• THEATRES et CABARETS PARISIENS au XIX è siècle

     

     

     

    Au XIXe siècle, la fréquentation des cabarets et des théâtres est un aspect fort important de la culture urbaine, populaire ou petite-bourgeoise.

    Accusés de favoriser l’ivrognerie, la violence et la prostitution, les cafés populaires et les cabarets sont souvent dénoncés comme des lieux de débauche.

      

      

    Pendant tout le XIXe siècle, le peuple de Paris fréquente des bals publics où l’on danse les dernières danses à la mode. En 1843, les fils Mabille ouvrent sur les Champs-Elysées un bal révolutionnaire par son utilisation de l’éclairage au gaz et de danseurs professionnels.

    Les Parisiens vont rire et pleurer devant toutes sortes de drames, mélodrames, vaudevilles, opéras et opéras-comiques. Si le théâtre de Guignol est plutôt destiné aux pauvres,

     

    L'Ambigu - Comique

      

    si L’Ambigu-Comique ou La Gaîté ont la réputation d’être des salles populaires, la majorité des théâtres de boulevard accueille un public mêlé : même si le petit peuple domine les salles, les billets bon marché (quelques dizaines de centimes au “ paradis ”) et plus chers (parfois cinq francs la place dans une loge) imposent une certaine diversité sociale.

      

    Offenbach triomphe aux Variétés sous le Second Empire, tandis que les pièces de Labiche et de Meilhac et Halévy remportent des succès éclatants dans les théâtres de boulevard des années 1870 et 1880.

     

     

     

    Auteur : Ivan JABLONKA

      

      

    Sources

     

     

    « EUGENE ATGET ... ( VI ) PARIS Vè et VIè arrondissementALBERT KAHN »
    Partager via Gmail Delicious Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks