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Lili Damita (de son vrai nom Liliane Marie-Madeleine Carré) est une actrice française née le 10 juillet 1904 à Blaye (Gironde) et décédée le 21 mars 1994 à Palm Beach.
Elle eut une liaison avec le prince Louis-Ferdinand de Prusse, fut l'épouse de Michael Curtiz, puis d'Errol Flynn (avec qui elle aura un enfant : Sean Flynn).
Filmographie
- 1922 : La Belle au bois dormant de Stéphane Passet
- 1922 : L'Empereur des pauvres de René Leprince : Riquette
- 1922 : La Fille sauvage de Henri Étiévant : Henriette Villedieu
- 1923 : La Voyante de Leon Abrams et Louis Mercanton
- 1923 : Corsica de René Carrère et Vanina Casalonga
- 1925 : Célimène, la poupée de Montmartre (Das Spielzeug von Paris) de Michael Curtiz
- 1926 : Fiaker Nr. 13 de Michael Curtiz : Lilian
- 1926 : Le Cas du professeur Mathias (Geheimnisse einer Seele) de Georg Wilhelm Pabst
- 1926 : Der Goldene Schmetterling de Michael Curtiz : Lilian
- 1926 : On ne badine pas avec l'amour (Man spielt nicht mit der Liebe) de Georg Wilhelm Pabst : Calixta
- 1927 : The Queen Was in the Parlour de Graham Cutts : Prinzessin Nadya von Kraya
- 1927 : Die Berühmte Frau de Robert Wiene
- 1928 : Die Große Abenteuerin de Robert Wiene
- 1928 : Die Frau auf der Folter de Robert Wiene
- 1929 : The Rescue de Herbert Brenon : Lady Edith Travers
- 1929 : The Bridge of San Luis Rey de Charles Brabin : Camila (La Perichole)
- 1929 : The Cock-Eyed World de Raoul Walsh : Mariana Elenita
- 1930 : Soyons gais d'Arthur Robison : Kitty
- 1931 : Quand on est belle d'Arthur Robison : Laura Murdock
- 1931 : Le Père célibataire de Chester M. Franklin et Arthur Robison
- 1931 : L'Attaque de la caravane (Fighting Caravans) d'Otto Brower et David Burton : Felice
- 1931 : Madame Julie (The Woman Between) de Victor Schertzinger : Julie Whitcomb
- 1931 : Friends and Lovers de Victor Schertzinger : Mrs. Alva Sangrito
- 1932 : La Belle nuit (This Is the Night) de Frank Tuttle : Germaine
- 1932 : Une heure près de toi de George Cukor et Ernst Lubitsch : Mitzi Olivier
- 1932 : The Match King de Howard Bretherton et William Keighley : Marta Molnar
- 1933 : On a volé un homme de Max Ophüls : Annette
- 1933 : Goldie Gets Along de Malcolm St. Clair : Goldie LaFarge
- 1935 : Brewster's Millions de Thornton Freeland : Rosalie
- 1935 : Emeutes (Frisco Kid) de Lloyd Bacon : Belle Morra
- 1935 : Pirate Party on Catalina Isle de Gene Burdette et Alexander Van Dorn (court-métrage)
- 1936 : The Devil on Horseback de Crane Wilbur : Diane Corday
- 1937 : L'Escadrille de la chance de Max de Vaucorbeil : Edwige
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Biographie
Tissot est né à Nantes, France. Dans les environ de 1856, il commença à étudier à l' École des Beaux-Arts à Paris par Hippolyte Flandrin et Lamotheet se lie d'amitié avec Edgar Degas et James Abbott McNeill Whistler. Tissot expose au Salon de Paris pour la première fois en 1859, deux portraits de femmes et trois scènes en costume médiéval de Faust. Ce dernier montre l'influence du peintre belge Henri Leys (Jan août Hendrik Leys), dont il avait rencontré à Anvers en 1859. Cependant, dans le milieu des années 1860, Tissot a commencé à se concentrer sur représentant souvent des femmes, bien que pas toujours montré à la robe moderne. Comme ses contemporains tels que Alfred Stevens et Claude Monet, Tissot a également exploré japonisme, y compris les objets japonais et les costumes dans ses photos. Un portrait de Tissot de Degas, de ces années (Metropolitan Museum of Art, New York), montre qu'avec un écran japonais accroché au mur.[
Tissot a combattu dans la Guerre Franco-Prusse puis dans la défense de la Commune de Paris. Parce que les associations politiques causées par ce dernier, ou tout simplement en raison de meilleures possibilités, il quitte Paris pour Londres en 1871. Ayant déjà travaillé comme un caricaturiste pour Thomas Gibson Bowles, le propriétaire du magazine Vanity Fair, ainsi qu'il exposa à la Royal Academy, Tissot est arrivé avec des connexions sociales et artistiques établies à Londres. Il a rapidement développé sa réputation comme un peintre de femmes élégamment habillées dans des scènes de la vie à la mode.
AUTO PORTRAIT
En 1874, Degas lui a demandé de se joindre à eux à la première exposition organisée par les artistes, nous appelons les impressionnistes, mais refusa de Tissot. Il continua d'être proche de l'artistes cependant. Berthe Morisot lui rendit visite à Londres en 1874, et il se rendit à Venise avec Edouard Manet à vers la même époque. Il voit aussi Whistler régulièrement. 1875-6, Tissot a rencontré une divorcée irlandaise nommée Mme Kathleen Newton, qui devient la compagne et le modèle fréquent du peintre. Elle a emménagé dans le ménage de Tissot Wood de St. John's, Londres, 1876 et y resta jusqu'à sa mort dans les derniers stades de la consommation en 1882.
Après la mort de Kathleen Newton, Tissot revient à Paris. Une grande exposition de son œuvre a eu lieu en 1885 à la Galerie Sedelmeyer, où il montre 15 grands tableaux dans une série intitulée La Femme à Paris. Les scènes de genre, des femmes à la mode, qu'il a peint à Londres, à la différence de ces peintures représentent les différents types et catégories de femmes, dans leurs contextes professionnels et sociaux. Les œuvres suggèrent l'influence des estampes japonaises dans leur utilisation des angles inattendus et la charpente.
Pendant le milieu des années 1880, Tissot a connu une révélation religieuse qui a amené à passer le reste de sa vie, illustrant la Bible. En 1886, 1889 et 1896 pour faire des études sur le paysage et le peuple, il se rend au Moyen-Orient. Ils ont été publiés dans une édition française en 1896–7 et dans un anglais en 1897-8. Tissot a passé les dernières années de sa vie à travailler sur des peintures de sujets de l'ancien Testament (Jewish Museum, New York). [[ [] 4] Bien que jamais, il a terminé la série, en 1901, il expose 80 d'entre eux à Paris et gravures après eux ont été publiés en 1904. Tissot meurt dans le département du Doubs en France en 1902, alors qu'il vivait dans le Château de Buillon, dont il avait hérité de son père en 1888.[5]
ETUDE
tableau definitif " la mauvaise nouvelle"
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Jamais huit sans neuf (sang neuf ?)... Selon le tabloïd américain Us Weekly, la divine Elizabeth Taylor , âgée de 78 ans,va se marier pour la neuvième fois... avec un jeune homme de 49 ans.
Définitivement femme «cougar», la mythique actrice aux yeux violets s'offre par ailleurs un mariage mixte. Un événement pas si fréquent chez les people en Amérique.
Jason Winter, le fringant élu, par ailleurs nouveau manager de Janet Jackson, travaillerait selon le journal américain pour «Sterling Winters management», une société de production d'artistes. Le couple aurait déjà confirmé l'heureuse nouvelle.
En couple depuis plusieurs années
«Leur amour n'est pas secret», aurait affirmé une source proche des deux tourtereaux, qui assure que ce mariage est planifié depuis des années. L'agence Getty possède par ailleurs des photos du couple sur tapis rouge datant de 2007.
«Jason est l'un des hommes les plus merveilleux que j'ai connu et je l'aime», avait confié la légende du cinéma hollywoodien à la journaliste Liz Smith en 2007.
Liz Taylor qui affiche une carrière de quatre décennies, a raflé deux fois l'Oscar de la meilleur actrice et s'est mariée deux fois avec l'acteur Richard Burton, semble pourtant toujours aussi fleur bleue. «Jason nous a acheté une magnifique maison à Hawaï et nous nous y rendons aussi souvent que possible.» «La Cléopâtre» de la 20th Century Fox (1963) n'a pas fini de faire des ravages.
Une carrière exceptionnelle (à découvrir en images en cliquant ici)
C’est sa mère, Sara Taylor, qui l’a poussée dans le milieu du cinéma. En 1941, elle tourne son premier film There’s One Born Every Minute mais les studios Universal ne croient pas en cette actrice enfant “au regard d’adulte“. Puis en 1943, Elizabeth joue dans Fidèle Lassie. Mais c’est le film Le Grand National qui lui donne son premier grand rôle. En 1946, Elizabeth obtient le premier rôle dans Le Courage de Lassie (Courage of Lassie), puis elle joue l’une des Quatres Filles du Docteur March. Liz, qui a souvent joué dans des comédies familiales, passe rapidement à des rôles d’adultes car elle grandit vite et sa beauté devient évidente. C’est à l’âge de seize ans qu’elle joue dans le film Guet-apens aux côtés de Robert Taylor, dont elle sera l’épouse. En 1951, la jeune actrice rencontre son meilleur ami, Montgomery Clift sur le tournage de Une Place au Soleil. Par la suite, elle enchaîne plusieurs superproductions, notamment Géant et L’Arbre de Vie.
Elizabeth Taylor acquiert son premier Oscar de la meilleure actrice en 1961. Deux ans plus tard, c’est la consécration. Elle interprète Cléopâtre dans le film éponyme. C’est un véritable succès et elle devient l’actrice la mieux payée du cinéma. Son deuxième oscar lui est décerné pour sa prestation dans le film Qui a peur de Virginia Woolf?.
Sa carrière ne s’arrête pas là puisqu’elle participe à de nombreux films comme La Mégère apprivoisée, Reflets dans un oeil d’or, Les Noces de cendre, Victoire à Entebbé, Le Miroir se brisa, L’Oiseau Bleu, ou encore Les Pierrafeu, sorti en 1994 et qui sera son dernier et plus mauvais film.
Elizabeth Taylor a également une belle carrière sur le petit écran. Elle participe aux séries télévisées Hopital Central, La Force du Destin, à la saga Nord et Sud, et elle prête même sa voix à Maggie dans Les Simpsons (série qui lui a aussi créé son propre personnage).
Liz Taylor, une femme au grand cœur
Liz Taylor n’est pas seulement une grande actrice. C’est aussi une femme téméraire et engagée. Après le décès de son ami Rock Hudson, mort du sida, Liz consacre énormément de temps à communiquer sur cette maladie et à collecter des fonds pour la lutte contre le sida. En 1991, elle fonde même The Elizabeth Taylor AIDS Foundation destiné à recueillir des dons. Elle est présente dans bons nombres d’évènements pour la lutte contre le sida, comme les soirées organisées au Festival de Cannes tous les ans (voir ici).
Elizabeth Taylor reçoit des récompenses pour ses activités caritatives. Hormis ceux-ci et ses Oscars, ce ne sont pas les seules récompenses qu’elle gagne. Rien qu’en France, Jack Lang lui remet les insignes de commandeur des Arts et des Lettres en 1985 (voir la vidéo ici), et en 1987 elle est décorée de la Légion d’Honneur par François Mitterrand.
Ses époux, ses amants, ses amis
En ce qui concerne sa vie privée, Elizabeth Taylor est connue pour ses nombreuses relations amoureuses. Elle a été mariée huit fois avec sept hommes différents. Elle a épousé deux fois l’acteur Richard Burton, avant de divorcer deux fois de lui (en 1974 puis en 1976). Elle se marie pour la première fois en 1950 avec Nicky Hilton, et pour la dernière fois en 1991 avec Larry Fortensky, de qui elle divorcera 5 ans plus tard. Son dernier compagnon aura été Jason Winters, un petit jeune de trente ans de moins qu’elle. De ses unions, elle a eu quatre enfants. En dehors de ses mariages, Elizabeth a également eu des liaisons, avec George Hamilton ou Frank Sinatra par exemple.
Liz Taylor est une femme qui a bon nombre d’amis. Parmi eux, se trouvent Montgomery Clift (à qui elle sauva la vie), James Dean ou encore Michael Jackson dont elle était très proche. En 1989, elle remet un prix à ce dernier aux Heritage Awards. Pour voir la vidéo, cliquez ici. A l’occasion des 65 ans de l’actrice, le Roi de la Pop a chanté Elizabeth I love you, qu’il a composé spécialement pour elle (voir la prestation de Michael Jackson ici).
Nous disons donc au revoir à une grande actrice, à une femme extraordinaire, à une légende intemporelle.
Pour voir les images de cette étoile d’Hollywood, cliquez ici.
Sur ce thème : liz taylor
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Le lit à baldaquin, dans lequel l'actrice a célébré la dernière de ses nuits de noces, va être vendu aux enchères la semaine prochaine à Edimbourg.
Les lots, issus de l'une des plus belles collections privées du XIXe siècle victorien et appartenant à la famille Forbes aux Etats-Unis, seront constitués d'objets de décoration, de tableaux, ou encore d'objets intimes, comme des sous-vêtements de la Reine Victoria.
Mais la pièce phare reste bien le lit que la comédienne et artiste regrettée avait utilisé, le soir de son mariage avec Larry Fortensky, à Old Battersea House, son lieu favori à Londres.
La vente, d'ores et déjà très attendue, pourrait rapporter quelque 4,8 millions de dollars. Les lits jumeaux occupés par l'ancien président américain Ronald Reagan et son épouse seront également mis en vente.
D'autre part, les trésors d'Elizabeth Taylor vont bientôt faire des heureux puisque le 14 décembre prochain, 189 pièces de haute joaillerie dont quatre-vingts parures exceptionnelles de la défunte star seront mises aux enchères par la maison Christie's à New York. Une vente dont le montant total est estimé à 30 millions de dollars.
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Sophia Loren
In Pictures: Sophia LorenHere is our ninth installment of this feature to "Love Those Classic Movies!!!" where we simply enjoy via beautiful pictures some of our favorite golden age classic stars. Not a lot of writing at all or tid bits or extras just simply as it is stated, "in pictures!"
Hope you all enjoy Sophia Loren in pictures, cheers!!!!
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René Magritte est né en Belgique en 1898.
Peintre, dessinateur, graveur, sculpteur, photographe et cinéaste de génie.
Considéré comme l'une des personnalités distinctes du mouvement surréaliste, il est reconnu comme le peintre belge le plus important du 20e siècle.
René Magritte
René Magritte naît le 21 novembre 1898 à Lessines dans la province belge du Hainaut. Magritte s’inscrit à l’Académie des Beaux-Arts de Bruxelles en 1916. Il peint tout d’abord selon les règles cubistes et futuristes mais se sent attiré plus intensément par un cercle littéraire travaillant dans l’esprit de Dada. Avec René Magritte comme personnage central, ce groupe constitue le noyau du surréalisme qui se développe en Belgique entre 1925 et 1930. Le jeune artiste gagne sa vie grâce à son activité de dessinateur dans une usine de papiers peints et il conçoit aussi des annonces pour les magasins de mode. La découverte du mouvement "Pittura Metafisica" (peinture métaphysique) l’incite à prendre un tournant artistique et à se détacher de ses premières œuvres.
Confronté à l’incompréhension du milieu artistique bruxellois face à ses débuts surréalistes, Magritte s’établit à Paris en 1927. Là, il a un rôle actif dans le cercle des surréalistes jusqu’en 1930, cercle dont André Breton et Paul Eluard font partie. Sa première exposition individuelle a lieu dans la galerie "Le Centaure" en 1927. C’est grâce à l’artiste et collègue André Breton que Magritte est confronté aux œuvres de Max Ernst, de Francis Picabia et de Marcel Duchamp. A cette époque, le style de l’artiste, réservé et particulier, mais néanmoins gracieux et mystérieux, commence à se manifester de manière définitive. Les personnes et les objets représentés de manière réaliste sont arrachés de leur milieu et de leur entourage habituels et opposés dans des constellations dont le contenu et l’optique nous surprennent.
Fatigué par l’atmosphère polémique des cercles artistiques parisiens, René Magritte retourne à Bruxelles en 1930. Les années suivantes, Magritte est présent dans toutes les expositions importantes de l’art surréaliste. L’artiste écrit quelques articles et de courts textes dans lesquels il expose sa conception sur les possibilités de l’art.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, il commence une série dans le style de Renoir, mais revient à la technique du glacis des maîtres anciens peu de temps après, technique qu’il utilise d’ailleurs également dans le domaine de la peinture murale. En 1953, le peintre achève huit peintures murales pour la salle à manger du casino de la ville de Knokke-Le-Zoute et une peinture murale pour le Palais des Beaux-Arts de Charleroi en 1957, une autre commande est passée pour le Palais des Congrès de Bruxelles en 1961. De nombreuses rétrospectives, dont une au Musée d’art moderne de New York en 1965, succèdent dans les années 60 à l’appréciation internationale du public accordée tardivement.
René Magritte meurt le 15 août 1967 à Bruxelles.
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