'hôpital Saint-Louis ont hospitalisé 27 884 malades et donné 777.591 consultations externes. Je ne veux pas insister sur le détail des services rendus par un pareil établissement, et je dirai seulement que son budget actuel est de l'ordre de vingt-cinq millions.

    Peut être le vieil architecte de l'hôpital, Claude Vellefaux, s'il pouvait voir ce qu'est devenu son oeuvre, après trois cents ans de durée et de bons services, regretterait-il la sobre et sévère ordonnance de son plan primitif qu'il trouverait sans doute un peu saccagé. Mais il pourrait aussi considérer les améliorations que le temps introduisit dans son-oeuvre, spécialement en ce qui touche au confort des malades, à leur hygiène, à l'apport des eaux neuves, froide et chaude, aux égouts au chauffage, et admirer qu'on ait pu introduire de telles améliorations dans son vieil édifice sans le détruire.

     

     

    Entrée de la Chapelle

     

     

    Mais peut-être au fond de lui, et tout en appréciant les inventions et les innovations modernes garderait-il pour les constructeurs de notre temps un secret mépris, de ce fait : que les hommes sachant maintenant tant de choses que lui ne savait pas et ne pouvait pas savoir, ils n'aient pas su garder en leur esprit le sens des proportions et de la mesure, le sens des rapports entre les murs et les fenêtres, entre les pleins et les vides, des rapports entre la hauteur des maçonneries et celles des toitures, ce dont il leur avait laissé de si beaux exemples, et aussi le sens de l'emploi conjugué de matériaux différents concourant à l'unité,à la grandeur et à la beauté de son oeuvre ancienne.

    Le vieil hôpital, malgré ses verrues modernes, ses adjonctions hétéroclites et ses laideurs surajoutées, reste encore pour nos constructeurs modernes une grande leçon et dont on ne voit pas que les architectes de l'Assistance publique se soient beaucoup inspirés dans leurs oeuvres récentes, même quand ils avaient tout à faire comme Claude Vellefaux, sur un terrain neuf et sans aucune gêne. Ici, je ne voudrais pas laisser place à l'équivoque, il ne s'agit nullement pour un moderne de prendre modèle sur un hôpital du XVIIe siècle pour construire un hôpital d'aujourd'hui. Mais quelles que soient sur le sujet les conceptions d'un architecte de nos jours, on pourrait souhaiter qu'il les réalisât en un monument ayant la même unité, homogénéité et simplicité, la même division visible des services, la même appropriation des bâtiments à leur rôle. On pourrait souhaiter que l'ensemble de son oeuvre donnât à l'oeil de tout homme sensible à l'architecture, la même joie., la même sensation d'harmonie dans ses proportions, et pour tout dire de beauté.

    Je crois qu'il faut savoir gré, aux événements qui n'ont pas permis au baron de Breteuil de jeter bas l'hôpital Saint-Louis, même pour le remplacer par un autre. Nous sommes toujours beaucoup de simples citoyens qui aimons notre vieux pays, et dans ce vieux pays, le vieux Paris, fait d'une mosaïque de chefs-d'oeuvre, où chaque âge apporta son caillou. L'hôpital Saint-Louis représente un de ces cailloux, non des moindres, et même un des plus beaux.

    Et n'est-il pas émouvant de voir une de nos sciences médicales, des plus utiles, elle-rnême de très ancienne origine, venue habiter ce vieux palais depuis si longtemps que lui et elle ne font plus qu'un et sont devenus synonymes. Le vieil hôpital fondé par Henri IV est devenu l'Ecole française de Dermatologie. Et je trouve même émouvant aussi de voir la quête ardue et ardente de la Vérité scientifique se poursuivre en un monument qui est une œuvre d'art splendide : Science et Beauté concourant au Bien que tout hôpital apporte à la Communauté humaine.

     

     
     
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  • PHOTOS ANCIENNES de l'ALGERIE

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Palais du gouverneur Alger Mustapha

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    SOURCES :  http://www.setif-dz.org/t6771-photos-algerie-ancienne

     

     

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  • HOLLYWOOD .... BASE MILITAIRE.... pendant la seconde guerre mondiale

     

     

     

     

     

    Le « déguisement » de la Californie

     

    J'aime la Californie, j'ai pratiquement grandi à Phoenix.

    -Dan Quayle

    par le Dr Dennis Casey

    [Extrait]

    En février 1942, un sous-marin japonais Voici juste à l'extérieur de la baie de San Francisco. Quelques nuits plus tard, un autre sous-marin japonais a fait surface au large de Santa Barbara et ont tiré quelques obus sur une installation de stockage de pétrole. Un obus a explosé sur un pilier de l'océan.

    Guerre venait de Californie.

    Dans l'atmosphère de panique et l'inquiétude (avec les histoires d'agents secrets japonais derrière chaque bush et l'arbre), ministère de la guerre a ordonné le Lt Gen John L De Witt, chef du commandement de la défense occidentale, afin de protéger les installations le long de la côte du Pacifique - vitales pour déguiser en Californie.

    Colonel John F Ohmer était stationnée à mars sur le terrain, 60 milles à l'est de Los Angeles. Il fut un pionnier dans les techniques de camouflage. En Angleterre en 1940, faite avec soin et placé de camouflage causé la Luftwaffe des déchets des milliers de tonnes de bombes sur des champs vides. Mois avant Pearl Harbor, Colonel Ohmer fait campagne pour une couverture protectrice de Wheeler Field, une importante base aérienne près de Pearl Harbor. Son plan a été rejeté comme trop coûteux, 56 210 $.

    Quelques Semaines plus tard Wheeler et ses avions ont été détruits,

    7 Décembre 1940, Goodyear Tire & Rubber a décidé de fabriquer des avions de leurre en caoutchouc semblables à ceux utilisés par les britanniques pour 1 000 $ par exemplaire. Mais le ministère de la guerre une fois de plus des plans de Ohmer. Il avait espéré disperser les avions factices sur les bases aériennes américaines à Hawaï. Mais maintenant, Ohmer a été inculpé de déguiser en Californie.

    HOLLYWOOD .... BASE MILITAIRE.... pendant la seconde guerre mondiale

     

      

    Studios de cinéma à Hollywood, Metro-Goldwyn-Mayer, Disney Studios, 20th Century Fox, Paramount, Universal Pictures et autres accepté le défi et offert des concepteurs scéniques, peintres, directeurs artistiques, paysagistes, animateurs, menuisiers, spécialistes de l'éclairage et hommes prop.

    HOLLYWOOD .... BASE MILITAIRE.... pendant la seconde guerre mondiale

    Tandis que ne pas expérimentés dans les affaires militaires, cette Légion d'experts des films ferait l'affectation du Colonel Ohmer beaucoup plus facile et tout à fait possible.

     
    Le « déguisement » de la Californie.. pendant la seconde guerre mondiale
     

    La photo du bas est un gros plan du dessus (comparer avec le blanc sur le côté droit).
    Sur la photo de fond hommes peuvent être vu « travailler » - effectivement vérifier comment les arbres des plumes sont encapuchonner jusqu'à.

    Dans les premières semaines de 1942, champ de mars a été vivant. Vous pouvez exécuter dans une petite ferme en cours de création avec les animaux, une étable, un silo et d'autres bâtiments. Paramètres pastorales utilisé des cadres de bois et de grands écarts de toile. Le tout atteint près de réalité quand un agriculteur voisin broutée ses vaches près des bâtiments bidons.

    Dans d'autres sections de mars champ, dispersés avion leurre faite de morceaux de toile, les boîtes de ration et toile de jute sur fil de poulet comme bien aplatis comme des boîtes domine le paysage. Aucun de ces avions regardées réelles jusqu'à fermer mais a grande distance. Fausses pistes ont été faites par le brûlage de bandes herbeuses. En haut, elles ressemblaient à la chose réelle. Dans l'air 34 tous les bases étaient camouflés pour inclure la plantation de feuillage faux et couverture structurelle.

    Le « déguisement » de la Californie.. pendant la seconde guerre mondiale

    En même temps, Ohmer dissimulé usines clés et les usines de montage qui peuvent être des cibles, y compris de Douglas Aircraft. Dans un court laps de temps, toute la zone de l'usine a été camouflée. L'usine d'avion de Lockheed-Vega à Burbank était complètement caché sous une banlieue complete d'automobiles en caoutchouc et scènes de quartier rural paisible peints sur toile. Des centaines de fausses arbres et arbustes ont été placées pour donner toute la région un aspect tridimensionnel. Les arbres et les arbustes sont créés à partir de fil de poulet traitée avec adhésif, puis recouvert de plumes de poulet pour les feuilles, puis peints de différentes nuances de vert (avec des taches brun, même). Les conduits d'air ont été déguisées en bornes d'incendie.

    Le « déguisement » de la Californie.. pendant la seconde guerre mondiale

    Cette scène n'a pas pu tromper les capteurs d'aujourd'hui. Douglas Aircraft est le quadrant inférieur gauche de la scène.

    Maintenir l'illusion d'un quartier requis des signes de vie et l'activité. Travailleurs émergé de relocaliser les automobiles et prend des promenades sur les podiums cachés. Certains ont pris le lavage de faux linge seulement pour le remplacer plus tard à prévue fois. Stationnement automobiles ont été déplacés pour indiquer les pilotes utilisaient leurs voitures quotidiennes et en retournant la maison du travail.

    Demandes de « banlieue » introduit par Ohmer pour d'autres projets de camouflage. À Seattle, Boeing Aircraft a couvert près de 26 acres. Elle devenue recouverte par une ville complète avec les bâtiments municipaux, un parc, écoles et maisons.

    Le « déguisement » de la Californie.. pendant la seconde guerre mondiale

    Rue de faux

    Le déguisement de la Californie a cessé d'être critique quand l'US Navy portait sur une défaite Super pour un groupe de travail du transporteur japonais à l'île de Midway. La menace d'une grave attaque contre la côte Ouest a diminué, puis disparu.

    Source : www.findarticles.com © 2004 US Air Intelligence Agency Lackland Air Force Base, Texas

    Une chose que je trouve intéressant, c'est que l'article ci-dessus rend l'idée de déguiser la côte ouest est presque exclusivement le Colonel Ohmer. Encore l'article sur la page précédente fait l'idée semble être Donald Douglas Sr, avec d'autres copies de lui.

    Électronique Encyclopædia de la défense civile

    Le « déguisement » de la Californie.. pendant la seconde guerre mondiale

    Douglas Aircraft dessous

    Usine de Douglas Aircraft : États-Unis. 1942. Un effort de défense passive vaste a été lancé en avril 1942 à protéger l'usine Douglas Aircraft à Santa Monica, en Californie, par le biais de l'application de l'un des plus vastes efforts camouflage jamais entrepris. Volontaires de divers studios de film de Hollywood a fait don de leur temps pour créer une usine de leurre plusieurs centaines de mètres de l'usine de réel en plein champ et à dissimuler la plante réelle comme une zone d'habitation. Revêtements fournit une protection pour le stationnement des aéronefs, et ballons de barrage, le phoque annelé plantes le réel et le leurre. Cependant, l'effort principal utilisé peinture minutieuse pour transformer la piste dans une zone résidentielle urbaine et l'installation d'un cadre en 3 dimension sur les bâtiments d'usine complètes avec les maisons de contreplaqué et les arbres et les buissons construits de fil de poulet et de tissu pour créer une colline fausse. Essentiellement, le projet de camouflage a été achevé en octobre 1942. Bien que le projet était destiné à protéger l'usine de photoreconnaissance japonais, ni la marine japonaise ni l'armée n'avait la capacité d'entreprendre une telle mission. Le niveau de détail atteint n'était possible dans un environnement de la Californie du Sud ; pluie ou neige aurait causé les composants à l'échec, donnant l'emplacement.

    Le « déguisement » de la Californie.. pendant la seconde guerre mondiale

    L'aire de stationnement de voiture.

    prise de Stanley, Roy M II, de fou A Glass Eye : Camouflage contre escadrille dans la seconde guerre mondiale, Washington, DC, Smithsonian Institution Press, 1998.

    Source : www.richmond.edu

      e précédente dans cette section) - pour l'histoire de Douglas Aircraft et plus d'informations et photos sur le projet de camouflage.
      e suivante de cette section) - le passage d'une époque (et la dernière des photos camouflage)...

     

      

    Rêve de Douglas A aile à Santa Monica

    Je n'ai pas peur de prendre l'avion ; J'ai une peur de s'écraser.

    -Billy Bob Thornton

    HOLLYWOOD .... BASE MILITAIRE.... pendant la seconde guerre mondiale

    Donald Wills Douglas Sr

    par Cecilia Rasmussen

    Musée de volant de Santa Monica, qui dépeint l'histoire de l'aviation depuis près de trois décennies, est l'histoire elle-même maintenant, dépossédés par la hausse des coûts d'assurance. Comme elle des cercles à la recherche d'un nouveau site d'atterrissage dans une zone rurale, il laisse derrière ses racines dans une communauté de bord de mer qui une fois accueilli un concepteur ambitieux qui a transformé les voyages en avion. Beaucoup du patrimoine du Musée et de l'aéroport adjacente - qui est rester mis, pour beaucoup de consternation de ses voisins - est liée avec le pionnier de l'aviation Donald Wills Douglas Sr. il y a plus de 80 ans, Douglas Aircraft Company a effectué son premier avion, inaugurer Santa Monica dans l'histoire de l'aviation.

    S'étale sur plus de 200 acres de terre maintenant-cher une courte distance de la plage, Santa Monica Airport a commencé comme une bande de terre dans un champ d'orge en 1919. Howard Hughes et le réalisateur Hal Roach utilisés pour arrimage. Rêves de Douglas s'y vol lorsqu'il est devenu le domicile de son usine d'avion. DC modèle jusqu'à des avions, militaires et civils - mais non compris le DC-10 - ont été construits il y. Le premier vol autour du monde, qui a été orchestré par Douglas, décollé et atterri il.

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    DC-10

    Douglas, un New York native et diplômé du Massachusetts Institute of Technology, déménage à Los Angeles en 1920 pour profiter de son grand temps de vol. Il avait déjà conçu un bombardier de la seconde guerre mondiale histoire-fabrication de Glenn L Martin Company qui avait coulé deux navires de guerre allemands. Maintenant, il était déterminé à faire de sa propre initiative dans les affaires de l'avion. Avec lui dans une bagnole de siège baquet pour le lecteur de fond ont été sa femme, 2 enfants (le couple a finalement 5), un chien et 600 $ en argent comptant.

    Douglas a commencé à concevoir des avions dans le back room d'un salon de coiffure sur le Boulevard de Pico. Mais les temps étaient difficiles. Pour aider à nourrir sa famille, il déterré son jardin et planté des pommes de terre - pourri rapidement. Il a eu recours au lavage des voitures. Un sportif riche, David R Davis, a ensuite entendu que Douglas était à la recherche d'investisseurs. Il a mis jusqu'à 000, dans l'espoir de monter à la gloire des ailes de Douglas. Il devait être un partenariat de courte durée.

    En 1921, Douglas construit de premier plan de sa société, 2 places, biplan bois et tissu, il a appelé le Cloudster. Le 21 février, il est devenu le premier avion à décoller transportant des poids dépassant ses propres. Qui a contribué à attirer l'attention de la marine. Il a accepté de payer Douglas 120 000 $ pour les 3 Cloudsters qui pourraient être adaptés pour tirer des torpilles et d'atterrir sur l'eau. Mais il avait besoin d'argent pour les construire. Et c'est là que Davis soutenue, apparemment parce qu'il a été exploité hors - moins d'un an après la signature. Jeune entreprise que Douglas gauche un peu plus dans l'air.

    Comme il a lutté puissamment pour remplir le contrat de la Navy, temps éditeur Harry Chandler a façonné un parachute. Le capitaine d'un journal qui a relancé les projets « air-minded » a permis d'amasser 15 000 $ à garder Douglas en entreprise. En 1922, Douglas s'installe à un studio de cinéma abandonné à Santa Monica et commence à fabriquer des avions militaires. Au champ voisin de trèfle, un site d'atterrissage de 15 acres nommé pour guerre mondiale pilote Lt Greayer « Grubby » trèfle, Douglas a testé son avion. Le 17 mars 1924, il fait l'histoire lorsque 8 aviateurs d'armée ont décollé du champ de trèfle de 4 monomoteur, cockpit ouvert Douglas monde croiseurs. Ils voulu faire le tour du globe, mais arrêté par Seattle afin qu'ils pouvaient désigner comme leur point de décollage. Qui serait garniture de temps hors de leur voyage - 2 semaines, qu'il s'est avéré. Les aviateurs s'est envolé dans les tempêtes de sable, pluie, vents de l'Arctique et, une fois, une montagne de conduite. Deux avions s'est écrasé, mais personne n'est mort. Les deux avions restantes revient à Clover Field 28 945 kilomètres et 175 jours plus tard, après avoir passé le tour du monde et scellé la réputation de l'avion Douglas. Il y avait 200 000 personnes en attente pour les accueillir.

    Onze ans plus tard, Douglas construit le civil DC (pour Douglas Commercial) modèles, révolutionne le transport aérien d'entreprise pour les passagers ordinaires, non seulement de l'audace. L'avion a fait son voyage inaugural de Santa Monica. Douglas s'est déroulé grâce à la dépression, en élargissant le champ de trèfle. Mais une guerre se préparait, envoi de lui et sa ligne de production en overdrive. Maintenant une concurrence féroce avec 7 autres grands avionneurs Los Angeles, Douglas fut forcé de supprimer son esprit de compétition et de jouer gentiment avec ses concurrents. Les entreprises, qui comprenait Northrop et Lockheed, étaient tenus de combiner les opérations temporairement pour répondre à la demande en temps de guerre. Il haïssait, il est allé le long de la durée.

    « Quand les dictateurs sont enfin bombardés au large de cette terre, nous allons redevenir rivaux et individualistes accidentés, » Douglas a écrit un article de magazine de 1942.

    En 1940, comme un booster le moral de ses employés, qui étaient déjà des avions de combat de démarrage et quarts de 24 heures sur 24, il ouvre le théâtre Aero sur Montana Avenue à Santa Monica. Il a gardé à toutes les heures de fonctionnement pour ses travailleurs et le public peuvent profiter d'un nouveau comédies Abbott et Costello et autres rejets de Hollywood. Avec la seconde guerre mondiale faisant rage en Europe, Douglas réalisé bien avant Pearl Harbor que son usine était un canard assis pour une attaque aérienne. Il n'a pas d'attente pour le gouvernement de le protéger ; Il a pris les commandes. Douglas a demandé à son chef mécanicien et pilote d'essai, Frank Collbohm et un architecte de renom, H Roy Kelley, de concevoir un moyen de camoufler la plante. (Plus tard, Collbohm aurait trouvé Rand Corporation et Kelley concevrait siège.)

    HOLLYWOOD .... BASE MILITAIRE.... pendant la seconde guerre mondiale

    Le centre de la moitié de fond de cette photo dissimule en fait Douglas Aircraft avec des rues de toile de jute et d'arbres avec des feuilles de plumes de poulet.

    Avec Warner Bros studio set designers, ils ont fait la plante et la piste d'atterrissage de disparaître - au moins de l'air. Près de 5 millions de pieds carrés de chicken wire, s'étendu à travers 400 grands pôles, couvert le terminal, les hangars, divers bâtiments et terrains de stationnement. Au sommet de la maille que se trouvait légers maisons ossature de bois avec attenant, des clôtures, des cordes à linge, même les « arbres » faites de fil torsadé et plumes de poulet peint pour ressembler à feuilles. Camions-citernes répandu la peinture verte sur la piste pour simuler un champ d'herbe. Rues et les trottoirs étaient peintes sur la couverture pour se fondre dans le quartier de Sunset Park adjacent de modestes maisons qui abritaient les employés de Douglas. Le plus grand hangar a été fait pour ressembler à un quartier de colline en pente douce.

    HOLLYWOOD .... BASE MILITAIRE.... pendant la seconde guerre mondiale

    Une fausse maison de contreplaqué perchée sur pilotis hautes avec un passage à travers la toile de jute qui couvrait l'usine d'avion ci-dessous.

    Concepteurs même correspondant à pied les rues peintes avec les vrais. Quand ils l'ont fait, la zone était déguisée si bien que les pilotes avaient du mal à trouver le champ de trèfle. Certains d'entre eux débarquèrent à des pistes d'atterrissage à proximité au lieu de cela, protestant que quelqu'un avait déplacé le champ. Douglas adapté. Quand les avions étaient dues, il poste hommes à chaque extrémité de la piste de drapeaux rouges de vague comme matadors. Finalement, les signaleurs ont été remplacés par des marqueurs blancs peints sur les coteaux. (La façade a été un tel succès que Warner Bros répliqué, craignant que le studio ressemblait à une usine d'avions de l'air).

    HOLLYWOOD .... BASE MILITAIRE.... pendant la seconde guerre mondiale

    La rue sur la gauche est la toile de jute.

    Le quartier simulé est devenu une partie de la communauté que, lorsque Douglas Aircraft hangar son déguisement en juillet 1945, il fut comme si un point de repère a été détruit.

    Par le début des années 1960, Douglas avait évolué dans une société aérospatiale tentaculaire de 30 000 travailleurs. Mais le quartier a diversifier - et perdre son acceptation inconditionnelle de l'industrie. Bientôt, la compagnie a conclu Santa Monica résistant à ses plans d'expansion. Voisins protestent contre le bruit et les gens du côté de l'aéroport de LA détesté le fait que les avions de ligne se préparer pour les vols d'essai a soufflé huile et les morceaux de carbone sur leurs voitures.

    Quelques années plus tard, la consolidation de l'industrie commenceront. La compagnie a fusionné avec un rival pour devenir McDonnell-Douglas Corporation en 1967 et s'installe à Long Beach en 1976. La piste de 5 000 pieds, ce qui était alors connu comme aéroport de Santa Monica a été trop courte pour la firme croissance production jet. Deux décennies plus tard, McDonnell-Douglas serait absorbée par un autre rival, Boeing Company. Quand la ville gauche de corporation, fils de Douglas, Donald Wills Douglas Jr, mis en place la Bibliothèque et le Musée de Donald Douglas pour commémorer l'héritage de son père. Douglas Sr est mort en 1981. Neuf ans plus tard, le Musée de Flying sans but lucratif, fondée par le parcours de golf et promoteur immobilier David Price, a remplacé l'ancien musée dans le cadre d'un remaniement de l'aéroport de 20 millions de dollars. Pièces incluaient avions vintage et une immense photo de quand l'aéroport et l'usine exploitaient sous le couvert de camouflage.

    HOLLYWOOD .... BASE MILITAIRE.... pendant la seconde guerre mondiale

    Après une longue journée de travail au Canada - au large de l'Aero avec la famille, un peu d'Abbott et Costello

    Tout ce qui reste de l'opération de Douglas aujourd'hui est Santa Monica Airport, maintenant utilisé pour l'aviation générale ; l'Aero, luttant pour survivre à une invasion de multiplexes ; et le parc de trèfle, qui se trouve au sommet de l'usine originale de Douglas.

    Source : www.latimes.com LA fois 4 août 2002

    Voir aussi :

       
       

     

     HOLLYWOOD .... BASE MILITAIRE.... pendant la seconde guerre mondiale

     

    Ce GIF a été créé par Don Incoll d'Australie (mais j'ai refait il)

     

     

     
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  • La construction du Golden Gate Bridge SAN FRANCISCO...USA

     

     

     

    La construction du Golden Gate Bridge

    construction Golden Gate Bridge 01 La construction du Golden Gate Bridge*

     

    Le Golden Gate Bridge (littéralement le « pont de la porte d’or ») est un pont suspendu de Californie qui traverse le Golden Gate, détroit qui correspond à la jonction entre la baie de San Francisco et l’océan Pacifique. Il relie ainsi la ville de San Francisco, située à la pointe nord de la péninsule de San Francisco à la ville de Sausalito, située à la pointe sud de la péninsule du Comté de Marin. Financée par la Work Projects Administration (WPA), sa construction, qui s’est heurtée à de nombreuses difficultés, a débuté en 1933 et s’est étalée sur une durée de quatre ans, pour s’achever en 1937. Le Golden Gate Bridge a été jusqu’en 1964 le pont suspendu le plus long du monde, et constitue aujourd’hui le monument le plus célèbre de San Francisco.

    Wikipedia

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    construction Golden Gate Bridge 03 La construction du Golden Gate Bridge

    construction Golden Gate Bridge 04 La construction du Golden Gate Bridge

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    construction Golden Gate Bridge 23 La construction du Golden Gate Bridge

    construction Golden Gate Bridge 24 La construction du Golden Gate Bridge

     

     

    SOURCES : BLOG - LA BOITE VERTE

    -http://www.laboiteverte.fr/la-construction-du-golden-gate-bridge/

      

      

     

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  • PHOTOGRAPHIES POLYCHROMES... EXPOSITION UNIVERSELLE DE PARIS 1900

     

     

     

    Paris pendant l’Exposition Universelle de 1900

     

    En 1900 William Henry Goodyear, le fils de l’inventeur de la vulcanisation, a voyagé à Paris avec le photographe Joseph Hawkes pour une visite de 6 semaines dédiée à l’Exposition Universelle, son but était de rapporter des images aux Etats Unis pour montrer l’exposition parisienne au grand public américain qui ne pouvait pas faire le voyage, c’est dans ce but qu’il fit coloriser les images de façon à ce qu’elles se rapprochent plus de la réalité.
    Ces images sont maintenant dans les collections du Musée de Brooklyn.

    • Vues aériennes :

    2486830540 13cf49fd83 o 680x546 Paris pendant lExposition Universelle de 1900

     

    • La Tour Eiffel :

    Tour Eiffel Illumine1 680x536 Paris pendant lExposition Universelle de 1900

     

    • Pavillons :

    Russian Pavilion 680x518 Paris pendant lExposition Universelle de 1900

     

    • Palais :

    Palace of Electricity 4 589x560 Paris pendant lExposition Universelle de 1900

     

    • Reconstitution du vieux Paris :

    Ancient Paris Palais of the Land and Sea Forces Exposition Universelle Paris France 1900 680x498 Paris pendant lExposition Universelle de 1900

     

    • Extérieurs :

    2486827262 216bfac339 o 680x523 Paris pendant lExposition Universelle de 1900

     

    • Autres :

    Grand entrance Exposition Universal 1900 Paris France 680x499 Paris pendant lExposition Universelle de 1900

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  • L'EGYPTE bien AVANT .. LES TOURISTES et les ARCHEOLOGUES...

     

     

    L’Égypte avant les touristes

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  • AMERIQUE années 1840 - collection de daguerréotypes

     

     

     

    Une petite collection de daguerréotypes

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     SOURCES : http://www.laboiteverte.fr/une-petite-collection-de-daguerreotypes/

     

     

     

     

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  • Le premier (auto)portrait photographique

     

     

     

     Robert Cornelius Le premier (auto)portrait photographique

     

    Robert Cornelius (1809–1893) est un photographe américain né aux Pays-Bas, intéressé par la chimie, il travaillait à améliorer le daguerréotype lorsqu’il prit ce portrait de lui même devant la boutique familiale au mois d’octobre 1839.
    Cette photo est à la fois le premier portrait et le premier autoportrait photographique.

     

     

     

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  • IDA LUPINO

     

      

     

     

    Ida Lupino est une actrice, scénariste, productrice et réalisatrice américaine, née le 4 février 1914 à Londres (Royaume-Uni), morte le 3 août 1995 à Los Angeles (États-Unis).

     

     Biographie :

    Ida Lupino fait ses débuts d'actrice de cinéma en Angleterre, dans de petites productions, avant de partir pour Hollywood où on la remarque en 1935 dans Peter Ibbetson d' Henry Hathaway. Elle ne rencontre véritablement le succès qu'à partir de 1941, avec Une femme dangereuse et High Sierra de Raoul Walsh. Tout au long de sa carrière, elle interprète des rôles de composition, incarnant souvent des femmes fatales ou malheureuses. Raoul Walsh, Nicholas Ray, Fritz Lang, Robert Aldrich lui offrirent ses plus beaux rôles.

      

      

    Ida Lupino

      

    Au milieu des années 1940, Lupino est attirée par la réalisation. Elle a raconté comment elle avait eu l'impression de s'ennuyer sur les plateaux de tournage alors que « quelqu'un d'autre semblait faire tout le travail intéressant ». Avec son mari, le producteur et scénariste Collier Young, elle monte une société de production indépendante, The Filmmakers, et devient productrice, réalisatrice et scénariste de films à petit budget, abordant souvent des questions de société.

      

      

    En 1949, sa première réalisation lui échoit de façon inattendue, quand Elmer Clifton, qui dirigeait, pour The Filmmakers, Avant de t'aimer (Not Wanted), film dont elle avait écrit le scénario, subit une crise cardiaque mineure et doit abandonner le tournage. Lupino reprend le film et le termine. Dans les années qui suivent, elle réalise ses propres projets, et devient à Hollywood l'une des rares réalisatrices de l'époque, avec des films remarqués comme Never Fear et The Bigamist.

      

      

    Dans The Village Voice, la journaliste Carrie Rickey a écrit qu'Ida Lupino a été un modèle pour les réalisatrices : « Non seulement Lupino prend en main la production, la réalisation et le scénario, mais chacun de ses films aborde frontalement la sexualité, l'indépendance, la dépendance ».

      

      

    Après quatre films « de femme » sur des questions de société, dont Outrage, en 1950, sur le viol, Lupino réalise son premier film d'action, Le Voyage de la peur (The Hitch-Hiker) en 1953, faisant d'elle la première femme à diriger un film noir.

      

      

      

    Ida Lupino

      

    Pour l'écrivain Richard Koszarski, « ses films affichent les obsessions et la cohérence d'un véritable auteur... Lupino montre des mâles dangereux et irrationnels, semblables en cela aux femmes telles qu'elles sont représentées dans la plupart des films noirs d'Hollywood dirigés par des hommes » [2].

    En 1952, Lupino est devenue la « quatrième star » de Four Star Productions en rejoignant dans la société de production Dick Powell, David Niven et Charles Boyer, après le retrait de Joel McCrea et Rosalind Russell.

    En 1954, elle écrit un autre scénario de film noir, réalisé cette fois-ci par Don Siegel, Ici brigade criminelle (Private Hell 36). Lupino a souvent plaisanté en disant que si elle avait été, en tant qu'actrice la « Bette Davis du pauvre », elle était devenue comme réalisatrice le « Don Siegel du pauvre ».

    Après ses longs métrages pour le cinéma, elle réalise de nombreux épisodes de série télévisée notamment pour Alfred Hitchcock présente, Ma sorcière bien-aimée, La Quatrième Dimension, Le Fugitif, Les Incorruptibles.

    Ida Lupino meurt des conséquences d'un cancer du côlon le 3 août 1995 à Los Angeles.

      

    Elle est enterrée au Forest Lawn Memorial Park en Californie, à côté de la tombe de Errol Flynn.

     

     

     

     

     

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

     

     

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  • ANTHONY HOPKINS

     

      

    Biographie Anthony Hopkins

    De son nom complet Philip Anthony Hopkins, l'acteur américain d'origine britannique est mauvais élève, mais l'école lui permet néanmoins de s'essayer au théâtre. Ainsi s'inscrit-il dans un club d'art dramatique et envisage de faire carrière dans la comédie. Diplômé de la prestigieuse Royal Academy of Dramatic Art de Londres, membre du Phoenix Theather Company de Leicester, il rejoint en 1965 sir Laurence Olivier au Théâtre national britannique. C'est en Richard Coeur de Lion qu'Anthony Hopkins se fait connaître au cinéma en 1968 dans 'A Lion in Winter' d'Anthony Harvey, aux côtés de Peter O'Toole et Katharine Hepburn. Avec une centaine de films à son actif, Anthony Hopkins devient mondialement célèbre en 1991 grâce à son interprétation du terrifiant psychiatre cannibale Hannibal Lecter dans 'Le Silence des agneaux' de Jonathan Demme, rôle qui lui vaut un oscar.

      

      ANTHONY HOPKINS

      

      

    Il reprend avec délectation ce personnage fascinant dans 'Hannibal' et 'Dragon rouge' de Brett Ratner, et assure enfin la narration du film 'Hannibal Lecter : les origines du mal'. Outre cette interprétation, il est dirigé par les plus grands. On retiendra en particulier 'The Elephant Man' de Lynch, 'Dracula' de Coppola, 'Nixon' et 'Alexandre' d'Oliver Stone, 'Amistad' de Spielberg ou encore 'Howards End' et 'Les Vestiges du jour' de James Ivory. Légende du septième art, actif et éclectique, Anthony Hopkins garde intacte sa soif de jouer, du drame à la fresque historique en passant par la comédie.

      

    ANTHONY HOPKINS

      

      

      

    Biographie

     début des années 60, Anthony Hopkins rejoint Sir Laurence Olivier au Théâtre National Britannique. Il devient alors vite l'une grandes figures de la scène d'outre-manche. C'est en 1967 qu'il débute sur grand écran, dans The White bus, avant d'être véritablement remarqué, un an plus tard, dans Un lion en hiver.

    Après de multiples apparitions dans des seconds rôles, au cinéma comme à la télévision, Hopkins refait fait parler de lui en 1977 grâce à Audrey Rose de Robert Wise, puis l'année suivante avec Magic de Richard Attenborough. Il joue ensuite des premiers rôles pleins d'humanité dans des films comme Elephant Man (David Lynch, 1980), ou le remake du Bounty (Roger Donaldson, 1984).

    Très présent sur le petit écran dans les années 80, Anthony Hopkins devient mondialement célèbre en 1991, grâce à son interprétation du terrifiant Hannibal Lecter dans Le Silence des agneaux de Jonathan Demme, rôle qui lui vaut un Oscar. Il reprend avec délectation ce personnage fascinant en 2001 et 2002, dans Hannibal et Dragon Rouge de Brett Ratner.

     Dans les années 90, Anthony Hopkins est, pour James Ivory, homme d'affaire au coeur sec dans Retour à Howards End (1992) et majordome élégant et secret dans Les Vestiges du jour (1993). Il est ensuite tour à tour pourfendeur de vampires dans Dracula (1992), homme politique dans Nixon (1995), patriarche richissime dans Rencontre avec Joe Black (1998) et justicier vieilli mais plein de panache dans Le Masque de Zorro (1998).Anobli par la Couronne Britannique en 1993, citoyen américain en 2000, régulièrement nommé aux Oscars et Golden Globes, Anthony Hopkins, légende du septième art, garde intact sa soif de jouer. Très actif et éclectique, l'acteur entame ainsi le nouveau millénaire en force, abordant aussi bien le drame (Coeurs perdus en Atlantide, La Couleur du mensonge), la comédie (Bad company) que la fresque historique (Alexandre).

    Il continue d'incarner des personnalités réelles, mais dans des histoires plus proches de notre époque et, surtout, plus modestes, que ce soit un juge (Les Fous du roi, de Steven Zaillian), ou un retraité passionné de vitesse (Burt Munro, de Roger Donaldson), ou un protagoniste de l'assassinat de Bobby Kennedy (Bobby, d'Emilio Estevez). Il revient également à la réalisation avec Slipstream, un film sur lequel il est également acteur et compositeur (Hopkins est un pianiste accompli), mais pour lequel il peine à trouver un distributeur.

    En 2007, dans La Légende de Beowulf, l'acteur prête - littéralement - ses traits au roi Hrothgar par le biais du procédé de performance capture, censé être plus fidèle au jeu des acteurs que les traditionnelles méthodes de captation de mouvement. Cette même année, il interprète l'un des protagonistes de Bobby, un film centré sur l'assassinat du sénateur démocrate Robert F. Kennedy, et se glisse à nouveau dans la peau d'un personnage menaçant et manipulateur dans La Faille, face au jeune Ryan Gosling.

     

    En 2010, le comédien interprète le père de Benicio Del Toro dans Wolfman, un film de loups-garous, avant de changer complètement de registre en s'affichant aux côtés d'Antonio Banderas, Josh Brolin et Naomi Watts dans Vous allez rencontrer un bel et sombre inconnu, une comédie sentimentale signée Woody Allen.

     

     Pianiste virtuose, artiste-peintre accompli, il coule des jours paisibles à Los Angeles avec sa troisième femme, l'actrice Stella Arroyave, de 19 ans sa cadette. Il est père d'une fille, Abigail Hopkins, née en 1968, dont la maman est l'actrice Pietronella Barker, sa première épouse. 

      

      

      2010 WOODY ALLEN

      

     

     

     

    mars 2011 

      

      

    Filmographie :

     

    Acteur :

     

    Anthony Hopkins

      

      

     

    2009 : The Wolf Man, de Mark Romanek

     

      

    2007 : La Faille, de Gregory Hoblit

     

    2007 : Beowulf, de Robert Zemeckis

     

    2006 : Bobby, d'Emilio Estevez

     

    2005 : Irréfutable (Proof), de John Madden

     

    2005 : Burt Munro (The World's Fastest Indian), de Roger Donaldson

     

      

     

    2004 : Alexandre (Alexander), d'Oliver Stone

     

    2003 : La Couleur du mensonge (The Human Stain), de Robert Benton

     

      

      

    2002 : Dragon rouge (Red Dragon), de Brett Ratner

     

    2002 : Bad Company (Bad Company), de Joel Schumacher

     

    Anthony Hopkins

      

     

    2001 : Hannibal, de Ridley Scott

     

    2001 : Coeurs Perdus en Atlantide (Hearts in Atlantis), de Scott Hicks

     

    1999 : Titus, de Julie Taymor, d'après la pièce Titus Andronicus de William Shakespeare

     

    1999 : Instinct, de Jon Turteltaub

     

    1998 : Rencontre avec Joe Black (Meet Joe Black), de Martin Brest

     

    1998 : Le Masque de Zorro (The Mask of Zorro), de Martin Campbell

     

    1997 : Amistad, de Steven Spielberg

     

    Anthony Hopkins

      

     

    1997 : À couteaux tirés (The Edge), de Lee Tamahori

     

    1996 : Surviving Picasso (Surviving Picasso), de James Ivory

     

    1996 : August, d'Anthony Hopkins

     

    1995 : Nixon, d'Oliver Stone

     

     

    1994 : Légendes d'automne (Legends of the Fall), d'Edward Zwick

     

    1994 : Aux bons soins du Dr Kellogg (The Road to Wellville), d'Alan Parker

     

    1994 : A Century of Cinema, de Caroline Thomas

     

    1993 : Les Vestiges du jour (The Remains of the Day), de James Ivory

     

    1993 : Les Ombres du coeur (Shadowlands), de Richard Attenborough

     

    1993 : L'Innocent (The Innocent), de John Schlesinger

     

      

      

    1992 : Retour à Howards End (Howards End), de James Ivory

     

    1992 : Le Pouvoir et la haine (To Be the Best), téléfilm de Tony Wharmby

     

    1992 : Dracula (Bram Stoker's Dracula), de Francis Ford Coppola

     Photo — Anthony Hopkins

    1991 : Le Silence des agneaux (The Silence of the Lambs), de Jonathan Demme

     

    1990 : Desperate Hours (Desperate Hours), de Michael Cimino

     

    1988 : Le Dixième homme (The Tenth Man), de Jack Gold (Téléfilm)

     

    1986 : 84 Charing Cross Road, de David Jones

     

    1985 : Les Dessous d'Hollywood (Hollywood Wives), de Robert Day (Feuilleton télévisé)

     

    1984 : Le Bounty (The Bounty), de Roger Donaldson

     

    1981 : Le Bunker, les derniers jours d'Hitler (The Bunker), de George Schaefer (Téléfilm)

     

    1980 : Elephant Man (The Elephant Man), de David Lynch

     

    1980 : Changement de saisons (A Change of Seasons), de Richard Lang

     

    1977 : Audrey Rose, de Robert Wise

     

    1976 : Un pont trop loin, de Richard Attenborough

     

    1976 : L'Affaire Lindbergh (The Lindbergh Kidnapping Case), de Buzz Kulik (Téléfilm)

     

    1974 : Terreur sur le Britannic (Terror On the Britannic), de Richard Lester

     

    1972 : Les Griffes du lion (Young Winston), de Richard Attenborough

     

    1972 : Guerre et paix (War and peace), adaptation de la BBC du roman de Tolstoï, réalisé par John Davies

     

    1969 : Hamlet, de Tony Richardson

     

    1968 : Le Lion en hiver (The Lion in Winter), d'Anthony Harvey

     

     

     

    Réalisateur :

     

    2006 : Slipstream, d'Anthony Hopkins

     

    1996 : August, d'Anthony Hopkins

     

    1990 : Dylan Thomas : Return Journey, d'Anthony Hopkins 

      

      

      

     

    Acteur anglais.A agi dans les films : "Le Lion en hiver," "Hamlet", "Elephant Man", « Charing Cross Road, 84 inch, « Silence des agneaux, » « Royaume des ombres », « Nixon », », Amistad, « reste de la journée, « Hannibal », etc..

     

    Philip Anthony Hopkins est né le 31 décembre 1937 à Margeme - une banlieue de Port Talbot, pays de Galles. Ses parents, Tony, Dick et Muriel Hopkins, du matin au travail de nuit dans leur propre boulangerie.

     

    Selon les amis, comme un enfant, Anthony était le type silencieux, un solitaire. « Plus souvent je me souviens comment j'ai aimé se cacher dans un coin de la Cour d'école, - confirme lui-même Hopkins - ferma les yeux et m'invisible imaginé.Il me semblait que dans ce cas me serait moins compliqué.I′m terriblement peur des autres enfants."

     

    Déjà à l'école il a montré ses penchants artistiques, parodiant les enseignants et les mauvais jouer sur le piano.Son idole était un célèbre acteur britannique Richard Burton, également originaire du pays de Galles.

     

    Hopkins est entré le Cardiff College of Music et le département d'art dramatique.Tous les deux ans d'étude, il a été bien éduqué et bonne bourse.

     

    Après une carrière d'actor′s novice presque n'empêche pas de mémoire non formée (pour l'ignorance systématique des rôles il est expulsé de la troupe « Laybrerien tietr »), un autre temps - deux ans de service dans l'armée.

     

    En 1961, Hopkins est entré à la Royal Academy of Dramatic Arts et obtient son diplôme avec une médaille d'argent.

     

    Anthony a avec succès joué sur la scène - tout d'abord dans la province, puis dans les théâtres prestigieuses de Londres. Il reprend avec enthousiasme pour n'importe quel rôle. Hopkins, donc s'habituer à l'image qui pourrait paralyser la partenaire, si le rôle était censé pour venir avec lui à se battre.Administration a encouragé: « Tenir vous-même en main! »

     

    En 1965, Hopkins a commencé à parler avec le grand Laurence Olivier′s National Theater de Londres. Les critiques ont souvent lui apprécié que critiqué. Cependant, après une querelle avec le directeur de que Hopkins est contraint de quitter le théâtre au cinéma.Plus tard, il dit: « dans le théâtre irrite moi que tout ce qui se passe il est très lent.Cinq semaines de répétitions et ensuite six mois sur la scène.Et comme si le temps s'est arrêté.Dans les films plus vite.Vous filmé (bien que l'image n'est pas encore) et encore mchishsya autre emplacement.

     

    Au moment de ses débuts au cinéma dans un mélodrame historique "Le Lion en hiver » (1968) (un an avant il a joué dans le court-métrage « Bus blancs »), Hopkins était déjà bien connu dans le monde de l'intérim. Le premier s'est étonnamment bien : jouant le rôle du roi Richard cœur de lion dans sa jeunesse, Hopkins seulement ne pas gâcher l'image, dans laquelle le rôle principal interprété par Katharine Hepburn et Peter O′Toole, mais il semblait encore plus intrigante figure pour les critiques.

     

    Hopkins semblait décente dans la version cinématographique de pièces classiques (il a joué Claudius dans « Hamlet » (1969) et Torvald dans une maison de poupée « (1973) Ibsen), avec un haut niveau de professionnalisme pour créer des images de personnalités historiques (Lloyd George dans Young Winston", 1972), paraissait bien dans les lignes d'action (fringant commandos « Lorsque huit Bells Toll », 1971).

     

    Travail dans le film donne frais décents et fourni une vaste gamme d'amis intéressants.

     Anthony Hopkins

     

    Toutefois, la dépendance à l'alcool a remis en question sa carrière future. Fréquents accrochages avec les directeurs Hopkins envahis par les ragots, rumeurs, détail piquant : une fois que l'acteur mécontent a même tenté de briser la tête Directeur récalcitrants de cendrier lourdes. En 1972, il divorce de sa femme Petronell Barker, laissant sa fille, Abigail (fille allait devenir une actrice et jouera avec Hopkins dans le film "Reste de la journée"). « J'ai toujours été sujette à la dépression, a estimé très malheureuse. Oui même l'ivresse, - rappelle une difficile pour me Hopkins.-Boire de grandes quantités - pays de Galles dans l'ordre des choses.Dans sa jeunesse, l'alcool est bien mal que je n'a pas permis.Ivresse est hors de contrôle quand j'ai déménagé en Amérique.Puis m'a boire presque inconscient et est venu au bord du précipice, pensant que je ne correspondait pas à ce.Heureusement, au milieu des années 1970′s, j'ai lié avec l'alcoolisme, qui a sauvé ma vie."

     

    Hopkins a offert de jouer dans "Antoine et Cléopâtre » à la scène de théâtre prestigieuse de Londres, avec les conditions imposées : une seule goutte d'alcool pendant les répétitions et les représentations. Hopkins accepte le défi : répétitions en cours de traitement. Il entra à la société des Alcooliques anonymes. La pièce est un grand succès. Inspiré, Hopkins démontre une incroyable capacité de travail, jouant en permanence dans le théâtre et le cinéma.

     

    Il a accueilli avec enthousiasme à la scène de Broadway : le rôle du psychiatre dans la pièce « Ekvus », il a reçu le prestigieux critiques de théâtre américain.

     

    Anthony Hopkins

     

    Au cinéma le même Hopkins pendant une longue période n'a pas à obtenir la reconnaissance.Certes, il a remporté un Emmy Award pour son rôle comme un aventurier, un immigrant allemand Bruno Hauptmann dans le téléfilm « le cas de la Lindbergh kidnapping.

     

    Elle a été retirée dans le film d'horreur "Audrey Rose" (1977), film d'action militaire-historique "Pont" loin (1974), la comédie « Le changement des saisons » (1980), le drame « Magic » (1978). Pont de la distance « et » Magic "sont une continuation de l'union créative Hopkins et le réalisateur Richard Attenborough.Leur collaboration a débuté en 1972 film « Young Winston ».

     

    Hopkins a gagné en popularité répandue grâce à la jeune réalisateur américain David Lynch, qui créé une image inhabituelle de « Elephant Man » (1980) sur un certain John Merrick - le freak phénoménale qui vivait dans l'Angleterre victorienne. Jouer au docteur Frederick Travis, Merrick sortir d'une cellule animale, Hopkins a pu spectacle que sera une combinaison rare de kinogeroev, froid esprit analytique et cœur, sensibilité aux souffrances voisins.Oppression étrangère Dr Travis et sa poupe visage ramolli courageux regard bon et intelligent yeux - qui sont toujours tellement parle dans les portraits des héros Hopkins.

     

    Il est connu pour sa thorniness et sa force de caractère.Acteur et il admet qu'il est impoli envers le « pauvre David Lynch pendant le tournage de « The Elephant Man ».Dans le même temps, selon son manager et ami de longue date Bob Palmer, « Tony n'un grain de cynisme.Il ne reconnaît pas l'hypocrisie.Et immédiatement clair quand he′s heureux et quand - aucun. »

     

    Trois ans plus tard, dans le remake de « Bounty » (1984) de Roger Donaldson Hopkins a joué ce vilain.

     

     

    Le film a été très bien reçu par les critiques. Mais cette fois, Hopkins avait atteint pas de renommée mondiale, bien qu'il reconnaisse virtuoses maîtres de l'école réaliste.

     

    Dans la 1980′s l'acteur préfère le drame, le drame dans son sens le plus large : l'histoire de l'Évangile (Peter et Paul, 1981), biographie d'une figure historique (« Mussolini et moi : déclin et chute du Duce, 1985), comédie de situation (« chœur souffrant », 1989) et le mélodrame traditionnel ("homme marié", 1984) - où l'avocat prospère, un père de famille respectable conclut une affaire qui mène à des conséquences tragiques.

     

    Même un film très moyen avec Hopkins a reçu le prix lors de festivals (p. ex., peinture, Charing Cross Road, 84 ", dont l'acteur remporte le prix du Festival du Film de Moscou en 1987 pour le meilleur acteur).Lui-même un acteur plutôt simplement défini le secret de son succès-« besoin de connaître l'ABC de son métier ».Et encore plus facile: « Vous devez connaître le texte du rôle et être capable d'enseigner ».

     

    Apprendre à travailler sur une autre façon, assiste à Hopkins ...Zoo : regarder les animaux, il a conclu qu'ils avaient quelques lignes pour ses personnages.« Richard Burton écrit dans son autobiographie, ou dans un article qu'un jour qu'il a rencontré Picasso, qui lui a dit qu'il ressemblait à un lézard.Jusqu'au rôle de Hitler′s [dans le téléfilm « Bunker »] I′ve joue Macbeth au Théâtre National et lire les commentaires des auteurs américains sur ce personnage shakespearien.Comment il regarde dans l'obscurité et y trouve une sorte de Minotaure ossifiée, un monstre qui est en soi.Je me souviens que lorsque j'ai joué à Hitler.J'ai essayé d'imaginer un ptérodactyle congelé.

     

    Pour beaucoup, l'acteur était une décision surprise d'accepter le rôle de la suspense classique « Le Silence des agneaux » (1991). L'intrigue de ce nezateyliv film : jeune kursantka école prend sur le FBI voulait un tueur en série, degloving de ses victimes - le psychiatre-cannibal accepte d'aider un jeune kursantke - maniac neutralisé, mais le cannibale s'est échappé de prison. Hopkins a également soulevé le film au niveau de la sensation. Et malgré le fait que le tout deux heures maintenant, il est présent dans le cadre de quarante minutes, Hopkins a gagné un Oscar dans la catégorie « meilleur acteur de l'année.Si grand était son magnétisme personnel.

     

    Hopkins a une fois de plus réussi dans ce qu'on appelle, de présenter le texte - ie, récitant des mots banals, les yeux, les expressions faciales et pauses à des répliques, il a montré les malades mentaux et entité morte moralement a conservé la capacité de la subtile et créative de penser et d'agir. Sinistre cannibal-intellectuel tel qu'il a franchi les limites conventionnelles de son genre. Comme il regarde Dr Lecter ! Dangereux, profonde, sacrément intelligent ces yeux un prédateur dangereux. « Je voulais montrer qu'Hannibal - ne juste pas mal. Il est un bon psychologue et toujours en attente pour vous, - dit dans une interview avec Hopkins.-Vous voir, mal peut être très charmant."

     

    Enfin, Hopkins est devenu mégastar de Hollywood.Sur la scène comme l'acteur brillant, capable de la psychologie subtiles et comme une star de renommée internationale et d'artiste, disponible pour tous les genres.Mais la célébrité a un autre côté.Bientôt les tabloïds britanniques pourraient et principal-feuille dissous rumeurs diffamatoires sur la femme d'actor′s présumée infidélité Jennifer Layton (ils ont rencontré pendant le tournage du film, où Jenny a travaillé dans le groupement de producteurs).

     

     

    Sous les Cris titres tels que « Hannibal, Hopkins et une femme mariée » chronique scandaleuse a accusé l'acteur ayant une liaison avec l'actrice Joyce Ingollz - 45 ans mère de deux enfants et ex-maitresse, Sylvester Stallone, dont Hopkins a rencontré prétendument aux Alcooliques anonymes.

     

    Acteur a refusé de donner des commentaires, mais manager Bob Hopkins Palmer appelé ces rumeurs sont extrêmement exagérés, ajoutant que l'acteur et sa famille sont extrêmement découragés par ces publications laides. « Je mène une vie simple - a souligné Hopkins.-Ne buvez pas d'alcool, pas de viande, sans sucre, sans produits laitiers.Ma seule faiblesse - parfois un cigare."

     

    Hopkins′ femme, un ancien sous-directeur, a vécu à Londres. Liens familiaux libres sont satisfaits avec Hopkins , menant une vie ascétique et lui-même condamné service quasi monastique à la cause.

     

    Un an après "Silence des agneaux, Hopkins est apparu dans le rôle du Dr Van Helsing, un chasseur de vampires dans le film de Francis Ford Coppola′s de sauvage" Dracula de Bram Stoker′s. « Ce rôle Hopkins avec une part d'humour et d'expression simulée. Sur le tournage de « Dracula », il disputaient avec des Coppola en raison de... des déchets de papier de taper ! Enfance Hopkins ne tolère pas de déchets.

     

    En 1992, la Reine de la Grande-Bretagne, estimation de la contribution à l'acteur de la mère-patrie, Anthony Hopkins a accordé un titre de chevalier.

     

    Pendant ce temps, sa carrière dans le film ont continué à émerger avec succès. Dans le « Royaume des ombres » (1993), Hopkins joue le rôle du théologien et écrivain CS Lewis. Cet anglais d'âge mûr et inexpérimentés considère comme le don du bonheur et le sort de son amour pour l'intelligent, élégant, mais désespérément malades American woman (jouée par Deborah ailier). Et le miracle s'est produit : le grand amour de prolonger sa durée de vie ! Selon le directeur Attenborough, le rôle de CS Lewis devint le haut de la page creative Hopkins.Aux États-Unis et en Europe, le film connaît un succès spécial avec le public instruit et religieux.

     

    Hopkins a décidé d'essayer sa main à diriger.Cependant, plaçant le film « Août » basé sur la pièce Chekhov′s « Oncle Vania », il a déclaré que c'est sur avec le directeur, car il lui manque la patience de plusieurs mois, voire des années, à s'embêter avec un projet.

     

    Hopkins pourrait jouer un coup de œil, torsion à l'intérieur de la visionneuse. Quel butler yeux Simmons dans le film « Reste de la journée » (1993) de James Ivory ! Ce qu'une tempête de sentiments effrénées derrière ce masque de politesse impeccable avec des yeux trop attentif ! Mais Anthony Hopkins′ yeux - qu'une partie de sa magie par intérim, sur lequel nous pouvons écrire des livres ensemble.

     

    « Au cours des 10 dernières années I′ve été jouer certains types de morts de moitié, que j'ai eu assez - soudainement s'est plaint Hopkins.-Par exemple, le rôle de « Reste de la journée » absolument pas pour moi, mais j'ont travaillé avec enthousiasme, parce qu'il savait comment être émotionnellement présents à cette image.Mais même un important veulent pas un rôle à jouer plus.Je ne veux pas revivre tout cela.Tellement horrible à digérer une vie sombre sombre dans la dépression, un homme qui est tellement pathétique et stupide, que rien n'essaie pas même de refaire leur vie.

     

     

    Ces rôles - le piège.Je ne suis plus capable de faire le mort."

     

    Conscient de la nature explosive de Hopkins, beaucoup à Hollywood attend son scandale avec le réalisateur Oliver Stone pendant le tournage du film « Nixon. »Mais la nature véritablement artistique sont imprévisibles et à everyone′s, surprise, parmi eux a développé des relations très amicales.

     

    « J'ai mis films avec de nombreux acteurs célèbres - dit Pierre - mais Tony n'a aucun égal.Pour le spectateur, il est prêt à tout.Et si à chaque fois."

     

    Une décision audacieuse de ne retirer presque aucun maquillage était un prophète, et l'habileté avec laquelle Hopkins a remis des expressions faciales, manière, posture de Nixon, ainsi que sa voix distinctive conduit l'admiration. AnthonyHopkins a créé une image sombre de la politique de secretive, pas trop aimée lui-même (le résultat d'une éducation stricte), prêt, comme tous les idéalistes, saut à l'occasion de la Loi pour le bien de l'affaire de droit (de leur point de vue).

     

    AnthonyHopkins, sachant que beaucoup de femmes trouve leur style créatif - émotion impulsif - de syncope romantique, étoilé dans le film « Picasso vivant », qui a lieu en France 1940-1950-ies. Cette image de la relation complexe entre l'artiste espagnol de 62 ans Francoise Gilot et arbitraire. Picasso est présenté dans le film comme un dominateur, parfois leur comportement peut quelqu'un veuillez, mais certains ne le font pas. Oui, il est parfois cruel, mais en même temps, il sait comment l'amour, être doux et affectueux. C'est une figure controversée, cependant, comme nous tous faire, » - dit Hopkins.Sa co-star, une actrice britannique de 25 ans Natasha Makelhoun par Anthony baptisé la nouvelle Audrey Hepburn, ou Joan Crawford.

     

    « Quand j'étais plus jeune, il jamais senti confiant exécuter le rôle principal. Je ne se sentaient pas comme un héros - Anthony a reconnu Hopkins.-J'ai juste toujours voulu être un acteur célèbre.Mais maintenant, cette incertitude est passée.J'ai perdu 30 livres, que se trouvait dans une bagarre avec Oliver Stone (dans le bon sens du terme).Maintenant, en face de moi a ouvert de nouvelles possibilités.Quand je joue Picasso dans l'amour avec une femme très jeune, puis tout à coup senti que maintenant est en mesure de faire face à des images romantiques.Après tout, avec l'âge, l'esprit devient plus émotionnel."

     

    Fait des amis avec l'acteur Brad Pitt, Hopkins a été retirée dans « Légendes d'automne » et de quelques années dans la « rencontre avec Joe Black ».

     

    Peu de temps avant ses 60 ans de Hopkins apparaît dans le film « On the Verge », où l'intrigue il a dû se battre avec un ours sauvage et nager dans l'eau glacée. À la fin de ce film, il se rend au Mexique pour le tir « Zorro », mettant en vedette des jeunes avenger de mentor - Antonio Banderas. Mais alors que Hopkins a pu se faufiler dans un calendrier de travail serré une autre bande - Steven Spielberg′s drame historique "Amistad", où il joue le rôle de John Quincy Adams, qui, après que l'achèvement de son mandat fait l'acte noble et plus bruyant dans sa carrière - a aux esclaves rebelles de l'avocat au procès. Préparation pour le rôle de Adams, Hopkins retourné par le biais du volume illustré « Le président américain » et lire un chapitre de Jack Kennedy sur Adams dans son livre « braves profils.Acteur pas seulement idéale « ramassé » une voix pour ce rôle, mais elle ressemblait à un homme âgé de 72 ans.

     

    AnthonyHopkins, a reçu le grade de chevalier, dont le nom est nommé l'un des théâtres du pays de Galles sa native, a décidé en 2000 de se déplacer en permanence en Californie.

     

     

    À la maison, il offensait la presse britannique a fait un raffut. Officiellement un citoyen des États-Unis n'a aucun droit d'être appelé « Sir ». Cependant, il devint rapidement évident que Hopkins a l'intention d'avoir la double nationalité.

     

    En décembre 2000, Sir Anthony Hopkins a annoncé son intention de quitter le show business ("out of les faisceau phares, » comme il dit). Dans le monde entier, ce fut un choc. « Je regarder en arrière et voir le désert... Mon dieu... Trente-cinq ans de soixante - et j'ai dépenser ? Et de ce que j'ai laissé ? Un couple de bons films, des mauvais... Ce que l'enfer je fais cela ? «-A déploré Hopkins.Mais le destin a décrété autrement.

     

    De façon inattendue, Hopkins était le fait qu'une fois, il joue comme Hannibal Lecter dans le film de Ridley Scott′s « Hannibal » (2001), qui a tenu sa première mondiale au Festival International du Film de Berlin.

     

    Dix ans se sont écoulés depuis le Dr Hannibal Lecter, d'échapper à une clinique psychiatrique.Aujourd'hui, il mène une vie digne du prince en exil.Éviter toute la police du monde, médecin-gourmet s'installe à Florence.Ici il est entouré par des symboles de la Renaissance, est cet homme, amoureux de la peinture et la musique, donné les amusements intellectuelles, d'effacer de la mémoire de leurs précédents actes horribles.

     

    Pendant les dix premiers jours, le film a recueilli 100 millions de dollars. AnthonyHopkins , comme toujours, était magnifique, malgré l'intrigue faible et une abondance de scènes naturalistes. Cependant, le succès de « Le Silence des agneaux » est restée inégalé. Intérêt a été épuisée. Mais un autre carnivore poursuit les aventures du Dr « Dragon rouge » (2002) encore sortit, et Anthony Hopkins ont reçu un chèque de 20 millions de dollars...

     

    Dans ses temps libres, Hopkins aime voyager, se déplacer en voiture. Il est difficile converger avec les gens, préférant la solitude. « Ma femme n'est pas une actrice - dit Hopkins.-Elle a assidûment partout, modeste, rationnel, calme, pas comme tous les Jeux.Je suis au complet face à lui.Mais c'est peut-être la raison pour laquelle nous sommes bien ensemble."


    Fabuleux «, » excellent "-ces épithètes ne sont pas accordés seulement Anthony Hopkins.Et il a vraiment choquante et fascinant.  Hopkins - un grand magicien, avec l'apparition des qui sont cachée de beauté et un charme indéniable, captivant l'auditoire tout à coup, provoquant l'affichage que Hopkins - beau et unique.

     

      

     

    SOURCES : http://www.microsofttranslator.com/BV.aspx?ref=IE8Activity&a=http%3A%2F%2Fthe100.ru%2Fen%2Factors%2Fanthony-hopkins.html

     

     

     

     

     

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  • LANA TURNER

    Lana Turner surnommée "La fille au pull" - "The sweater girl"

     

    http://www.pointscommuns.com/img/acteur/8/0/5/1001805/lanaturner.jpgLana Turner naît à Wallace, aux États-Unis, le 8 février 1920 ou 1921, selon les sources. Après avoir changé plusieurs fois de résidence, elle se retrouve finalement à Los Angeles. C’est là que, en 1936, elle attire l’attention de Billy Wilkinson, propriétaire du magazine « The Hollywood Reporter ». Celui-ci la recommande à une agence de casting et la jeune fille débute à l’écran comme figurante dans « Une étoile est née » (1937).


    Elle est ensuite engagée par Mervyn Le Roy qui lui offre un rôle secondaire dans « La ville gronde » (1937). Elle s’y fait remarquer et est bientôt surnommée « The sweater girl » (« La fille au pull ») en raison du gilet moulant qu’elle porte dans le film et qui met sa poitrine particulièrement en valeur.


    En 1938, elle signe avec la M.G.M., qui vient de perdre tragiquement Jean Harlow et qui comprend vite que sa nouvelle recrue a tout pour devenir le nouveau sex-symbol de la compagnie. Elle gravit alors rapidement les échelons et obtient ses premiers rôles de vedette dans « These Glamour Girls » (1939), « Dancing Co-Ed » (1939), « Two Girls on Broadway » (1940) et « Whe Who Are Young » (1940).


    En 1941, « La danseuse des Folies Ziegfeld » la fait accéder au rang de grande star. Les années 40 constituent une période faste pour l’actrice, considérée à l’époque comme une des étoiles les plus rentables de la M.G.M. grâce à, entre autres, « Franc-jeu » (1941), « Je te retrouverai » (1942), « Johnny, roi des gangsters » (1942), « Week-end au Waldorf » (1945), « Le facteur sonne toujours deux fois » (1946), « Le pays du dauphin vert » (1947), « Éternel tourment » (1947), « Les trois mousquetaires » (1948), …


    Durant la première moitié des années 50, Lana Turner connaît encore de beaux succès comme « La veuve joyeuse » (1952), « Les ensorcelés » (1953) ou encore « Le renard des océans » (1955), tourné pour la Warner. Mais elle apparaît aussi dans des échecs commerciaux comme « Laisse moi t’aimer » (1951) ou « Le fils prodigue » (1955). Après « Diane de Poitiers » (1956), qui ne fait pas d’étincelles au box-office, la class="SpellE"M.G.M et l’actrice se séparent.


    Elle accepte ensuite l’offre du producteur Jerry Wald de tourner «Les plaisirs de l’enfer» (1957), adapté du célèbre roman «Peyton Place». Elle n’aura pas à regretter sa décision car le film remporte un triomphe.


    Le 4 avril 1958, Cheryl Crane, la fille adolescente de Lana, est témoin d’une violente dispute entre sa mère et son amant de l’époque, Johnny Stompanato, et abat celui-ci d’un coup de couteau. Le scandale fait la une des journaux et, pour en profiter au maximum, la Paramount se dépêche de sortir dans les salles « Je pleure mon amour », que l’actrice vient de terminer. L’accueil du public est plutôt tiède et, à Hollywood, on se demande si sa carrière survivra à cette triste affaire.


    Cheryl quittera libre le tribunal, l’enquête ayant établi qu’elle avait tué Stompanato afin de protéger sa mère. Lana recommence à travailler et revient au premier plan grâce au flamboyant mélodrame « Mirage de la vie » (1959), un des plus gros succès de l’histoire de la Universal. Elle est ensuite la vedette d’une autre réussite commerciale, « Meurtre sans faire-part » (1960).


    Les productions qui suivent ne sont pas à la hauteur et sa carrière décline peu à peu. Elle tient son dernier grand rôle dans « Madame X » (1966), qui ne remporte malheureusement pas le succès escompté. Les temps ont changé et le public féminin, auquel ce film était particulièrement destiné, préfère rester chez lui à regarder des « soap-opéras » à la télévision, qui s’est imposée au fil des ans comme la grande concurrente du Septième Art.


    Désormais, Lana tourne peu pour le cinéma et les rares titres émaillant alors sa filmographie sont loin d’être marquants. Comme de nombreuses vedettes de sa génération, elle travaille de temps à autre pour le petit écran. On se souviendra particulièrement de sa participation en 1982 et 1983 à la populaire série « Falcon Crest ».


    Elle s’éteint, victime d’un cancer de la gorge, le 29 juin 1995. Les réelles qualités d’actrice de Lana Turner auront sans doute été éclipsées par sa beauté et par sa vie privée mouvementée (sept maris et de nombreuses liaisons, notamment avec Howard Hugues, Tyrone Power ou encore Fernando Lamas). Pourtant, dans certains de ses films, elle a pu démontrer qu’elle n’était pas qu’une reine du glamour. Quoi qu’il en soit, elle laissera l’image d’une des plus parfaites représentantes du star-system de l’âge d’or hollywoodien.


    © Marlène PILAETE

    http://www.lesgensducinema.com/biographie/TURNER%20Lana.htm

     

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  • LAUREN BACALL

     

     

     

    Bacall Lauren

     

      

    Lauren Bacall, de son vrai nom Betty Joan Perske, naît le 16 septembre 1924 à New York.

    En 1939, elle commence ses études à l’American Academy of Dramatics Arts mais ne peux y rester faute de moyens.

    Lauren est élevée par sa mère qui lui fait apprendre la danse et la comédie. Après un emploi d’ouvreuse, elle obtient quelques petits rôles au théâtre puis devient mannequin.

    L’épouse d’Howard Hawks la remarque sur une couverture du magazine « Harper’s Bazaar ». Son mari lui signe un contrat pour 7 ans. En 1944, pour son premier film, Lauren Bacall partage la vedette du « Port De L’Angoisse » (1945) avec Humphrey Bogart.

      

      

    C’est à ce moment qu’elle obtient le sournom de « the look » (le regard) en référence à une scène du film alors qu’elle est debout sur le pas de la porte, elle lance à Humphrey Bogart un regard resté célèbre.

    Son succès est immédiat, sa voix rauque si particulière et son talent d’actrice la projettent sur le devant de la scène.Elle rapidement montre sa personnalité sur l’écran. Entre les 2 acteurs, le coup de foudre est immédiat.

      

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    Le 21 mai 1945, Bogart et Bacall se marient. Ils eurent 2 enfants : Leslie et Stephen.

    Ils tournent ensemble « Le Grand Sommeil » (1946), « Les Passagers De La Nuit » (1947) et « Key Largo » (1948) tous avec Humphrey Bogart.

    Poussée par son époux à prendre plus de liberté vis-à-vis des studios, Lauren accepte de tourner 2 films en 1949 et en 1950 avant de rompre son contrat avec l’accord de ses producteurs.     

     

    Après une longue absence, elle revient en 1953 avec « Comment Epouser Un Millionnaire » (1953) avec Marylin Monroe et Betty Grabble où elle montre ses talents dans la comédie en femme volontaire, incisive et élégante.

     

     

     

     

     

      

    « La Toile D’Araignée » (1955) étant un échec, on l’incite à tourner « L’Allée Sanglante » avec John Wayne alors que le film est contraire à leurs enguagements politiques : elle n’y participera finalement pas. La MGM l’engage en 1957 pour remplacer Grace Kelly dans « La Femme Modèle » (1957). Malheuresement, Humphrey décède pendant le tournage, elle finit par noyer son chagrin dans le travail. 

    Le 4 juillet 1961, elle se remarie avec Jason Robards Jr (1922-2000) avec qui elle aura un 3ème et dernier enfant : Sam Robars. Ils divorcèrent en 1969.

      

     

    Sa période noire du cinéma commence : « Shock Treatment » (1963) et « Détective Privé » (1966) avec Paul Newman et Julie Harris sont de grands échecs. Le théâtre lui apporte de grandes satisfactions : elle triomphe à Broadway dans « Goodbye Charlie « , dans « Fleur De Cactus » et dans « Applause ».

     

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    « Bogie m’a toujours dit de ne pas revivre le passé… J’ai eu 13 ans de malchance. Mais je sens que ma vie est en train de changer » avoue-t-elle. 

    En effet, Lauren Bacall est revenue sur les écrans en 1974 avec « Le Crime De L’Orient-Express », elle est également sollicitée par le petit écran et continue de se produire sur les planches en Grande Bretagne comme aux Etats-Unis.

     

     

     Lauren Bacall

     

     

    Lauren Bacall est l’auteur de 2 autobiographies : « Lauren Bacall : By Myself » en 1978 et « Now » en 1994.

     

    Lauren Bacall continue de travailler pour l’industrie cinématographique. Dernièrement, elle a jouée dans « Dogville » (2003) avec Nicole Kidman, elle a prêtée sa voix à la sorcière du film animé « Le Chateau Ambulant » (2005) et on la verra prochaînement dans le film « The Walker » (2006) avec Woody Harrelson.

     

    Retouvez son étoîle au Walk of Fame au numéro 1724 sur Vine Street

     

    Quelque unes de ces citations :

     

    « Je n’ai jamais cru que le mariage était un enguagement durable… J’ai pensé qu’il fallait être marié pendant 5 années était être marié pour toujours »

     

    « Je travaille toujours, je ne me suis jamais arrêté et, tant que ma santé sera bonne, je ne m’arrêterai pas »

     

    « Je suis une démocrate total. Je suis anti-Républicaine. Et il est seulement juste que vous sachiez que ce… je suis libéral ! »

     

    « Nous vivons dans un âge de médiocrité. Tenir le premier rôle n’est pas aujourd’hui la même stature qu’à l’époque avec Humphrey Bogart, James Cagney, Spencer Tracy, Henry Fonda et Jimmy Stewart »

     

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  • CINEMA AMERICAIN - LES ACTRICES

      

     

    LILIAN GISH

      

    Véritables icônes, les actrices américaines des années 30 on fait rêver des foules entières. Elles furent de véritables modèles de beauté auprès des femmes et des hommes.

      

      

      

    JEAN HARLOW

      

    Les actrices américaines des années 30, incarnaient un idéal féminin s'inscrivant dans la modernité. Ces actrices à la plastique de rêve et au tempérament de feu

     

     

      LOUISE BROOKS

      

    restent à l'heure actuelle de véritables symboles de liberté et de beauté. De l'éclatante Bette Davis des années 30 à la sulfureuse Marilyn Monroe en passant par la magnifique Grace Kelly ou la pétillante Ava Gardner, elles ont toutes marqué le cinéma américain des années 30.

      

      

    CINEMA AMERICAIN - LES ACTRICES

      

    Joan Blondell

      

      

    L'âge d'or du cinéma américain représente une période effervescente allant de la fin des années 30 au début des années 60.

      

     

     

    VERONICA LAKE

      

    C'est à la fin des années 40 que cette période connaît une véritable apogée. Durant cette période on voit apparaître beaucoup de comédies quelques peu naïves et des films noirs teintés d'angoisses.

      

    CINEMA AMERICAIN - LES ACTRICES

      

    Ida Lupino

      

      

    Il s'agit aussi d'une période durant laquelle de nombreuses actrices américaines apparaissent.

      

     

     

    MAUREEN O'HARA

      

    Cependant peu d'entre elles deviendront de véritables égéries. On retrouvera bien évidemment la chaleureuse Marilyn Monroe et des pin-ups comme

      

     

    CINEMA AMERICAIN - LES ACTRICES

     

     

     Barbara Stanwyck

    Doris Day

      

    ou encore

      

      

      

    Betty Grable.

      

    Avec pas moins de onze nominations à l'Oscar de la Meilleure actrice, Bette Davis étaient une actrice à la fois fougueuse et passionnée.

      

    CINEMA AMERICAIN - LES ACTRICES

      Cathy O'Donnell

      

      

      

      

    Avec plus de cent films à son actif, Bette Davis s'est offerte de façon sublime aux passionnés de cinéma. Elle incarna le modèle de la femme émancipée des années 30 ainsi que l'âge d'or des films sentimentaux. Actrice Hollywoodienne, elle remportera un premier oscar pour le film « L'intruse » en 1935 puis un second pour « L'insoumise » en 1938.

      

      

      

      

    Grâce au succès du film « Eve », elle sera reconnue pour son talent à l'échelle mondiale. Quant à Ava Gardner, autre icône du cinéma des années 30, elle était considérée comme étant l'une des plus belles femmes d'Hollywood.

      

    Grâce à son regard impétueux et chargé d'émotion, la carrière d'actrice d' Ava Gardner se centra essentiellement sur des rôles de femme fatale. C'est en 1946 avec son rôle dans le film noir « Les tueurs » qu'Ava Gardner commence à se faire reconnaître véritablement. Dans les années 50, elle enchaînera les succès avec des films comme « La comtesse aux pieds nus » datant de 1954.

      

      

    ANNE SAVAGE

      

     

     

     CINEMA AMERICAIN - LES ACTRICES

     

    Anna Mae Wong

     

     

     CINEMA AMERICAIN - LES ACTRICES

     

    Joan Bennett

     

     

     Gale Storm

    GALE STORM

      

      

    CINEMA AMERICAIN - LES ACTRICES  

     

     

    GENE TIERNEY 

      

      

    N'oublions pas de parler de la sublime Rita Hayworth incarnant la sensualité à l'état brut. Immortalisée grâce à des films comme « Gilda » ou « La dame de Shanghaï », elle reste une véritable légende.

      

     

     

      

    Sacrée dans les années 50, Audrey Hepburn a su conquérir les spectateurs grâce à son charme naturel. On la verra apparaître dans des films comme « Sabrina » en 1954 ou dans « Ariane ». N'omettons pas de parler de la divine Grace Kelly

      

    qui deviendra la célèbre Princesse Grace de Monaco.

      

     

      

      

      

    TIPPI HEDREN

      

      

    Elle apparaîtra dans de nombreux films d'Alfred Hitchcock dont le célèbre

      

    Légende:Grace Kelly

     

      

    « Fenêtre sur cour ».

      

      

    Il n'est pas possible de parler des actrices américaines des années 30, sans mentionner la cultissime Marilyn Monroe.

      

     

      CINEMA AMERICAIN

    Cette icône hollywoodienne reste à l'heure actuelle un véritable mythe.

      

    On la verra apparaître dans des films comme « Eve » aux côtés de

      

    Bette Davis, ou dans « Les hommes préfèrent les blondes » datant de 1953.

      

    Elle fut connue pour ses nombreuses conquêtes amoureuses avec des célérités comme

    Elvis Presley, Frank Sinatra, J.F Kennedy, ou encore Yves Montand et Marlon Brando.

      

      

    D'autres actrices illumineront les écrans et s'inscriront comme des mythes du cinéma américains des années 30 comme

      

    Elisabeth Taylor,

      

      

    148424_464517357479_502862479_5452449_8250175_n

    Joan Crawford,

      

      

    Lauren Bacall,

      

      

      

    Judy Garland,

      

     

     

     Lana Turner

      

     

     

     

    KIM NOVAK dans vertigo

      

    ou encore

    Ingrid Bergman. 

      

      

     

     

     

     

     


    JODY FOSTER


     

     

     

      

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  • SOPHIA LOREN - photos

    Sophia Loren

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

     

      
      
      
    In Pictures: Sophia Loren
     Here is our ninth installment of this feature to "Love Those Classic Movies!!!" where we simply enjoy via beautiful pictures some of our favorite golden age classic stars. Not a lot of writing at all or tid bits or extras just simply as it is stated, "in pictures!"
    Hope you all enjoy Sophia Loren in pictures, cheers!!!!
     

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Sophia Loren.

     
     
     
     
     
     
    Sophia Loren.
     
     
     
     
    Sophia Loren.
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     




     
     



     
     
     
     
     

     








     
     
     



     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     


     









     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Sophia Loren.


     
     
     
     
     Sophia Loren.
     
     
     
     
     
     
     
    Sophia Loren.
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
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  • son dernier anniversaire pour ses 36 ans.... en 1962

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  • Graf Zeppelin sur Capitol." 1928

    Survol: 1928

    «Graf Zeppelin sur Capitol." Le dirigeable allemand sur sa visite à Washington en Octobre 1928. Nationale de photos en verre Co. Collection négatifs. Voir en pleine taille.

     

    http://www.shorpy.com/node?page=402

     

     

     

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  • NEW YORK 1930