• bessielove.jpg

    Partager via Gmail Delicious Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

  • Marilyn-Monroe-by-Milton-Greene-1955.jpg

    Partager via Gmail Delicious Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

  • Humphrey BOGART

    Partager via Gmail Delicious Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

  •   

      

     

      

    Cette photo a été prise en 1942, l'assemblage du fuselage avant de Bombardier d'un bombardier B-17 F. La photo a été prise à l'usine Douglas Aircraft Company à Long Beach, en Californie. Le B-17 a été connu à la «forteresse volante», Le B-17 avait un équipage de 7-9 hommes.

     

     

    Beaucoup de discussions intéressantes, hier sur le sujet de l'emploi manufacturier aux États-Unis. Je dois admettre que je me demande juste combien a été externalisée. Par exemple, y at-il des usines de tissu courir aux Etats-Unis qui serait capable de prendre en coton, et faire des t-shirts. Notre petite ville a une filature de laine qui peuvent prendre la laine brute à partir d'un mouton, et la transformer en des couvertures vraiment très agréable. Il fonctionne toujours, mais malheureusement, il est un musée maintenant. Il a dû fermer il ya longtemps, car personne ne veut une couverture de laine fine (cher). Tout le monde veut une couverture en polyester de 5 $ par Walmart. Trier du triste que nowdays une usine de laine de fonctionnement ne peut être trouvée dans un musée.
      
      

     ...continuons la recherche à l'effort Seconde Guerre mondiale Guerre. Aujourd'hui image a été prise en 1942, et montre que les femmes travaillant sur le fuselage de l'Bomber Liberté. La photo a été prise à Ft.. Worth, au Texas, à la Consolidated Aircraft Corporation.

      

     

    Bienvenue à la Semaine des travailleurs de guerre ici au OPOD. Comme hommes sont entrés dans l'armée pour servir dans la Seconde Guerre mondiale, les femmes ont dû intervenir et combler les postes qui avaient été faites par les hommes. Les femmes déplacées dans des emplois qui étaient traditionnellement occupés par des hommes. La photo ci-dessus a été prise en 1942, et montre une femme peignant les insignes sur l'aile d'un avion américain.

     

     

     

    Cette photographie a été prise en 1942. Il montre la formation des infirmières pour la guerre du gaz. Tandis que les femmes sont représentés dans une formation d'exercice , et non d'une attaque réelle de gaz, j'ai toujours pensé que cette photo avait une sorte d' étrange apocalyptiques se tournent vers elle.

      

      

      

    Cette image montre des femmes travaillant dans l'effort de guerre Seconde Guerre mondiale. Avec un large segment de la population masculine de servir dans l'armée, les femmes intensifié et rempli de nombreux emplois autrefois considérés comme un travail d'homme. Tout au long de la Seconde Guerre mondiale, les femmes ont démontré qu'elles pouvaient accomplir une variété de métiers et des emplois professionnels. Lorsque les hommes revenaient de la guerre, beaucoup de femmes restaient dans l'effectif.

      

      

    Aujourd'hui nous vous présentons une photographie d'une travailleuse dans l'effort de guerre Seconde Guerre mondiale. Pendant la guerre, une large fraction de la population active des Etats-Unis a été occupée dans la lutte contre la guerre. Dans le même temps, il y avait une énorme demande pour les travailleurs de construire des avions, des chars, et autres équipements nécessaires pour combattre la guerre. Afin de combler les emplois, de nombreuses femmes avaient commencé à travailler dans des emplois auparavant réservés aux hommes. Cette image montre une femme qui travaille sur le bombardier B-24 Liberator.

     

    Le kamikaze premier libérateur est sorti de la ligne de production Willow Run, ce jour, Novembre 28, dans l'année 1942. Aujourd'hui, nous levons notre chapeau à toutes les femmes s'avancèrent vers de nouveaux emplois et difficiles à aider les Alliés à gagner la guerre.    

     

     

    Aujourd'hui nous terminons notre série de photos sur l'effort de guerre avec cette image d'une femme travaillant à la surface de contrôle d'un stabilisateur d'un bombardier. Elle travaille pour l'entreprise nord-américaine de l'aviation. Je dois dire que j'ai apprécié les photos cette semaine. Il est bon de voir des gens travailler avec leurs mains, en fait de construire quelque chose. Nous avons besoin de plus de ce ces jours-ci.

      

      

    sources : http://old-photos.blogspot.com/search/label/World%20War%20II

      

      

     

    Partager via Gmail Delicious Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

  •  

    La Cour Royale était l'organe suprême du pays, elle était composée d'un Roi et des mandarins.

    Une "Assemblée Générale" était organisée tous les 1 et 15 de chaque mois au Palais Thai-Hoa. Les mandarins qui siégeaient à la capitale devaient être présents. Ils s'alignaient dans La Cour Royale, devant le Roi, en suivant une règle stricte: les plus haut gradés devant.

    A la tête de l'administration, on retrouvait un Tong Doc (Gouverneur général ou Préfet), chargé de l'administration des provinces, il avait sous ses ordres les mandarins chefs de circonscription (tri phu, tri huyên, tri châu) qui devaient faire respecter les lois, les règlements et assurer l’exécution des ordres de l’autorité.

    Pour accéder au mandarinat, il fallait être un lettré, et pour cela réussir les examens qui se déroulaient à Nam Dinh tous les 3 ans (voir "La progression sociale").

    On reconnaissait l'importance d'un mandarin au nombre de parasols qu'il possédait lors de ses déplacements.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

  • Les photos d'époque de la Cochinchine (du Sud)

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    SOURCES : http://nguyentl.free.fr/html/photo_epoque_sud_p3_fr.htm

    Partager via Gmail Delicious Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

  •   

      

      

    BIOGRAPHIE


     D'origine sicilienne flamande, il passe son enfance entre la région parisienne et Marseille.

    Dès l'âge de 10 ans lors d'une colonie de vacances, il monte sur les planches et interprète un sketch comique. C'est la révélation, entendre son public rire le motive à poursuivre sur cette voie, passionné d'humoristes, ou plutôt comme il aime les appeler : les "Sketchers", ceux qui font des sketches. Il adore fouiner rue des Ecoles à Paris, acheter des disques vinyles ou des k7 de divers sketchers.

    A l'âge de 17 ans avec son "frère spirituel", David Salles, ils décident d'aller faire une audition pour une émission de télé à Strasbourg… en vain. Ils ne sont pas pris, mais rencontrent une comédienne dans le train, qui leur conseille de prendre des cours car ils avaient, d'après elle, "quelque chose".

    Et c'est à "La Nouvelle Ecole de l'Acteur" avec un professeur guatémaltèque, Rafaël Gozalbo, qu'ils apprennent l'écriture, l'improvisation en groupe, le seul en scène, le 2 en scène, et 3 et 4…

      

    Ensuite Bruno part à l'aventure, mais le chemin est long et semé d'embûches, d'embuscades, de petits boulots.

     

      

    En 1993, il écrit son premier spectacle, "On n'a pas le titre", avec Emmanuel D'ancourt, et sa suite : "On n'a toujours pas le titre !" Puis en 1994, il écrit le one man show "N'est pas cochon d'inde qui veut !"

    1996, tout s'enchaîne après un passage chez Graines de Stars, il auditionne au Carré blanc à Paris, et y joue son spectacle en compagnie d'Eric Collado, Jean Dujardin, Eric Massot et Emmanuel Joucla. Chacun d'eux avait son propre spectacle, mais la complicité fut tellement forte qu'avec la plus grande spontanéité, les Nous c Nous ce sont formés, recueillant un grand succès, à la télévision notamment.

      

     

    Il commence la scène en 1991, en jouant dans des petites salles et des MJC. Il a aussi travaillé chez Eurodisney, où il a incarné le personnage Dingo.

     

    Après la dissolution du groupe, il crée deux one man show et joue dans quelques téléfilms. En 2004, il retrouve Jean Dujardin et Eric Collado dans le film Brice de Nice.

     

    .

     

      

      

    Au cinéma, après une première apparition dans Gamer, il est dans Le carton de Charles Némès etprête sa voix au personnage de Syndrôme dans Les Indestructibles des Studios Pixar. Suivent un petit rôle dans la série télé "Clara Sheller" et dans l'adaptation cinéma de Brice de Nice, face à son complice Jean Dujardin, dans le rôle d'Igor Hossegor.

     

    Alexandre Brasseur, Bruno Salomone et Pierre Mondy

      

    Début 2007 il passe dans le Hellphone de James Huth, avant de tenir le haut de l'affiche -enfin- avec Alexandra Lamy dans Cherche fiancé tous frais payés, une comédie éreintée par la critique et peu suivie du public. Changement de registre quelques semaines plus tard avec La maison de Manuel Poirier, aux côtés de Sergi López et BéréNice Béjo.

    En 2007, il joue l'un des personnages principaux de la série de France 2 Fais pas ci, fais pas ça, qui obtient un très beau succès

    En 2008, il est à l'affiche de la comédie Fool moon aux côtés de Artus de Penguern. En 2009, on le retrouve à l'affiche de Lucky Luke de James Huth, aux côtés notamment de Jean Dujardin, Michaël Youn et Sylvie Testud. Il y fait la voix du cheval du cowboy : Jolly Jumper.

      

      

      

      

    Filmographie

      

    Télévision :

    Voxographie :

    Spectacles

    Spectacles Seul en scène:

    • 1997 : N'est pas cochon d'Inde qui veut ! capté au Palais des Glaces
    • 2001-2002 : Mi-homme, mimolette : capté au « théâtre Trévise » et « Bataclan. »
    • 2002-2003 : Bruno Salomone Reloaded : joué au « Bataclan » « Olympia »

      

      

    SOURCES : WIKIPEDIA et http://www.cinefil.com/star/bruno-salomone

      

    Partager via Gmail Delicious Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

  • Fichier:Taylor, Elizabeth posed.jpg

     

     

     

    Dame Elizabeth Rosemond Taylor, communément appelée Liz Taylor, est une actrice britannico-américaine, née le 27 février 1932 à Londres, dans le quartier d'Hampstead, et morte le 23 mars 2011 à Los Angeles.

     

    Elisabeth Taylor

     

    Elle commence sa carrière à l’âge de dix ans et rencontre aussitôt le succès en tournant dans des films tels que Fidèle Lassie, le mélodrame Le Grand National (qui lui vaut son premier triomphe personnel) réalisé par le directeur favori de Greta Garbo, Clarence Brown, Les Quatre Filles du docteur March mis en scène par Mervyn LeRoy (qui révéla Lana Turner), la comédie Le Père de la mariée de Vincente Minnelli et sa suite… Une place au soleil et Géant, les deux de George Stevens avec respectivement Montgomery Clift, James Dean et Rock Hudson, lui ouvrent, en 1956, les portes de l’immortalité.

     

    Étoile d’Hollywood dans les années 1950 et 1960, elle reçoit deux Oscars pour ses rôles dans La Vénus au vison et Qui a peur de Virginia Woolf ?. Ses autres grands succès incluent La Chatte sur un toit brûlant, Soudain l’été dernier ainsi que Cléopâtre et La Mégère apprivoisée.

     

    Elisabeth TaylorPlus rare sur grand écran à partir des années 1970 en raison de sa santé précaire (et de l’insuccès de ses films dès la fin des années 1960), Elizabeth Taylor se consacre à la lutte contre le SIDA avant même le décès de son ami Rock Hudson en 1985.

    Elisabeth Taylor

    En 1999, l’American Film Institute distingue Elizabeth Taylor comme la septième plus grande actrice de tous les temps dans le classement AFI’s 100 Years100 Stars.

     

     

     

     

     

     

    Elizabeth Taylor naît le 27 février 1932 à Hampstead, situé en Angleterre dans la banlieue cossue de Londres, avec la nationalité britannique, de parents tous deux américains et originaires de Kansas City (Missouri). Elle est la seconde enfant de l'actrice Sara Viola Warmbrodt (de son nom de scène Sara Sothern, 1895–1994) et de Francis Taylor (1897–1968), propriétaire d'une galerie d'art. Elle grandit au 8 Wildwood Road d'Hampstead Garden Suburb auprès de ses parents et de son frère aîné Howard Taylor

    (né en 1929).

    Ses deux prénoms, Elizabeth et Rosemond lui ont été donnés en l'honneur de sa grand-mère paternelle Elizabeth Mary (Rosemond).

    Le colonel Victor Cazalet, un des meilleurs amis de la famille, a beaucoup d'influence sur cette dernière. Riche et bien introduit, membre du Parlement et proche de Winston Churchill, il est un passionné d'art et de théâtre. Il persuade les Taylor de s'établir définitivement au Royaume Uni. Adepte de Science chrétienne, ses liens avec la famille sont également d'ordre religieux. Il devient le parrain d'Elizabeth et entraîne la famille sur le chemin de sa propre obédience.

     

     

    Le biographe Alexander Walker suggère qu'il « est probable que la conversion d'Elizabeth à la religion juive, et son long engagement à la cause d'Israël, a pour origine la vision sympathique qu'elle en a eu chez elle au cours de ces années formatrices. ».

    Walter note que Cazalet était un propagandiste actif pour un État hébreu et sa mère a milité activement au sein de groupements caritatifs avec des collecteurs de fonds en faveur du sionisme. Elle se souvient de l'influence de Cazalet sur sa fille en ces termes: « Victor s'assit sur le lit et prit Elizabeth dans ses bras tout en lui parlant de Dieu. Ses grands yeux sombres scrutaient son visage, s'imprégnant de chaque parole, croyant et comprenant [ce qu'il lui disait] p. 14 ».

    Peu avant le début de la Deuxième guerre mondiale, fuyant les hostilités, les parents d'Elizabeth décident de rentrer aux États-Unis. Sara part la première avec les enfants. Elle débarque à New York au mois d'avril 1939 .

    Le père, resté momentanément à Londres pour emballer les œuvres d'art de son magasin, arrive à son tour au mois de novembre. La famille choisit de s'établir à Los Angeles, Californie, ville dont Sara est originaire et où elle possède de la famille. Francis Taylor y ouvre une galerie où il expose les peintures qu'il a rapportées du Royaume Uni. Son magasin attire rapidement de nombreuses célébrités du tout-Hollywood. D'après Walter, la galerie « ouvre grand les portes aux Taylor, leur donnant accès à la société argentée et prestigieuse » du cinéma hollywoodien. Elizabeth découvre le milieu du cinéma lorsque sa mère la présente aux studios de Hollywood.

    Elisabeth Taylor

     

    Elizabeth bénéficie de la double nationalité. Américaine par ses parents, elle est aussi citoyenne britannique par le fait d'être née sur le sol du Royaume Uni.

    Elizabeth Taylor et la religion :

    Lors de sa venue à Hollywood, la jeune femme n’était pas croyante. Néanmoins, lorsqu’elle commence à fréquenter Conrad Hilton, son premier mari, elle se convertit au catholicisme.

     

    Elisabeth Taylor

     

    Début 1959, elle se convertit au Temple Israël à Hollywood, au grand désespoir de ses parents, et reçoit le nom hébreu de Elisheba Rachel. Dans son autobiographie Elizabeth Takes Off, elle déclare que « ça n’a absolument rien à voir avec mon passé. Mes deux maris Mike Todd et Eddie Fisher étaient tous les deux juifs, mais j’avais voulu le devenir avant. ».

    Cependant la passion qu’elle a pour cette religion diminue rapidement, et elle n’est allée qu’une fois à la synagogue, sans jamais renoncer pour autant à porter sa croix. Des années plus tard, elle commence à s’intéresser à la spiritualité, à Dieu et à la prière.

     

     

    Elisabeth Taylor

     

     

     

    En 1998, elle participe à une session de 200 dollars US à 300 dollars US du Centre de la Kabbale].Ce mouvement spirituel repose principalement sur la lecture du Zohar, dont une version originale reliée en vingt-trois volumes est vendue par le centre. Cette pratique est fortement contestée par de nombreux rabbins qui y voient non seulement une appropriation mercantile de leur patrimoine culturel mais également une dérive sectaire. Comme Elizabeth Taylor, de nombreuses stars ont affirmé leur appartenance à ce mouvement comme Madonna, Tippi Hedren ou Demi Moore.

     

     

    Elisabeth Taylor

     

    Mariages :

    Mis à part sa longue « amitié amoureuse » avec l’acteur Montgomery Clift mais sans lendemain en raison de l’homosexualité de l’acteur, Elizabeth Taylor est mariée huit fois avec sept hommes différents :

    Elisabeth Taylor

    du 6 mai 1950 au 29 juin 1951, avec Conrad Nicholson Hilton Jr. (1926-1969) dit Nicky Hilton, héritier de la chaîne des hôtels Hilton et directeur de la TWA. Leur union n'est pas heureuse et se solde par un divorce au bout de neuf mois.

      Elisabeth Taylor

    du 21 février 1952 au 26 janvier 1957, avec l’acteur Michael Wilding (1912-1979)  qui est son aîné de 20 ans.

     

     Elisabeth Taylor

    du 2 février 1957 au 22 mars 1958, avec le producteur Michael Todd (1909-1958) dit Mike Todd. seule de ses unions à ne pas s’être conclue par un divorce leur idylle prend fin avec la mort du producteur.

     

    Elisabeth Taylor

     

    du 12 mai 1959 au 6 mars 1964, avec le chanteur Eddie Fisher meilleur ami de Todd et consolateur de la veuve éplorée. Leur idylle alors que Fisher est encore marié à Debbie Reynolds crée un scandale dans l'Amérique puritaine de l'époque. Elizabeth le quitte lorsqu'elle entame une liaison avec Richard Burton.

     

    Elisabeth Taylor

    du 15 mars 1964 au 26 juin 1974, avec Richard Burton (premier mariage). Richard Burton joue au théâtre à Toronto. Elizabeth et lui viennent d’obtenir leur divorce respectif du Mexique, un papier que ne voudront pas reconnaître les autorités à Toronto, qui refusent donc au célèbre couple le droit de se marier sur leur territoire.

     

    Elisabeth Taylor

     

     

    Un avocat appelle alors le Ritz Carlton, à Montréal, où Elizabeth Taylor et Richard Burton ont décidé de venir se marier puisqu’au Québec, les lois sont moins sévères. En toute discrétion, ils se disent oui une première fois, dans le salon royal de l’hôtel Ritz Carlton, à Montréal. Minée par le fait qu'elle n'obtient aucun rôle, elle devient boulimique et prend du poids. Elle divorce au bout de dix ans de mariage.

     

     

    Image du Blog fantasyval.centerblog.net

     

     

     

    Elisabeth Taylor

     

     

    .Elisabeth Taylor


    Elisabeth Taylor

     

     

      Elisabeth Taylor

     

    Franco Zeffirelli

    du 10 octobre 1975 au 29 juillet 1976, avec Richard Burton (second mariage).

     

    Elisabeth Taylor

     

    Seize mois après avoir divorcé, ils se remarient en privé à Kasane, Botswana mais se séparent rapidement et divorcent à nouveau en 1976. Burton est opposé à l'image qu'on se fait de sa beauté.

     

     

    Elisabeth Taylor

     

     

    Il admet volontiers qu'elle a « des yeux magnifiques » mais que « [l'apellation] de plus belle femme au monde est un non sens. Elle a... un double menton, une poitrine volumineuse, est plutôt courte sur pattes ».

     

    Elisabeth Taylor

     

     

    En 1976 il déclare que, lors de leur première rencontre, « elle était incontestablement splendide. Je n'ai pas d'autre mot pour décrire cette combinaison de plénitude, de frugalité, d'abondance, de minceur. Elle était somptueuse. Elle était d'une grande générosité. En bref, elle était superbe »

      Liz et Richard (1964)

    du 4 décembre 1976 au 7 novembre 1982, avec le sénateur John Warner (né en 1927) Comme pour Burton, l'actrice s'imaginait qu'être la femme d'un sénateur républicain la ferait connaître. Peine perdue. Elle est admise pour une dépression à la Betty Ford Clinic.

    du 6 octobre 1991 au 31 octobre 1996, avec l’ouvrier en bâtiment Larry Fortensky qu'elle a rencontré à l'occasion d'une deuxième cure de désintoxication à la Betty Ford Clinic. Ils se marient au Ranch de Neverland, la résidence de Michael Jackson.

     

      Elisabeth Taylor

     

    En 2010, un neuvième mariage avait été évoqué avec l'agent et compagnon de la comédienne depuis quelques années, Jason Winters, de presque trente ans son cadet. Elle déclare à la journaliste Liz Smith « Jason Winters est l'un des hommes les plus merveilleux que j'ai jamais connu et c'est la raison pour laquelle je l'aime. Il nous a acheté la plus belle maison d'Hawaï et nous nous y rendons le plus souvent possible ». Taylor et Winters ont été aperçus fêtant l'Independence Day sur un yacht à Santa Monica, Californie.

    Fichier:ElizabethTaylor 1986 cropped2.jpg

     

    Lorsqu'on lui demande pourquoi elle a épousé tant d'hommes, elle répond: « Je ne sais pas, chéri. Cela chasse sûrement le démon qui est en moi » mais en fait, la réalité est toute autre: Elizabeth Taylor n'a jamais été heureuse.

     

    Elisabeth Taylor

     

    Amants :

    C. David Heymann, dans son livre Liz : La biographie non autorisée d’Elizabeth Taylor, dresse la liste des amants de la belle actrice, grande séductrice de l’écran dotée d’une vitalité extraordinaire (en témoigne sa résistance à ses problèmes de santé et à ses abus divers). Outre ses amitiés amoureuses avec les plus célèbres homosexuels d’Hollywood (Montgomery Clift, Rock Hudson...) et ses liaisons déjà citées avec les réalisateurs Stanley Donen et Richard Brooks et avec l’acteur George Hamilton, le biographe détaille (de façon parfois choquante) les passades de Taylor, avec les acteurs Peter Lawford, Victor Mature, et le chanteur et acteur Frank Sinatra parmi les plus connus de ses amants.

     

     

     

     

    Liz taylor et ses enfants

     

    Fichier:Liz Taylor, Liza Todd and Mike Todd by Toni Frissell, 1957.jpg

     

    Enfants :

    De ses différentes unions, Elizabeth Taylor a eu plusieurs enfants :

     

    • avec Michael Wilding :
    • avec Michael Todd :
      • Elizabeth Frances Todd, surnommée Liza (née le 6 août 1957) ;
    • avec Richard Burton:
      • Une fille adoptive, Maria Burton (née le 1er août 1961, adoptée en 1964). Les démarches d'adoption ont été faites à l'époque où Elizabeth Taylor était mariée à Eddie Fisher mais ont abouti lorsque l'actrice eut épousé Burton.

    Elizabeth Taylor est grand-mère pour la première fois en 1971, à l'âge de 39 ans. À la fin de sa vie, elle est la grand-mère de dix-petits enfants et arrière-grand-mère de quatre.

    Tous étaient présents lors de son décès.

     

    Joseph L. Mankiewicz

     

     

    SOURCES : WIKIPEDIA - http://fr.wikipedia.org/wiki/Elizabeth_Taylor

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

  • Les Réalisateurs

      

    Jean-Pierre MOCKY

     

     

    réalisateur, scénariste, Dialoguiste, Acteur

     

    le 06 juillet 1929 à Nice (06)

     

      

    Affiche

     

     

     

     

     

     

     

     

    Filmographie Réalisateur

    1959 LES DRAGUEURS

     

    1960 UN COUPLE

     

    1962 SNOBS

     

    1962 LES VIERGES

     

    1963 UN DRÔLE DE PAROISSIEN

     

    1964 la grande frousse (LA CITÉ DE L'INDICIBLE PEUR)

     

    1966 LA BOURSE ET LA VIE

     

    1967 LES COMPAGNONS DE LA MARGUERITE 

     

    1968 LA GRANDE LESSIVE

     

    1970 L'ÉTALON

     

    1970 SOLO

     

    1971 L'ALBATROS

     

    1972 CHUT !

     

    1974 L'OMBRE D'UNE CHANCE

     

    1975 L'IBIS ROUGE

     

    1975 UN LINCEUL N'A PAS DE POCHES

     

    1977 LE ROI DES BRICOLEURS

     

    1978 LE TÉMOIN

     

    1979 LE PIÈGE A CONS

     

    1981 LITAN

     

    1982 Y A-T-IL UN Français DANS LA SALLE ?

     

    1983 A MORT L'ARBITRE

     

    1985 LE PACTOLE

     

    1985 Drôle de festival (C.m.)

     

    1986 LA MACHINE A Découdre

     

    1987 LE Miraculé

     

    1987 AGENT TROUBLE

     

    1987 Nice is Nice (C.m.)

     

    1988 LES SAISONS DU PLAISIR

     

    1988 UNE NUIT A L'Assemblée NATIONALE

     

    1989 DIVINE ENFANT

     

    1990 IL Gèle EN ENFER

     

    1991 la Vérité qui tue (C.m.)

     

    1991 Mocky story

     

    1991 Dis-moi qui tu hais (C.m.)

     

    1991 La méthode Barnol (C.m.)

     

    1991 La vérité qui tue (C.m.)

     

    1992 VILLE A VENDRE

     

    1992 LE MARI DE Léon

     

    1994 BONSOIR

     

    1995 NOIR COMME LE SOUVENIR

     

    1997 ALLIANCE CHERCHE DOIGT

     

    1998 ROBIN DES MERS

     

    1998 VIDANGE

     

    2000 LA CANDIDE MADAME DUFF

     

    2000 LE GLANDEUR

     

    2000 TOUT EST CALME

     

    2001 LA Bête DE Miséricorde

     

    2002 LES Araignées DE LA NUIT

     

    2003 LE FURET

     

    2004 Touristes ? Oh yes !

     

    2004 les Ballets écarlates

     

    2005 GRABUGE !

     

    2005 le Bénévole

     

    2006 Le deal

     

    2007 13 french street

     

    2010 Crédit POUR TOUS

     

    2010 LES INSOMNIAQUES

     

    2010 dossier Toroto

    INDIENS D'AMERIQUEINDIENS D'AMERIQUE

     

     

     

    Filmographie Scénariste

    1958 LA TÊTE CONTRE LES MURS de Georges Franju

     

    1959 LES DRAGUEURS de Jean-Pierre Mocky

     

    1960 UN COUPLE de Jean-Pierre Mocky

     

    1962 SNOBS de Jean-Pierre Mocky

     

    1963 LES VIERGES de Jean-Pierre Mocky

     

    1964 la grande frousse de Jean-Pierre Mocky

     

    1966 LA BOURSE ET LA VIE de Jean-Pierre Mocky

     

    1967 LES COMPAGNONS DE LA MARGUERITE de Jean-Pierre Mocky

     

    1968 LA GRANDE LESSIVE de Jean-Pierre Mocky

     

    1970 L'ÉTALON de Jean-Pierre Mocky

     

    1970 SOLO de Jean-Pierre Mocky

     

    1971 L'ALBATROS de Jean-Pierre Mocky

     

    1972 CHUT ! de Jean-Pierre Mocky

     

    1974 L'OMBRE D'UNE CHANCE de Jean-Pierre Mocky

     

    1975 L'IBIS ROUGE de Jean-Pierre Mocky

     

    1977 LE ROI DES BRICOLEURS de Jean-Pierre Mocky

     

    1979 LE PIÈGE A CONS de Jean-Pierre Mocky

     

    1981 LITAN de Jean-Pierre Mocky

     

    1982 Y A-T-IL UN Français DANS LA SALLE ? de Jean-Pierre Mocky

     

    1983 A MORT L'ARBITRE de Jean-Pierre Mocky

     

    1985 LE PACTOLE de Jean-Pierre Mocky

     

    1986 LA MACHINE A Découdre de Jean-Pierre Mocky

     

    1987 LE Miraculé de Jean-Pierre Mocky

     

    1987 AGENT TROUBLE de Jean-Pierre Mocky

     

    1988 LES SAISONS DU PLAISIR de Jean-Pierre Mocky

     

    1988 UNE NUIT A L'Assemblée NATIONALE de Jean-Pierre Mocky

     

    1989 DIVINE ENFANT de Jean-Pierre Mocky

     

    1990 IL Gèle EN ENFER de Jean-Pierre Mocky

     

    1991 la Vérité qui tue de Jean-Pierre Mocky (C.m.)

     

    1991 Mocky story de Jean-Pierre Mocky

     

    1991 Dis-moi qui tu hais de Jean-Pierre Mocky (C.m.)

     

    1991 La méthode Barnol de Jean-Pierre Mocky (C.m.)

     

    1991 La vérité qui tue de Jean-Pierre Mocky (C.m.)

     

    1992 VILLE A VENDRE de Jean-Pierre Mocky

     

    1995 NOIR COMME LE SOUVENIR de Jean-Pierre Mocky

     

    1997 ALLIANCE CHERCHE DOIGT de Jean-Pierre Mocky

     

    1998 ROBIN DES MERS de Jean-Pierre Mocky

     

    1998 VIDANGE de Jean-Pierre Mocky

     

    2000 LA CANDIDE MADAME DUFF de Jean-Pierre Mocky

     

    2000 LE GLANDEUR de Jean-Pierre Mocky

     

    2000 TOUT EST CALME de Jean-Pierre Mocky

     

    2001 LA Bête DE Miséricorde de Jean-Pierre Mocky

     

    2002 LES Araignées DE LA NUIT de Jean-Pierre Mocky

     

    2003 LE FURET de Jean-Pierre Mocky

     

    2004 Touristes ? Oh yes ! de Jean-Pierre Mocky

     

    2004 Les ballets écarlates de Jean-Pierre Mocky

     

    2005 GRABUGE ! de Jean-Pierre Mocky

     

    2005 le Bénévole de Jean-Pierre Mocky

     

    2006 Le deal de Jean-Pierre Mocky

     

    2007 13 french street de Jean-Pierre Mocky

     

    2010 Crédit POUR TOUS de Jean-Pierre Mocky

     

    2010 LES INSOMNIAQUES de Jean-Pierre Mocky

     

    2010 dossier Toroto de Jean-Pierre Mocky

     

     

     

        

    Filmographie Acteur

    1942 LES VISITEURS DU SOIR de Marcel Carné

     

    1944 VIVE LA LIBERTÉ de Jeff Musso

     

    1945 L'AFFAIRE DU COLLIER DE LA REINE de Marcel L'Herbier

     

    1946 RÊVES D'AMOUR de Christian Stengel

     

    1946 LA CABANE AUX SOUVENIRS de Jean Stelli

     

    1946 L'HOMME AU CHAPEAU ROND de Pierre Billon

     

    1946 MACADAM de Marcel Blistène

     

    1948 LES CASSE-PIEDS de Jean Dréville

     

    1948 LE PARADIS DES PILOTES PERDUS de Georges Lampin

     

    1949 AU GRAND BALCON de Henri Decoin

     

    1949 UNE NUIT DE NOCES de René Jayet

     

    1949 ORPHÉE de Jean Cocteau

     

    1949 PORTRAIT D'UN ASSASSIN de Bernard-Roland

     

    1949 OCCUPE-TOI D'AMÉLIE de Claude Autant-Lara

     

    1950 DIEU A BESOIN DES HOMMES de Jean Delannoy

     

    1950 BIBI FRICOTIN de Marcel Blistène

     

    1951 DEUX SOUS DE VIOLETTES de Jean Anouilh

     

    1951 l'Éternel espoir de Max Joly

     

    1952 I CONDOTTIERI de Paul Herbiger

     

    1952 Les vaincus de Michelangelo Antonioni

     

    1952 La neige était sale de Luis Saslavsky

     

    1953 Le grand Pavois de Jack Pinoteau

     

    1953 MATERNITÉ CLANDESTINE de Jean Gourguet

     

    1953 LE COMTE DE MONTE-CRISTO de Robert Vernay

     

    1953 SENSO de Luchino Visconti

     

    1954 GRAZIELLA de Giorgio Bianchi

     

    1954 GLI SBANDATI de Francesco Maselli

     

    1957 LE ROUGE EST MIS de Gilles Grangier

     

    1958 LE GORILLE VOUS SALUE BIEN de Bernard Borderie

     

    1958 LA TÊTE CONTRE LES MURS de Georges Franju

     

    1969 SOLO de Jean-Pierre Mocky

     

    1971 L'ALBATROS de Jean-Pierre Mocky

     

    1971 LE SOURIRE VERTICAL de Robert Lapoujade

     

    1973 L'OMBRE D'UNE CHANCE de Jean-Pierre Mocky

     

    1974 UN LINCEUL N'A PAS DE POCHES de Jean-Pierre Mocky

     

    1979 LE PIÈGE A CONS de Jean-Pierre Mocky

     

    1981 LITAN de Jean-Pierre Mocky

     

    1984 PRÉNOM : CARMEN de Jean-Luc Godard

     

    1984 A MORT L'ARBITRE ! de Jean-Pierre Mocky

     

    1986 LA MACHINE A DÉCOUDRE de Jean-Pierre Mocky

     

    1987 AGENT TROUBLE de Jean-Pierre Mocky

     

    1989 DIVINE ENFANT de Jean-Pierre Mocky

     

    1990 IL GÈLE EN ENFER de Jean-Pierre Mocky

     

    1992 VILLE A VENDRE de Jean-Pierre Mocky

     

    1993 LE MARI DE Léon de Jean-Pierre Mocky

     

    1998 ROBIN DES MERS de Jean-Pierre Mocky

     

    1998 VIDANGE de Jean-Pierre Mocky

     

    2000 LA CANDIDE MADAME DUFF de Jean-Pierre Mocky

     

    2000 TOUT EST CALME de Jean-Pierre Mocky

     

    2000 LE GLANDEUR de Jean-Pierre Mocky

     

    2001 LA Bête DE Miséricorde de Jean-Pierre Mocky

     

    2002 LES Araignées DE LA NUIT de Jean-Pierre Mocky

     

    2004 Touristes ? Oh yes ! de Jean-Pierre Mocky

     

    2004 Les ballets écarlates de Jean-Pierre Mocky

     

    2005 le Bénévole de Jean-Pierre Mocky

     

    2006 Tous les hommes sont des romans de Renan Pollès et Alain Riou 

     

    2010 LES INSOMNIAQUES de Jean-Pierre Mocky

     

    2010 dossier Toroto de Jean-Pierre Mocky

     

    Cinéma & théâtre Le Brady à Paris

    Cinéma Le Brady à Paris

    Adresse: 39 boulevard de Strasbourg à Paris (10ème arrondissement) Nombre de salles: 2 Création: 1956 Anciennement: Cinéma Le Brady – l’Albatros Cartes d’abonnement UGC Illimité-mk2 acceptées Ce typique cinéma de quartier est célèbre pour avoir un temps appartenu au cinéaste iconoclaste Jean-Pierre Mocky. C’est la raison pour laquelle, en 1994, le réalisateur avait accolé à [...]

     

     

     

    source : http://www.cinema-francais.fr/les_realisateurs/realisateur_m/mocky_jean_pierre.htm

    avec l'autoristation de l'Administrateur du CINEMA FRANCAIS et JEAN PIERRE MOCKY

      

     

    Partager via Gmail Delicious Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

  •  

     

    Une vie...

     

    Né à Londres le 16 Avril 1889, au milieu d'une famille d'artistes de music-hall (son père, Charles, était un "comique excentrique" et sa mère, Hannah Hill, était actrice d'opérettes) l'enfance de Charles Spencer ne fut pas des plus tranquilles. Alors que Charles Sr, ne trouvant plus d'engagements, sombre dans l'alcoolisme avant d'abandonner le foyer (et de mourir clochard en 1896), sa mère perd peu à peu sa voix et doit renoncer à son métier. Il doit très vite gagner de l'argent et tente sa chance sur les planches.

     

    Fichier:Charlie Chaplin I.jpg

     

     

    Engagé à l'âge de 9 ans dans la troupe Eight Lancashies' Lads, il met la première fois les pieds aux Etats Unis en 1910 pour un séjour d'un an avec la troupe Fred Karno, spécialisé dans la pantomime. Deux ans plus tard, il est engagé par Mack Sennett pour la Keystone.

    C'est en Janvier 1914 qu'il tourne son premier film Making a living sous la direction de Henri Lehrman. Il tournera cette année-là près de 35 films (n'excédant pas une bobine), dont 23 dirigé par lui-même. En parallèle au succès des films où apparaît un personnage de clochard qu'il a créé, son salaire connaît une croissance exponentielle (150 $ /semaine à la Keystone, 1250 $ /semaine en 1915 chez Essanay pour atteindre 10000 $ /semaine l'année suivante chez Mutual).

      

      

    Entre Mars 1916 et Juillet 1917, il tourne ses premiers chefs d'oeuvres : Charlot s'évade, Charlot policeman ou l'Emmigrant, puis pour la First National en 1918 Une vie de chien, Charlot soldat. En 5 ans, il sera apparu dans près de 75 films.

    En fondant la United Artist avec Mary Pickford et son mari Douglas Fairbanks et D.W. Griffith en 1919, Chaplin s'offre enfin le temps pour tourner. A la même époque, il se marie pour la première fois, et ce avec Mildred Harris (il divorcera en 1923).

     

     

    Fichier:Chaplin The Kid.jpg

     

    1921 voit le tournage de son premier long métrage, le Kid, qui est un triomphe mondial. Suivent en 1923 le pèlerin et l'Opinion publique, seul film où il ne jouera pas, et la Ruée vers l'or en 1925.

    Son union avec Lita Grey, débutée en 1924, s'achève par un second divorce en 1927. Les avocats de cette dernière saisissent sa maison, son studio et son film en cours, le Cirque, qui une fois de plus triomphera dès 1928.

    La même année, apparaît le cinéma parlant forçant les vedettes du muet à évoluer. Pour sa part, Chaplin, comme Eisenstein, considère que cette invention est sans avenir. Il déclare d'ailleurs au cours du tournage des Lumières de la ville : " Le dialogue pour mon usage personnel ? Jamais! Le dialogue est aussi peu nécessaire aux films que la parole aux symphonies de Beethoven." Il ne cédera pas à la pression des financiers qui, en pleine crise économique, désirent lui imposer ce nouveau format. Il ne leur concédera qu'une seule chose : le film sera sonore et il composera lui-même la partition musicale.

     

     

     

     

    Le tournage lui ressemble à un cauchemar, s'étalant sur près de 30 mois, où certaines scènes (notamment celle où la jeune aveugle rencontre pour la première fois Charlot et se méprend sur sa fortune) sont recommencées près d'un millier de fois. Car l'enjeu est de taille : le choix de Chaplin sera-t-il suivi par le publique alors que tous les succès sont devenus parlants ? L'avant-première en 1931 viendra confirmer cette décision.

     

     

    C'est avec Paulette Goddard, sa nouvelle épouse depuis 1933, qu'il prépare les Temps modernes, lui donnant des cours de chant, de danse, répétant inlassablement les mêmes scènes, jusqu'à l'épuisement, comme le raconte Charlie Chaplin Junior dans Charlie Chaplin, mon père.

     

     

     

    Sorti en février 1936, les Temps modernes divisent les critiques, certains trouvant l'absence d'unités fâcheux, les autre considérant le film comme un chef d'oeuvre visionnaire. Du côté des seconds, Jean Renoir déclarera : "le film de Charlot, c'est mieux qu'un spectacle, c'est un refuge. [..] Une heure de conversation avec son ombre sur l'écran, et me voila plein d'enthousiasme, plein de foi dans les destins du cinéma, véritablement gonflé à bloc.".

     

     

     

    Le couple Chaplin, éprouvé par le tournage, décide de parcourir le monde. Après la Chine où ils ont projeté un film sur le monde véridique du cinéma, ils retournent en Europe, et tout particulièrement à Paris. Chaplin sympathise avec Jean Cocteau et projette de tourner soit une biographie de Napoléon ou du Christ... En fait, il ne sait plus quoi faire de Charlot. Il donnera d'ailleurs à Maurice Bessy la dernière badine du vagabond lui disant que "Charlot est mort".

     

     

     

     

    En 1937, alors que ses films sont interdits en Allemagne car Hitler s'est offusqué de la ressemblance de sa moustache et celle du juif vagabond, Alexandre Korga suggère à Chaplin d'utiliser cette ressemblance. Mais il hésite, car au vu de la durée d'un tel projet, qu'adviendrait-il si Hitler mourrait ?

      

      

    Néanmoins, il se documente sur l'homme, étudiant chaque attitude du dictateur, relevant chaque manie. Le 4 Juin 1939, Cinémonde annonce le démarrage du Dictateur (1940). Toutefois, il y a une nette opposition, du Hayes office au bureau de Londres qui n'est pas sûr de pouvoir le distribuer (le Foreign Office s'efforçant de consolider une paix si fragile). Naturellement, à la déclaration de la guerre contre l'Allemagne, ce film devient indispensable et Chaplin doit faire face à une tension constante, persécutant son entourage et particulièrement Paulette, qu'il traite comme une débutante. Leur mariage n'y survivra pas.

    Malgré de multiples tracas (procès en reconnaissance de paternité, qu'il perdra en dépit de toutes les expertises en sa faveur, convocation devant la commission des activités anti-américaines...) il milite pour l'ouverture d'un second front en Europe : "La Russie se bat dos au mur. Hitler a pris bien des risques. Le plus grand, c'est la campagne de Russie. Que Dieu l'assiste s'il ne parvient pas à franchir le Caucase cet été. Que Dieu l'assiste s'il doit passer un autre hiver devant Moscou. Ses chances sont précaires, mais il a pris ce risque. Si Hitler peut prendre des risques, pourquoi pas nous ? Donnez nous de l'action. Donnez nous plus de bombes sur Berlin. Donnez nous ces hydravions Glenn Martin pour faciliter nos problèmes de transports. Et surtout, donnez nous un second front tout de suite!"

     

     

    Après la fin de la guerre, Chaplin ses 2 derniers films américains (Mr Verdoux en 1947 et son ultime chef d'oeuvre les Feux de la rampe en 1952). Victime d'une campagne d'hostilité, orchestrée par Edgar Hoover patron de la CIA durant près de 40 ans, il quitte les Etats Unis en Septembre 1952, avec Oona son épouse depuis 1949, pour s'installer en Suisse. Il rend alors son passeport au consul américain à Genève. Il n'y retournera que 20 ans plus tard pour recevoir un Oscar d'honneur.

     

     

    Sa dernière apparition cinématographique, Un Roi à New-York en 1957, caricature le mode d'existence américain sans retrouver la magie de ses opus précédants. Bien que doté d'un casting alléchant (Marlon Brando, Sophia Loren) et seule oeuvre en couleur de Chaplin, la Comtesse de Hongkong (1966) déçoit critiques et public.

    Il disparaît le 24 Décembre 1977 à Corsier sur Vevey, à l'age de 88 ans.

    Auteur : Vatzhol Fox

     

    Sources : http://www.a525g.com/cinema/charlie-chaplin.php

    Fichier:Walk of fames Charlie.jpg 

      

      

      

    Partager via Gmail Delicious Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

  • MICHEL CRETON

     

    Michel Creton, né le 17 août 1942 à Wassy (Haute-Marne), est un acteur de cinéma français

    Biographie :

    MICHEL CRETONAprès son certif' et son CAP de photograveur, il décide qu'il sera comédien, et le devient. Après avoir été l'élève de Robert Manuel, il sort du conservatoire avec deux premiers prix. Il fait ses premiers pas à la télé dans l'émission de Pierre Sabbagh, Au théâtre ce soir.

    Si sa carrière souffre un peu de l'ombre du « grand frère » Bébel, il s'affirme cependant à travers une centaine de rôles au théâtre et au cinéma : sur le grand écran, dans des rôles secondaires ; à la télévision, dans certains rôles principaux.

    De septembre à décembre 1992, il anime La nuit des héros sur Antenne 2.

    De 2001 à 2009, il incarne le héros d'une série, un commandant solitaire, rude et juste qui aide ses semblables, dans la série Central Nuit de France 2.

     

    Le 13 janvier 1989, l'amendement qui porte son nom concrétise sa lutte constante pour améliorer le sort des jeunes polyhandicapés.

    Début 2011, à Cambrai (Nord) une résidence " Michel Creton " est inaugurée sur le site de l'association " Les Papillons Blancs du Cambrésis ". Association qui se dévoue dans l'accompagnement des personnes handicapées mentales de cette région.

     

    MICHEL CRETONHéros de "Central Nuit", récente série policière à grand succès, diffusée sur France 2, Michel Creton continue de lutter pour que justice soit faite. Son combat ? Que l'amendement portant son nom, visant à améliorer le sort des jeunes polyhandicapés, soit mis en application. Portrait.

    Né en 1942, à Wassy (Haute-Marne), Michel Creton a la ténacité et la sensibilité des petits gars de l'Est. Après son certif' et son CAP de photograveur, le jeune homme décide qu'il sera comédien. Et le devient.

    Si sa carrière souffre un peu de l'ombre du "grand frère" Bébel, par ailleurs son meilleur ami dans la profession, l'humanisme et le réalisme du comédien font mouche au théâtre comme au cinéma à travers une centaine de rôles. Et l'acteur enrage que certains continuent, des lustres plus tard, de lui parler et de ne l'associer qu'au fameux "Bip-Bip" des Bronzés.

    Des rôles de solitaire au grand coeur, il en a tenu des dizaines. Mais l'homme n'est pas à vendre au star-system. Est-ce la raison pour laquelle les seconds rôles lui seront souvent dévolus dans bon nombre de séries TV (Commissaire Moulin, Navarro...) ? MICHEL CRETON

    Le théâtre l'a un peu mieux loti. On se souvient de sa magnifique prestation de truand plein de panache dans "Coupable ou non coupable" de Robert Hossein, l'hiver dernier à Marigny.

    Depuis quelques mois, Michel Creton incarne (enfin) le héros de la série "Central Nuit" de France 2, un commissaire solitaire, rude et juste qui aide ses semblables. Vu le succès rencontré, la suite des épisodes est en "écriture".

    Un rôle qui lui ressemble. A la mesure de l'homme qui, depuis trente-six ans et sa rencontre avec son filleul Laurent, n'a jamais baissé les bras pour faire reconnaître les droits à une existence "presque comme les autres" des jeunes polyhandicapés.

    Ce marathonien accompli a bien l'intention de poursuivre la route de la justice et du coeur.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Photos fournies par www.encinémathèque.net

     

     

     

    Filmographie Acteur

    1966 BRIGADE ANTIGANGS de Bernard Borderie

     

    1966 UN HOMME DE TROP de Costa Gavras

     

    1966 L'HOMME QUI TRAHIT LA MAFIA de Charles Gérard

     

    1967 Vivre la nuit de Marcel Camus

     

    1967 LA PETITE VERTU de Serge Korber

     

    1968 BÉRU ET CES DAME de Guy Lefranc

     

    1968 LA VOIE LACTÉE de Luis Buñuel

     

    1968 MISTER FREEDOM de William Klein

     

    1969 LA HONTE DE LA FAMILLE de Richard Balducci

     

    1970 Et qu'ça saute ! de Guy Lefranc

     

    1970 MAX ET LES FERRAILLEURS de Claude Sautet

     

    1972 UN MEURTRE EST UN MEURTRE de Etienne Périer

     

    1972 AU RENDEZ-VOUS DE LA MORT JOYEUSE de Juan Luis Buñuel

     

    1972 Le dingue de Daniel Daërt

     

    1974 Au-delà DE LA PEUR de Yannick Andrei

     

    1974 Impossible... pas français de Robert Lamoureux

     

    1976 Armaguedon de Alain Jessua

     

    1977 Monsieur Papa de Philippe Monnier

     

    1978 LES BRONZÉS de Patrice Leconte

     

    1979 Mais qu’est-ce que j’ai fait au Bon Dieu pour avoir une femme qui boit dans...etc. de Jan Saint-Hamont

     

    1981 PSY de Philippe de Broca

     

    1983 LE GRAND CARNAVAL de Alexandre Arcady

     

    1983 UN BON PETIT DIABLE de Jean-Claude Brialy

     

    1984 SOUVENIRS SOUVENIRS de Ariel Zeitoun

     

    1984 LES MORFALOUS de Henri Verneuil

     

    1985 Paris-minuit de Frédéric Andréi

     

    1986 TENUE DE SOIRÉE  de Bertrand Blier

     

    1987 LE SOLITAIRE de Jacques Deray

     

    1987 A GAUCHE EN SORTANT DE L'ASCENSEUR de Édouard Molinaro

     

    1990 IL Y A DES JOURS ET DES LUNES de Claude Lelouch

     

    1997 SOLEIL de Roger Hanin

     

    2000 À deux sur la comète de Alexandre Mehring

     

    SOURCES : wikipedia -

    avec l'accord de l'Administrateur du CINEMA FRANCAS - du http://www.cinema-francais.fr/les_acteurs/acteurs_c/creton_michel.htm

    photos google- http://www.planet.fr/michel-creton.15007.html

      

    Partager via Gmail Delicious Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

  • Partager via Gmail Delicious Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

  •  

     

    Samy FREY

     

    Biographie: Né à Paris le 13 octobre 1937,

     

    Samuel Frei devient orphelin à la suite des tragiques événements de la Seconde Guerre mondiale, et est élevé par sa grand-mère et sa tante.

     

    Dès l'âge de 17 ans, il entre au cours Simon, où il effectue un brillant cursus qui le mène à sortir premier de sa promotion.

     

    Le cinéma lui ouvre tout grand ses portes, par celle d'assistant-régisseur, puis devant la caméra sous la direction de Robert Hossein et de Pierre Chenal.

     

    Son physique de jeune premier ombrageux sert à merveille le personnage de Gilbert Tellier, l'amant malheureux de Brigitte Bardot (magnifique dans son premier rôle dramatique), accusée de son crime dans La vérité, signé Henri-Georges Clouzot.

     

    Le film fait un tabac, glane l'Oscar du Meilleur film étranger et propulse Sami Frey sous les projecteurs, révélation biaisée aussi par sa liaison avec la star. Les années 60 sont une période faste pour le comédien, qui tourne sous la direction des grands noms de l'époque (Godard, Varda, Franju, Deville, Vadim), s'exporte en Italie, appose sa pierre à l'édifice de la sémillante Angélique (dans Angélique et le Roy) sans délaisser sa passion pour la scène, où on le voit notamment jouer Brecht et "Le soulier de satin", la pièce-fleuve de Paul Claudel.

     

    Comédien volontiers discret, à l'écart du cirque médiatique, Sami Frey a beau tourner des œuvres exigeantes ou populaires (Les mariés de l'an II), le public a du mal à cerner l'homme. Il faut attendre le César et Rosalie tourné par Claude Sautet pour le voir accéder à une plus grande notoriété : loin d'être éclipsé par la grâce du tandem Romy Schneider/Yves Montand, l'acteur incarne avec une élegance et un charme séduisants le “deuxième homme”, l'amant dessinateur de BD de Rosalie.

     

    Tout aussi à l'aise dans le libéré Pourquoi pas ? de Coline Serreau que dans la sombre Mortelle randonnée conduite par Claude Miller, on le voit dans les années 80 sauter allégrement d'un genre et d'un continent à l'autre.

     

    Il est irrésistiblement ambigu en veuf (noir ?) que tente de confondre Le garde du corps de Birkin, alias Jugnot, surprenant en père divorcé et égocentrique qui redécouvre

     

    La vie de famille grâce à Jacques Doillon, et réussit ses deux incursions américaines (La petite fille au tambour avec Diane Keaton, et surtout La veuve noire, qui consacra à l'époque Theresa Russell).

     

     

    Quelques apparitions télé aussi.

     

    Le théâtre, encore et toujours, de Carlos Fuentes à Harold Pinter, Henry James, Peter Handke, en passant par Georges Perec, dont il met en scène et interprète à vélo et avec succès "Je me souviens".

     

    Les années 90 le voient progressivement s'éloigner du grand écran : seulement dix films, pour la plupart passés à la trappe impitoyable du box-office (y compris quelques vénérables signatures, Elie Chouraqui ou Pierre Granier-Deferre) exceptés La fille de D'Artagnan, où il compose un Aramis dont la légende en prend un coup, et Les acteurs, film choral fortement controversé de Bertrand Blier.

     

     

     

    On l'attend avec d'autant plus d'impatience qu'il partage le rôle principal masculin de La repentie avec Samy Naceri.

     

    Filmographie :

     

    1 films 1956 - Pardonnez nos offenses (Hossein)

     

    1958 - Jeux dangereux (Chenal)

     

    1959 - La nuit des traqués (Roland)

     

    1959 - Le travail c'est la liberté (Grospierre)

     

    bb_et_samy_gala

    1960 - La vérité (Henri-Georges Clouzot)

    1961 - Jeunesse de nuit (Sequi)

     

    1961 - Les sept péchés capitaux (sketch "L'orgueil) (Roger Vadim)

     

    1962 - Cléo de 5 à 7 (Agnès Varda)1962 - Le désordre (Brusati)

     

    1962 - Thérèse Desqueyroux (Franju)

     

    1963 - L'appartement des filles (Deville)

     

    1963 - Couple interdit (Forque)

     

    1964 - Bande à part (Jean-Luc Godard)1

     

    1964 - Avec amour et rage (Festa-Campanile)

     

    1965 - Une balle au coeur (Pollet)

     

    1965 - Angélique et le Roy (Borderie)1

     

    1966 - Qui êtes-vous Polly Magoo ? (Klein)

     

    1967 - Manon 70 (Aurel)

     

    1967 - L'écume des jours (Belmont)

    1968 - Mister Freedom (Klein)

     

    1969 - La chasse royale (Leterrier)

     

    1970 - M. comme Mathieu (Adam)

     

    1970 - Les mariés de l'an II (Jean-Paul Rappeneau)

     

    1971 - Jaune le soleil (Duras)

     

    1971 - Rak (Belmont)

     

    1972 - Le journal d'un suicide (Stanojovic)

     

    1972 - Paulina 1880 (Bertucelli)

     

    1972 - César et Rosalie (Claude Sautet)

     

    1974 - Sweet movie (Makavejev)

     

    1974 - Le jardin qui bascule (Gilles)

     

    1976 - Guerres civiles en France (sketch) (Nordon)

     

    1976 - Le jeu du solitaire (Adam)

     

    1976 - Nea (Kaplan)

     

    1977 - Pourquoi pas ? (Coline Serreau)

     

    1978 - Ecoute voir (Santiago)

     

    1978 - Une page d'amour (Rabinowicz)

     

    1982 - Mortelle randonnée (Claude Miller)

     

    1984 - Le garde du corps (Leterrier)1

     

    984 - La petite fille au tambour (George Roy Hill)

     

    1985 - La vie de famille (Doillon)

     

    1986 - L'unique (Diamant-Berger)

     

    1986 - Sauve-toi Lola (Drach)1987 - Laputa (Sanders)

     

    1987 - L'état de grâce (Rouffio)

     

    1987 - La veuve noire (Bob Rafelson)

     

    1988 - L'oeuvre au noir (Delvaux)

     

    1988 - De sable et de sang (Labrune)

     

    1989 - Les deux Fragonard (Le Guay)

     

    1990 - L'Africaine (Trotta)1

     

    991 - Contre l'oubli (collectif)

     

    1991 - La voix (Granier-Deferre)

     

    1992 - Hors saison (Schmid)

     

    1993 - En compagnie d'Antonin Artaud (Mordillat)

     

    1993 - Traps (Chan)

     

    1994 - La fille de d'Artagnan (Bertrand Tavernier)

     

    1994 - L'amour conjugal (Barbier)

     

    1995 - Les menteurs (Elie Chouraqui)1999 - Les acteurs (Bertrand Blier)

     

    2001 - La repentie (Masson)

    Sami Frey dans "Danse avec lui".

     

    2007 : Danse avec lui de Valérie Guignabodet : Le maître écuyer

    2007 : Le Metteur en scène de mariages de Marco Bellocchio : Ferdinando Gravina

    2009 : Nuit de chien de Werner Schroeter : Barcala

    2009 : Mensch de Steve Suissa : Victor Hazak

     

     

    De nombreuses pièces de Théatre où il est remarquable, en tant que Comédien et metteur en scène.

     

     

     

    NOMINATIONS

     

     

    Remarquable comédien au physique de jeune premier, il tourne beaucoup, mais trouve plutôt sa véritable dimension au théâtre.

     

     

    SOURCES : http://www.cinemapassion.com/filmographie-acteur-Samy%20FREY-347.html

                         Wikipedia - photographies google.

    Partager via Gmail Delicious Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

  •  

    Micheline Presle
    Actrice
    (France)Né(e) le 22 Août 1922
    Actuellement au Cinéma dans : Hh, Hitler à Hollywood, Peau D'âne
     

    Biographie : Micheline Presle

    Michelle Presle sait très jeune qu'elle veut devenir actrice. Elle fait ses début au cinéma en 1938, sous le nom de Micheline Michel, dans Je Chante où elle n'a qu'un rôle figuratif. La même année, elle se présente au concours d'entrée au Cours Raymond Rouleau, où elle est reçue avec Serge Reggiani. Elle est rapidement remarquée par le réalisateur Georg Wilhelm Pabst qui lui offre un rôle dans Jeunes Filles En Détresse, qui lui vaut le Prix Suzanne Bianchetti 1939 des jeunes espoirs. Elle adopte ensuite le patronyme Presle, qu'elle emprunte au personnage qu'elle joue dans Jeunes Filles En Détresse.
     
    Obligée de s'exiler dans le sud de la France pendant la guerre, elle est engagée par Marc Allegret pour Parade En 7 Nuits (1940), Felicie Nanteuil (1942) et La Belle Aventure (1942). En 1946, elle incarne le personnage qui deviendra le symbole de sa jeune carrière, la prostituée Boule De Suif. Elle partage ensuite l'affiche de Le Diable Au Corps avec un Gérard Philipe qui débute dans le métier.
    En pleine gloire, Micheline Presle décide de tenter sa chance aux Etats-Unis et part tourner American Guerrilla In The Philippines avec Fritz Lang. Elle travaille également avec William Marshall, qui la dirige dans La Taverne De New Orléans et avec qui elle aura une fille, la réalisatrice Tonie Marshall. En 1952, elle rentre en France, et apparaît dans Si Versailles M'était Conté et Napoleon de Sacha Guitry. Parallèlement, elle rencontre le succès en Italie avec Les Amants De La Villa Borghese de Gianni Franciolini.
    Sa carrière en perte de vitesse, elle joue dans des films légers, destiné au grand public tel que Le Roi De Cœur de Philippe de Broca. A partir des années 90, Micheline Presle se fait de plus en plus rare au cinéma, mais figure régulièrement dans les longs-métrages de sa fille, comme Vénus Beauté (institut) ou France Boutique.
     
    En 2005, Micheline Presle tourne Grabuge de Jean-Pierre Mocky, aux côtés de Michel Serrault et Charles Berling. Deux ans plus tard, en 2007, elle joue Jane Latour-Jackson dans la comédie de Romuald Beugnon Vous êtes De La Police ?.
     
    En 2008, on retrouve l'actrice dans le film de Jean-Michel Ribes Musée Haut, Musée Bas, puis dans le drame de Francis Huster Un Homme Et Son Chien. L'année suivante Micheline Presle donne la réplique à l'espoir français Léa Seydoux dans Plein Sud. En 2010, c'est aux côtés de Jane Birkin et Catherine Jacob que l'actrice est dirigée par Benoit Pétré pour la comédie Thelma, Louise Et Chantal.

    Filmographie sélective : Micheline Presle

    2010 - Hh, Hitler à Hollywood (Acteur) de Frédéric Sojcher
    2010 - Thelma, Louise Et Chantal (Acteur) de Benoit Petre
    2009 - Plein Sud (Acteur) de Sébastien Lifshitz
    2008 - Un Homme Et Son Chien (Acteur) de Francis Huster
    2008 - Musée Haut, Musée Bas (Acteur) de Jean-michel Ribes
    2007 - Candidat Libre (Acteur) de Jean-baptiste Huber
    2006 - Vous êtes De La Police ? (Acteur) de Romuald Beugnon
    2005 - Grabuge (Acteur) de Jean-pierre Mocky
    2004 - Le Voyageur Sans Bagage (Acteur) Série TV Créée par Pierre Boutron
    2003 - Saltimbank (Acteur) de Jean-claude Biette
    2003 - France Boutique (Acteur) de Tonie Marshall
    2003 - Chouchou (Acteur) de Merzak Allouache
    2001 - Vertiges De L'Amour (Acteur) de Laurent Chouchan
    2001 - Les âmes Câlines (Acteur) de Thomas Bardinet et de Sandrine Veysset
    2001 - Mauvais Genres (Acteur) de Francis Girod
    2001 - Charmant Garçon (Acteur) de Patrick Chesnais
    2000 - Le Coeur à L'Ouvrage (Acteur) de Laurent Dussaux
    1999 - Le Voyage A Paris (Acteur) de Marc-henri Dufresne
    1999 - Le CŒur A L’ouvrage (Acteur) de Laurent Dussaux
    1999 - Mauvaises Fréquentations (Acteur) de Jean-pierre Améris
    1997 - Les Mille Et Unes Recettes Du Cuisinier Amoureux (Acteur) de Nana Djordjadze
    1996 - Fallait Pas !... (Acteur) de Gérard Jugnot
    1995 - Le Journal Du Séducteur (Acteur) de Danièle Dubroux
    1995 - Les Misérables (Acteur) de Claude Lelouch
    1994 - Casque Bleu (Acteur) de Gérard Jugnot
    1993 - Fanfan (Acteur) de Alexandre Jardin
    1992 - Je M'Appelle Victor (Acteur) de Guy Jacques
    1991 - Le Jour Des Rois (Acteur) de Marie-claude Treilhou
    1990 - La Fête Des Pères (Acteur) de Joy Fleury
    1989 - I Want To Go Home (Acteur) de Alain Resnais
    1988 - Alouette Je Te Plumerai (Acteur) de Pierre Zucca
    1979 - Rien Ne Va Plus (Acteur) de Jean-michel Ribes
    1978 - Va Voir Maman, Papa Travaille (Acteur) de François Leterrier
    1978 - Je Te Tiens, Tu Me Tiens Par La Barbichette (Acteur) de Jean Yanne
    1978 - On Efface Tout (Acteur) de Pascal Vidal
    1973 - La Gueule De L'Emploi (Acteur) de Jacques Rouland
    1972 - L'évènement Le Plus Important Depuis Que L'Homme A Marché Su (Acteur) de Jacques Demy
    1971 - Les Pétroleuses (Acteur) de Christian-jaque
    1970 - Peau D'âne (Acteur) de Jacques Demy
    1969 - Clair De Terre (Acteur) de Guy Gilles
    1966 - La Religieuse (Acteur) de Jacques Rivette
    1966 - Le Roi De Coeur (Acteur) de Philippe De Broca
    1965 - Les Saintes Chéries (Acteur) Série TV Créée par Jean Becker
    1964 - La Chasse A L'Homme (Acteur) de Edouard Molinaro
    1963 - Teuf-teuf (Acteur) de Georges Folgoas
    1963 - Venus Impériale (Acteur) de Jean Delannoy
    1962 - La Loi Des Hommes (Acteur) de Charles Gérard
    1962 - La Lettre Dans Un Taxi (Acteur) de François Chatel
    1962 - Le Diable Et Les Dix Commandements (Acteur) de Julien Duvivier
    1961 - L'Assassin (Acteur) de Elio Petri
    1961 - L'Amant De Cinq Jours (Acteur) de Philippe De Broca
    1961 - Les Sept Peches Capitaux (Acteur) de Claude Chabrol, Jean-luc Godard, etc.
    1960 - Une Fille Pour L'été (Acteur) de Édouard Molinaro
    1960 - Le Baron De L'Écluse (Acteur) de Jean Delannoy
    1959 - Bobosse (Acteur) de Etienne Perier
    1959 - L’enquete De L’inspecteur Morgan (Acteur) de Joseph Losey
    1958 - Christine (Acteur) de Pierre Gaspard-huit
    1957 - Les Grandes Personnes. (Acteur) de Jean Valere
    1957 - Les Louves (Acteur) de Luis Saslavsky
    1956 - La Mariée Est Trop Belle (Acteur) de Pierre Gaspard-huit
    1955 - Treize à Table (Acteur) de André Hunebelle
    1955 - Napoléon (Acteur) de Sacha Guitry
    1954 - Les Impures (Acteur) de Pierre Chevalier
    1954 - Si Versailles M'était Conté (Acteur) de Sacha Guitry
    1953 - Les Amants De La Villa Borghese (Acteur) de Vittorio De Sica
    1953 - L'Amour D'Une Femme (Acteur) de Jean Grémillon
    1951 - La Taverne De New Orléans (Acteur) de William Marshall
    1950 - American Guerrilla In The Philippines (Acteur) de Fritz Lang
    1948 - Les Derniers Jours De Pompei (Acteur) de Marcel L'Herbier
    1947 - Les Jeux Sont Faits (Acteur) de Jean Delannoy
    1947 - Le Diable Au Corps (Acteur) de Claude Autant-lara
    1946 - Un Drame Au Cirque (Acteur) de Marc Allegret
    1945 - Boule De Suif (Acteur) de Christian-jacques
    1944 - Falbalas (Acteur) de Jacques Becker
    1943 - Le Soleil A Toujours Raison (Acteur) de Pierre Billon
    1943 - Un Seul Amour (Acteur) de Pierre Blanchar
    1942 - La Belle Aventure (Acteur) de Marc Allegret
    1942 - Felicie Nanteuil (Acteur) de Marc Allegret
    1941 - Parade En 7 Nuits (Acteur) de Marc Allegret
    1941 - La Nuit Fantastique (Acteur) de Marcel L'Herbier
    1939 - Paradis Perdu (Acteur) de Abel Gance
    1939 - Jeunes Filles En Détresse (Acteur) de Georg Wilhelm Pabst
    1938 - Je Chante (Acteur) de Christian Stengel
    1937 - La Fessée (Acteur) de Pierre Caron
    Partager via Gmail Delicious Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

  • Raimu, avec Harry Baur était l'un des monstres sacrés du théâtre français et le cinéma en 30 ans.

    Son vrai nom était Jules César Auguste Muraire et il est né à Toulon le 18 Décembre 1883, le fils du tisserand Joseph Marie Antoine Mucius Scaevola Muraire et Élisabeth Gouzian. Comme un enfant, Jules Auguste était très heureux de jouer les héros, dont les aventures de sa mère lui a dit, se transformant en mousquetaire, roi des pirates ou quelques pièces d'or de faux et de morceaux de rideaux déchirés.

    Comme le garçon n'aimait pas étudier, son père a décidé qu'il allait travailler dans son atelier. Mais Jules ne veut pas devenir un tisserand. Il savait très bien ce que je voulais faire dans la vie. Il voulait être Mayol, c'est à dire, Félix Mayol, le célèbre chansonnier, son compatriote. Cependant, un détail l'inquiétait. Félix Mayol avait un atout: une voix merveilleuse. Ce n'était pas le cas. Mais il savait comment remédier à cet inconvénient: il serait le chanteur comique.

    Il ya quelques mois Polin, Polin grande, est arrivé à Toulon, pour faire un gala de présentation exceptionnelle. Le Muraire ne pouvais pas perdre l'événement. La famille entière a assisté: Papa, Maman, Valentin (le frère de Jules), Jules. Ce fut une soirée inoubliable!

    Polin était alors la plus grande star du music-hall et la chanson française, spécialisée dans le genre comique troupier , c'est à dire, un comédien-chanteur vêtu comme un rookie dans la comédie évoquant le jour de la caserne. Au Casino de Toulon, Polin, «dans la chair», et a chanté ses plus grands succès, terminant la séance, le public applaudit son idole debout plus de dix minutes. Jules n'oublierai jamais ce spectacle. Sa décision a été prise. Il a suivi la carrière de Mayol, en imitant Polin.

    Jules a commencé son itinéraire comique troupier exhibant devant les bistrots et tavernes subúrdios publics dans la ville et ses environs, jusqu'à ce qu'il soit employé par le Casino de Toulon, à l'occasion d'adopter le pseudonyme de Raimut (avec un t).

    En Janvier 1909, le jeune Jules Muraire, plus que jamais prêt à faire une carrière sur scène, allez à Marseille, où il y avait une quarantaine d'établissements de spectacles consacrés à des spectacles de vaudeville et de la chanson, y compris l'Alhambra. Pour faire face à cette nouvelle phase de son pseudonyme de carrière panoramique Jules changé, se faisant appeler Rallum. Mais pas Rallum débuté bien dans l'Alhambra et le propriétaire de la salle, Paulus (qui avait été une idole du public dans les années 1880 à 1890), désolé pour le garçon, lui a pris comme un point, cette scène auxiliaires, hors de la vue du public , les joueurs rappelant va tranquillement leurs lignes respectives.

    Un jour, l'occasion de faire un retour en tant qu'acteur est venue quand il, par la force des circonstances, a dû remplacer l'acteur principal de la société, Fortune Aîné. Le public a applaudi avec enthousiasme Rallum et il était heureux d'apprendre qu'il avait choisi la bonne profession.

    À ce stade, le destin est intervenu. Son père, accro au jeu, est mort enchaîné avec la dette. Tous leurs biens ont été hypothéqués et, sous la pression des créanciers, ont dû être vendus. Son frère Valentin a déclaré que son entreprise est allée de mal en pis et il ne pouvait s'empêcher de la mère. Jules qui a dû s'occuper d'elle. Le jeune homme travaillait comme courtier et comme son frère l'avait fait, s'est imposé comme une boutique de marchand de sel à Marseille.

    Jules Muraire, vendeur, ne voulait pas entendre parler de l'art, mais souvent à la fin de la journée, aurait un verre au Petit Noailles, où ils rencontrent les artistes. Un jour, il a été envoyé à une participation à un spectacle de charité. Ses amis ont insisté et il a accepté. Jules chante quatre chansons et a été un triomphe. Décidément, il ne pouvait pas vivre sans ce sentiment, sans que l'émotion.

    Le propriétaire du Palais de Cristal est venu en coulisses pour offrir un contrat. Partie après partie à son talent et il dit une fois de changer le surnom de Raimu (sans T). Son succès est énorme, sa renommée grandit. Ils parlent de lui dans toute la région. Un jour, le fameux Félix Mayol va au Palais de Cristal pour le saluer et se termine par l'utiliser sur votre propre théâtre à Paris du Concert Mayol. Jules débuts en 1910.

    L'année suivante, Raimu est déjà dans la principale salle de musique à Paris, La Cigale Gaston Flateau. L'acteur formidable, la gloire du théâtre français, Lucien Guitry, assistera à l'exposition. Guitry Raimu applaudit longue et laisse un message dans sa loge, l'organisation pour répondre au théâtre, Sarah Bernhardt, où il a présenté. La première question qui fait Raimu Guitry: «Je me demande, monsieur Raimu, ce que vous faites dans la salle de musique ? ". Réponse Raimu: «Mais, monsieur ... Maître. Que voulez-vous que je fasse? ". Guitry dit: «Le théâtre, mon cher. Le théâtre. Vous devez représenter le théâtre .... "

    En automne, les Folies-Bergère "vole" Raimu La Cigale, en doublant son salaire. A trente ans, avait Raimu avenir devant. Mais seulement jusqu'à l'été. Le 2 août 1914, la France déclare la guerre à l'Allemagne et l'Autriche-Hongrie. En tant que soldat de deuxième classe, qui fait partie Raimu à Orange afin de rejoindre son régiment. En Mars 1915, il a été renvoyé de l'armée pour cause de maladie.

    De retour à Paris, l'artiste poursuit sa carrière alternant comédies revues de théâtre (chasse VG Monsieur Georges Feydeau;. Plus ça change, avec sa maîtresse, la belle Spinelly; Faisons un rêve de Sacha Guitry, L ' Cocotte de l'Ecole des Armont et Gerbidon, un succès retentissant, Le Roi et de Flers Caillavet, Edith de Nantes Yves Mirande, d'Alphonse Daudet L'Arlésienne, Bonjour Paris! soutenus par le célèbre Mistinguett) jusqu'à ce qu'il y avait sa rencontre avec Marcel Marius Pagnol dans et comme une conséquence de la réussite de ce spectacle, son introduction dans les talkies.

    Raimu, qui avait participé (comme Rallum) dans sept films muets entre 1912 et 1917, a fait 46 films sonores, dont 22 que j'ai vu. Je ne sais pas: Blanc et le Noir / 1931, Mam'zelle Nitouche / 1931, La Chocolatière Petit / 1932, Charlemagne / 1933, J'Ai UNE Idée / 1934, Minuit, Place Pigalle / 1934, L'Ecole des Cocotte / 1935, Le Secret de Polichinelle / 1936, Les Rois aiment aussi / Le Roi / 1936, Les Jumeaux de Brighton / 1936; Rien à déclarer / Vous n'avez rien à déclarer? / 1937, A Casta Susanna / La Chaste Suzanne / 1937, Les Rois du Sport / 1937, Le Héros de la Marne / 1938, Farra Nuit / Nuit de Coco / 1939, monsieur Brotonneau / 1939, Addicted / Derniere Jeunesse / 1939, L'homme qui cherche la Vérité / 1940, L'Arlésienne / 1942, Le bienfaiteur / 1942, Les Petits Riens / 1942, du Paradis Les Gueux / 1946, L'éternel mari / L'Homme au Chapeau Rond / 1946.

    Parmi les Raimu films vous le savez, je vais mettre en évidence quelques-uns que j'aime beaucoup, à commencer par Marius , le premier exemplaire de la trilogie Marius, Fanny-César , qui a révélé au monde de Pagnol avec sa simple humanité et de chaleur, de sa Marseille le folklore, la taxe afficher le texte et les acteurs merveilleux.

    Dans le vieux port de Marseille, le Bar de la Marine est maintenu par César (Raimu), un bon gars, mais avec la colère pittoresque, vivant là avec son fils (Pierre Fresnay) Marius. Honorine (Alida Rouffe), voisin et commerçant, qui a une fille, Fanny (Orane Demazis), en amour avec Marius. Mais le gars a juste le rêve comme la mer et les grands voiliers qui va vous emmener dans des endroits lointains. Panisse (Fernand Charpin), un veuf et riche, quoique beaucoup plus âgés que Fanny, veut l'épouser. Fanny devient la maîtresse de Marius, mais l'amertume qu'il constate, contrecarré dans ses plans d'évasion, et lui demande instamment de s'engager comme marin sur un navire qui s'en va.

    Comme l'a noté Jacques Siclier, le film met en jeu des situations et des sentiments que nous pourrions décrire comme mélodramatique, si Pagnol n'a pas eu l'art de les humaniser, de les rendre naturelles. Dans les films de ce cinéaste raconte que la vérité et l'interprétation des acteurs humains. La scène dans laquelle Raimu tente de tricher aux cartes, disant à son partenaire »vous briser mon cœur», n'est qu'un des moments plusieurs anthologies du spectacle, filmé en extérieur très photogénique.

    Marius / 1931 et Fanny / 1932 respectivement, ont été réalisées par Marc Allégret et Alexander Korda, mais complété par Pagnol lui-même César / 1936 à «Trilogie Marseillaise», comédies imprégnée de beaucoup de chaleur, qui a assuré la gloire de son auteur et leurs interprètes (Raimu-César, Pierre Fresnay-Marius, Fanny-Demazis Orane, Fernand Charpin-Panisse).

    Un autre film préféré est La Femme du boulanger / La Femme du Boulanger / 1938. Aimable Castanet (Raimu), le nouveau boulanger dans le village de Sainte-Cécile, en Provence, n'a pas de rival pour faire un bon pain blanc. Sa femme (Ginette Leclerc) Aurélie, s'échappe avec Dominique (Charles Moulin), le berger du marquis de Monell (Fernand Charpin). Le malheur Baker abord amuse la communauté, mais Aimable n'a plus la force de travailler. Il s'enivre, sort du four et que vous voulez pour se pendre. Les villageois alors organisé pour ramener l'Aurélie infidèle.

    Ce paysan chronique, si plein de vérité humaine sur les autres films de Pagnol Provence, est une étude précise des réactions que provoque le malheur dans un simple homme de cœur. Le film est également sur la solidarité d'un groupe qui était caché et se manifeste en raison de l'inaction des padeiro.Toda désespoir l'intrigue tourne autour Raimu et il nous donne une de ses meilleures compositions: voir la longue scène d'ivresse il rit, chante en italien, dit des obscénités, des noyades et s'endort en larmes, lyriquement évoquant le parfum des bras de sa femme. Vous vous retrouvez à vouloir pleurer quand Aimable, n'osant pas l'adresse Aurélie en retour de leur vol, exprime sa douleur, abordant le chat, qui ont également fui.

    Dans L'Homme qui a vécu deux vies / L 'Etrange Monsieur Victor / 1938 Jean Grémillon et Les Inconnus dans la maison / 1941 Henri Decoin, Raimu avait une occasion de plus pour offrir aux téléspectateurs deux performances brillantes.

    L'homme qui a vécu deux vies vont à Toulon. Victor Agardanne (Raimu) mène une double vie: celle d'un homme d'affaires honnête et respecté durant la journée, qui la nuit devient chef d'un gang de voleurs. Victime d'une tentative de chantage, Victor tue l'un de ses complices avec un instrument pointu qui appartient à votre voisin, cordonnier Bastien Robineau (Pierre Blanche). Ceci est arrêté et condamné. Sept ans plus tard, Bastien s'échappe de prison et se réfugie dans la maison de Victor, qui propose de l'aider, jusqu'à ce qu'il soit démasqué et arrêté par la police sous les yeux incrédules de tout le quartier.

    L'aspect le plus intéressant de l'histoire est la relation psychologique entre Victor et son voisin M. Bastien. Victor est gras, plus prospère, débonnaire, marié à la belle Madeleine (Madeleine Renaud). Bastien est mince, pauvre, maussade, ridiculisé par une femme insatisfaite, Adrienne (Viviane Romance), qui astuces. Victor commet un crime et de laisser Bastien prendre le blâme. Dès son retour, Bastien est recueilli et caché par Victor et tombe amoureux de sa femme. La personne responsable de son malheur lui apparaît comme leur bienfaiteur est celui qui se sent coupable de le trahir au même endroit que le "juste" marchand lui donna asile. Raimu est magnifique, incarnant le personnage de Victor dans l'ambivalence de la nature humaine.

    Dans l'intrigue de Les Inconnus Plus de Dans la n avocat Hector Loursat (Raimu) est devenu un alcoolique après que sa femme l'a quitté pendant dix-huit ans, le laissant seul avec une fille, Nicole (Juliette Faber), dont il n'a jamais occupé . Un jour, après avoir entendu un coup, il trouve un cadavre dans sa maison. Pendant l'enquête, apprend que Nicole Loursat promenades avec un groupe de gars qui, pour conjurer l'ennui, avait fondé un «club de vols." Emile Manu (André Reybaz), le petit ami de Nicole, est chargé d'assassiner parce que la victime était un bandit, qui extorqué de l'argent au groupe. Loursat de sa léthargie habituelle, et Emile est de défendre au cours du procès, le processus d'une société.

    La première partie du film évoque l'atmosphère de la petite ville de caractère existants et les personnages. La seconde est consacrée au rôle d'un avocat alcoolique et décadent, jusque-là confinée à ses souvenirs et son amertume. Il n'a pas perdu de sa clarté et l'utilise pour défendre un jeune homme accusé d'assassiner. Raimu, regarde ivre, est presque endormi dans la cour, où les témoins opprimer son client. Enfin il se réveille et explose, disant quelques vérités dures à être digérée par les bourgeois provinciaux, qui écoutent avec admiration. Son long discours - avec cette voix tonitruante indubitable - le grand acteur offert la chance de montrer son extraordinaire talent.

    Raimu était, avant tout, un acteur instinctif et son immense popularité s'explique certainement par le fait que, grâce à sa personnalité désormais bonachã parfois colérique, chaque individu est facilement identifié avec lui. René Clair, qui l'admirait et vint l'inviter à travailler sur Le silence est d'or / Le Silence d'Est ou d' / 1947, voyaient en lui «une force vivante, que les pires journaux ne pouvaient pas détruire."

     

     

    Raimu caractères autres que moi et pas représenté hors de la mémoire sont les suivants: le capitaine de Hurluret Les Gaietés de l'Esquadron , l'escroc dans Gédéon Tafard Théodore et Cie / 1933, l'escroc dans Gédéon Tafard Ces Messieurs de la Santé / 1933, le Buck chasseur de lions et un menteur dans Tartarin de Tarascon, Tartarin / 1934, le mari cocu dans Rêvons / Faisons une Rêve 1935; Samplan de Gaspard de Besse / 1935, le riche industriel de Marseille, qui a acheté la dernière perle de la couronne de perles / Les Perles de la Couronnne / 1937, le professeur de gym dans Le Fauteuil 47 / 1937, le jury Camille Morestan de Femme Fatale / Gribouille / 1937, le maire François Patusset, qui se marie dans une Baile Carnet de / Un carnet de Bal / 1937; Legendre dans les nouveaux riches / Les Nouveaux Riches / 1938; Pascal Amoretti dans La Fille du Puisatier / 1941, le Père Bolen dans Le Duel / 1939, la Cure des Baux de Parade en septembre Nuits / 1941; professeur de musique ancienne qui devient un mendiant dans Monsieur La Souris, Hyacinthe, l'ancien soldat de l'armée de Napoléon connu comme Chabert dans La Trahison Grande / Le colonel Chabert / 1942; oncle Hector en France éternelle / Untel père et fils / 1945.

    À la fin de Novembre 1937, Raimu est décerné la Légion d'honneur. Il était rare pour un acteur à recevoir cette récompense. Jusqu'à cette date, seuls trois ont été honorés: Cécile Sorel, Le Bargy et Drane (pour son dévouement aux causes humanitaires). Raimu était quatrième.

     

     

    En 1943, Raimu, parrainé par Marie Bell, se joint à la Comédie-Française, le point culminant de sa carrière, et joue, entre autres, des morceaux classiques, Le Bourgeois gentilhomme et Le Malade Imaginaire de Molière. Mais ne vous détournez pas de caméras.

     

    Le grand acteur fait ses adieux aux fans de film seulement en 1946 et décédé le 20 Décembre de la même année, à Neuilly-sur-Seine, à 63 ans (par coïncidence, le même âge qui sont morts Harry Baur), en raison d'une crise cardiaque causée par une dose d'anesthésie, il ne pouvait pas tenir debout après une opération chirurgicale bénigne à la jambe, qui s'est tenue en raison d'un accident d'automobile.

    Sa femme et sa fille Esther, Paulette, organisé ses funérailles, qui a été suivie par des milliers de personnes... du jamais vu ! . A cette occasion, Marcel Pagnol a dit: "Vous ne pouvez pas faire un discours sur la tombe d'un père, un frère ou un fils. Vous étiez tous trois à la fois: je ne parlerai pas sur sa tombe ".

    Je vais finir cet article, en jouant le texte final de l'excellent livre de Raymond Castans, L'Impossible Monsieur Raimu (Fallois, 1999), dont nous extrayons beaucoup d'informations.

    Durant la semaine qui suit l'enterrement de son ami Marcel Pagnol est recherchée par une grande américaine, il est dit: «Je viens des États-Unis et que vous voulez connaître l'adresse de l'acteur Rai-Miou. J'ai vu plusieurs fois le film La Femme du Boulanger et je voudrais avoir l'honneur de le saluer.

    Il lui répond - cela ne va pas être possible. Il est mort la semaine dernière. "

    À ces mots, le visage du visiteur était triste et il a été profondément ému: «. Je ne peux pas croire qu'il murmurait"

    Pagnol lui raconte ce qui s'est passé. L'inconnu a voulu tout savoir. Enfin, il se lève, cherche une image-Raimu longamenta photographique et dit alors à Pagnol: «C'est un grand malheur pour notre art, dit-il, était le plus grand acteur dans le monde."

    En ce moment, le visiteur se rend compte que Pagnol n'est pas reconnu. Puis il regarde: "Je suis Orson Welles."

    Partager via Gmail Delicious Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

  • Pour regarder les vidéos, vous cliquez sur le logo central de deezer.. colonne de gauche, en bas...fond sonore supprimé.

     

    Sainte Chérie
    Connue pour être un pilier de la comédie de boulevard française et (surtout) pour son rôle dans la série Les Saintes chéries, Marthe Mercadier a su apporter sa gouaille et sa verve comique au cinéma et au théâtre. Souvent associée à la comédie populaire, elle a à son actif quelques nanars (Le bon roi dagobert, Te marre pas, c'est pour rire) sans prétention.
    Née à Paris, Marthe Mercadier se prend très tôt de passion pour la scène, passant son temps dans les poulaillers des théâtres parisiens. Très active dans la Résistance pendant l'Occupation, elle débute sa carrière à la fin des années 40, au Théâtre Saint-Georges, en tant que souffleuse.
    Très vite, sa gouaille de "titi" parisienne et une certaine "vis comica" lui permettent de faire ses premiers pas sur scène et au cinéma. Durant les années 50 et 60, Marthe tourne ainsi près de 50 films, le plus souvent dans un registre très populaire et pas franchement inoubliable. D'Un Caprice de Caroline chérie (1952) au bon roi dagobert (1963), elle s'ébat essentiellement dans des romances à l'eau de rose ou des comédies sans relief.
    C'est alors au théâtre qu'elle connait ses succès les plus marquants, jouant Feydeau au Théâtre Montparnasse (L'Hôtel du libre échange, La Puce à l'oreille, etc.) ou Le Tartuffe de Molière sous la direction de Jean Le Poulain (1960). Au coeur des années 70, elle s'improvise productrice avec Et la tendresse bordel ? de Patrick Schulman (sans doute son plus gros succès populaire) et se toruen résolument vers le théâtre de boulevard où elle s'approprie les textes de Robert Lamoureux et Jean Marsan.
     
     
    Vidéo

     

    Ce virage la consacre alors définitivement comme une actrice populaire, trouvant son bonheur dans un répertoire leste et jovial sans jamais tomber dans le populacier. Elle devient également un visage familier du petit écran grâce à ses prestations régulières dans "Au Théâtre ce soir" et, surtout, à son rôle attachant dans "Les Saintes Chéries", série à laquelle son nom reste irrémédiablement attaché.
    Toujours active sur scène où elle joue ses 4 Vérités (2009) ou passe des Vacances de rêve (2002), elle se fait plus rare au cinéma même si, depuis l'inénarrable Te marre pas... C'est pour rire (1982) elle est apparue dans Camp de thiaroye d'Ousmane Sembène et Les Aliénés (2002).

     
    MARTHE MERCADIER
     

    Marthe Mercadier, de son vrai nom Marthe Mercadié-Meyrat, est une actrice française née le 23 octobre 1928 à Paris.

     

    Elle mène une activité très variée, on la voit au cinéma, au cabaret, à la télévision et surtout au théâtre. Elle débute sa carrière à la fin des années 1940 au théâtre de boulevard puis devient ensuite une comédienne populaire grâce à la télévision. En décembre 1970 elle prend la direction du Théâtre du Vieux-Colombier jusqu'en octobre 1971. Elle y présente diverses activités : spectacles pour enfants, théatre de minuit, cabaret.

     

    Sa carrière cinématographique est fantasque à son image avec plus de cinquante films tournés, en majorité, durant les années 1950-1960. Elle devient parallèlement productrice au théâtre et au cinéma. Elle remporte notamment un grand succès avec le film Et la tendresse ? Bordel ! réalisé par Patrick Schulmann en 1979 tandis qu'au théâtre elle sait faire preuve de témérité en produisant Bent, une adaptation par Lena Grinda de la pièce sulfureuse de Martin Sherman, interprétée entre autres par Bruno Cremer et Jean-Pierre Sentier et mise en scène par Peter Chatel au Théâtre de Paris en 1981.

     

    Elle s'implique également dans des associations caritatives et apparaîtra dans l'affaire politico-financière dîte Affaire du Carrefour du développement.

     

    En avril 2007, elle est nommée Chevalier de la Légion d'honneur.


     

    Son grand-père étant président de la Société des Auteurs, elle est grâce à lui auditionnée dès l'âge de 5 ans pour danser avec Joséphine Baker. Elle connaît ainsi le monde du spectacle par les coulisses. À l'âge de 6 ans, elle devient bègue, puis muette. Elle est paralysée pendant 2 ans et demi suite à une grave chute. Pendant la seconde guerre mondiale, adolescente, elle prend part activement à la lutte contre l'occupant en entrant dans la Résistance française. Elle œuvre quelque temps à Bruxelles, avant de fonder sa première association humanitaire.

     

    Elle mène une activité très variée. C'est ainsi qu'on la voit au cinéma, au cabaret, à la télévision et surtout au théâtre. Elle débute sa carrière à la fin des années 1940 au théâtre de boulevard, puis devient une comédienne populaire grâce à la télévision.

     

    Dans un premier temps, elle est souffleuse au Théâtre Saint-Georges, à Paris. De décembre 1970 à octobre 1971, elle prend la direction du Théâtre du Vieux-Colombier. Elle y présente diverses activités : spectacles pour enfants, théâtre de minuit, cabaret.

     

    Avec plus de cinquante films tournés, en majorité durant les années 1950-1960, sa carrière cinématographique est, à son image, fantasque. Elle devient parallèlement productrice au théâtre et au cinéma. En 1979, elle remporte notamment un vif succès avec le film Et la tendresse ? Bordel !, réalisé par Patrick Schulmann. Au théâtre, elle sait faire preuve de témérité en produisant Bent, une adaptation par Lena Grinda de la pièce sulfureuse de Martin Sherman, interprétée entre autres par Bruno Cremer et Jean-Pierre Sentier et mise en scène par Peter Chatel au Théâtre de Paris en 1981. Elle s'implique également dans des associations caritatives et apparaît dans l'affaire politico-financière dite Affaire du Carrefour du développement. Treize à table est l'une de ses pièces préférées parmi celles qu'elle a énormément jouées. Cette femme à l'incroyable tempérament sera aux côtés de personnages célèbres comme Michel Roux, Louis de Funès, ou Michel Galabru. 

     

    Elle mène une activité très variée, on la voit au cinéma, au cabaret, à la télévision et surtout au théâtre. Elle débute sa carrière à la fin des années 1940 au théâtre de boulevard puis devient ensuite une comédienne populaire grâce à la télévision. En décembre 1970 elle prend la direction du Théâtre du Vieux-Colombier jusqu'en octobre 1971. Elle y présente diverses activités : spectacles pour enfants, théatre de minuit, cabaret.

     

    Sa carrière cinématographique est fantasque à son image avec plus de cinquante films tournés, en majorité, durant les années 1950-1960. Elle devient parallèlement productrice au théâtre et au cinéma. Elle remporte notamment un grand succès avec le film Et la tendresse ? Bordel ! réalisé par Patrick Schulmann en 1979 tandis qu'au théâtre elle sait faire preuve de témérité en produisant Bent, une adaptation par Lena Grinda de la pièce sulfureuse de Martin Sherman, interprétée entre autres par Bruno Cremer et Jean-Pierre Sentier et mise en scène par Peter Chatel au Théâtre de Paris en 1981.

     

    Elle s'implique également dans des associations caritatives et apparaîtra dans l'affaire politico-financière dîte Affaire du Carrefour du développement.

     

    En avril 2007, elle est nommée Chevalier de la Légion d'honneur.

     

    Distinctions

     

    • 1974 : Chevalier des Arts et Lettres
    • 1989 : Officier des Arts et des Lettres
    • 1989 : à de , mise en scène de Molière du meilleur spectacle comiqueLa PrésidenteJean PoiretPierre Mondy
    • 1993 : Chevalier de l'Ordre national du Mérite, pour son action humanitaire, décernée par et remise par l’ / Prix de la Solidarité décerné par les pour son engagement humanitaire depuis 20 ans. Simone VeilAbbé PierreNations Unies

     

    Mémoires

     

    • Marthe Mercadier : , Éditions Numéro 1, Paris, 2005, ISBN 2846121699 Le rire est mon refuge

     

    MARTHE MERCADIERBibliographie

    Mémoires

    • Marthe Mercadier : Le rire est mon refuge, Éditions Numéro 1, Paris, 2005, ISBN 2846121699
    Partager via Gmail Delicious Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

  • salut, coucou

    Partager via Gmail Delicious Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

  •  

    Vie quotidienne - La photographie -

     

    L’invention de la photographie ne fut pas le fruit du hasard mais d’une longue gestation.

    Il y a d'abord la découverte par Aristote de l'image inversée qui apparaît dans une «chambre noire». Léonard de Vinci creuse le sujet. Au XVIIIe siècle, les recherches se multiplient d'autre part pour tirer parti de la sensibilité à la lumière des sels d’argent avant que le chimiste anglais Thomas Wedgwood n'arrive à fixer des images l'espace de quelques secondes.


    Une nouvelle façon de regarder le monde



    «Il y a [...] des gens qui savent voir et d’autres qui ne savent même pas regarder» (Nadar).


    «L’écriture du soleil»

    Il faut attendre la coopération entre Nicéphore Niepce (1765-1833) et Louis Daguerre (1787-1851) pour obtenir des résultats encourageants. Le premier, en 1826, a capturé l’image du célèbre «Point de vue de la fenêtre» après plusieurs jours de pose grâce à son procédé de fixation des images, baptisé «héliographie» (du bitume de Judée sur une plaque d'étain polie) ; le second, en 1829, lui apporte la technique de la chambre noire (qui permet de réduire le temps de pose à quelques minutes)... et son sens du commerce.



    Nicéphore Niepce - paysage de Saint-Loup-de-Varennes - (1827)

    La mort de Niepce, en 1833, ne met pas fin à l'aventure dont le rythme va même s'accélérer : moins de cinq ans plus tard, Daguerre présente son daguerréotype à François Arago, savant et homme politique. Celui-ci s'empresse de jouer de son influence pour pousser l'État à se rendre acquéreur de l'invention puis à «en doter libéralement le monde entier», lors de la séance historique du 19 août 1839 devant les Académies des sciences et des beaux-arts.

    La France du «roi-bourgeois» Louis-Philippe 1er prend ainsi de vitesse l'Angleterre de Fox Talbot (1800-1877). Ce dernier met toutefois au point un procédé permettant de multiplier les épreuves positives à partir d'un négatif.



    Boulevard du temple - Photo de Daguerre - Daguerréotype - 1839 (Stadtmuseum, Munich)

    Le succès est immédiat et phénoménal : alors qu'en ville les files d'attentes se forment devant les opticiens qui ont réussi à se procurer le matériel, les amateurs commencent à traverser les océans pour prendre des vues du Nouveau Monde ou d'Égypte.

    Sans cesse amélioré, avec désormais un temps de pose de quelques secondes, le daguerréotype prend vite la place des portraits en miniature dans les salons des familles bourgeoises.


    Bienvenue pour une séance de supplice !

    Il faut beaucoup de bonne volonté pour, les premières années, aller se « faire tirer le portrait » .
    Non seulement la séance est hors de prix (5 frs alors qu’un ouvrier en gagne 1 par jour), mais elle est aussi une véritable torture.



    Le volontaire doit se tenir immobile de longues secondes en plein soleil, aidé pour cela par un appui-tête plus ou moins confortable, le visage couvert de farine pour mieux prendre la lumière.
    On comprend dès lors que les modèles des portraits de l’époque paraissent quelque peu figés et peu souriants !


    Du négatif à la carte de visite

    Cependant le procédé reste lourd et la reproduction des images impossible. L’Anglais Talbot prend en 1841 sa revanche en mettant au point le calotype, c’est-à-dire la technique du négatif sur papier.

    Rapidement, le nombre des ateliers explose sous la vogue des cartes de visite pour lesquelles personnalités et anonymes viennent se mettre en scène, déguisés au milieu de véritables décors de théâtre.



    C’est ainsi que Nadar se fait un nom à la tête de sa cinquantaine d’ouvriers. Il faut en effet de la main-d’œuvre pour retoucher et colorier les portraits !

    Il était logique que la dimension artistique de la photographie finisse par être reconnue et revendiquée, avec, en 1852, au début du Second Empire, la première exposition.

    On rivalise alors d’imagination pour créer marines, tableaux vivants à l’antique et même photomontages.

    Mais la photographie ne se contente pas de faire de l’art : la voici qui devient témoin, des champs de bataille de Crimée aux barricades de la Commune.



    Les commandes officielles se succèdent pour dresser aussi bien le catalogue des peuples de la planète que des malfrats londoniens. On commence alors à voir apparaître de véritables imprimeries photographiques qui diffusent journaux illustrés et ouvrages touristiques.


    Félix Tournachon, dit Nadar

    L'illustrateur et photographe Félix Tournachon (1820-1910) a bien fait de prendre un pseudonyme : un «Panthéon de Tournachon» aurait-il connu le succès de son «Panthéon de Nadar», album de gravures où se côtoient hommes politiques, écrivains et artistes de son temps ? Il a rencontré la plupart de ceux-ci au cours de sa période de bohème, avant de connaître la fortune grâce à la caricature et surtout la photographie.



    Nadar, dessin d'Honoré Daumier (1882)

    Car Nadar est un homme curieux de tout : il se plonge sous Paris pour un reportage sur les catacombes ou encore s'envole à bord de son ballon pour prendre les premiers clichés aériens. Ruiné par la Commune, cet esprit insatiable, ouvert à toute idée nouvelle (c'est dans son atelier qu'exposent les peintres impressionnistes), nous aura fait parvenir un témoignage irremplaçable sur son siècle.


    La couleur des Lumière

    Il restait une étape à franchir : l’invention de la couleur. C’est chose faite officiellement le 7 mai 1869 lorsque le poète et savant Charles Cros (1842-1888) et Louis Ducos du Hauron (1837-1920) présentent le même jour (totalement par hasard !) à la Société française de photographie le principe de la trichromie basée sur l’association de trois images correspondant aux trois couleurs primaires.



    Autochrome des Frères Lumière (1909)

    Il faut encore attendre près de quarante ans pour que les frères Auguste et Louis Lumière (1862-1954 et 1864-1948), ceux-là mêmes qui vont inventer le cinéma (en parallèle avec Thomas Edison) déposent le brevet de l’autochrome qui permet de reproduire les couleurs en une seule prise sur une plaque.

    Et ce n’est qu’après la Seconde Guerre mondiale que le kodacolor s’impose.

    Avec le développement du numérique depuis 1981, la photographie s’est encore banalisée, faisant oublier ce long processus qui a permis à tout un chacun, par le miracle de la reproduction d’image, de disposer de l'équivalent des portraits et des gravures autrefois réservés aux classes fortunées.


    Toute la planète dans un album

    Albert Kahn (1860-1940) est un banquier audacieux et idéaliste : son projet, lancé en 1909, n’est-il pas de fixer sur l’image «des aspects, des pratiques et des modes de l'activité humaine dont la disparition fatale n'est plus qu'une question de temps» ?



    Saïgon, 1915 - Musée Albert Kahn

    Pour réaliser ces «Archives de la planète», il envoie donc aux quatre coins du monde une cinquantaine de photographes qui lui rapportent plus de 72.000 clichés, dont la majorité en couleur. À cela s’ajoutent près de 180.000 mètres de film puisque le cinéma, alors à ses débuts, n’est pas oublié dans l’opération. Il faudra la crise de 1929 et la faillite de Kahn pour interrompre ce projet généreux.


    Quand le technicien se fait artiste

    C'est avec suspicion, voire moquerie, que les peintres virent arriver ces drôles de chimistes encombrés par leurs machines, qui de plus avaient l'ambition de reproduire la réalité !



    Mais la concurrence était déloyale : certains artistes s'essayèrent donc à la photographie, comme Edgar Degas ou Édouard Vuillard, tandis que les photographes devenaient de plus en plus artistes.

    Certaines de leurs réalisations sont même devenues des «classiques», connues de tous : en France les noms de Jacques- Henri Lartigue (1894-1986), Henri Cartier-Bresson (1908-2004) ou Robert Doisneau (1912-1994) nous invitent à observer avec un autre œil la bonne société des années 20 ou le petit peuple parisien d'après-guerre. Que ce soit dans un atelier de mode ou sur un champ de bataille, l'œil a ainsi su trouver un nouveau support pour voir le monde à la façon d'un créateur.
      
      
      
    Partager via Gmail Delicious Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

  • Partager via Gmail Delicious Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

  • Partager via Gmail Delicious Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It