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    II° Arr. L'arrière d'un bâtiment disparu a l'angle de la Rue Sainte-Foy vu depuis la Rue d'Alexandrie - 1914

     

     

     

    II° Arr. La rue Chénier a l'angle de la rue Sainte-Foy - 1914

      

    La boutique, le vannier dites-vous était la boutique du marchand de couleurs...on trouvait de tout dans ces magasins, de la cire Abeille, des seaux à charbon, de la ficelle, de la thérebenthine, des pelles à charbon, des balais.... et le pire, c'était le magasin des Beaux Parents de ma Grand Mère Paternelle. Mon grand père habitait rue des Jeuneurs... il a connu Suzanne, la fille du marchand de couleurs en 1920... se sont mariés en 1923...la rue Ste Foy, combien de fois ils nous ont racontéss la "rue Sainte Foy".Il fallait demander la permission au Père de Suzanne pour qu'il l'emène danser...au bal...

      

      

    V° Arr. - 25 rue des Boulangers - 1914

    Précédemment dénommée Neuve des Boulangers, cette rue tient son nom de la présence de nombreuses boulangeries dès la fin du Moyen Âge.  

      

    V° Arr. - La Rue Tournefort a l'angle de la Rue du Pot de Fer - 1914

      

    Ancienne voie de Paris présente sous le nom de ruelle des Prêtres, chemin au Prêtre puis rue du Bon-Puits avant le XVIe siècle[1], elle est dénommée sous sa forme actuelle - dans un titre - à partir de 1588 d'après le nom d'une ancienne enseigne de magasin. Malgré tout, des documents la mentionnent parfois encore en 1603 sous le nom de rue du Bon-Puits, en raison d'un puits, devenu fontaine publique, se trouvant à son angle avec la rue Mouffetard.

      

     

    Au delà de la rue Tournefort se trouve l'ancienne caserne des Gardes-Françaises datant de 1775 et inscrite aux Monuments historiques depuis 1973[3]. La fontaine du Pot-de-Fer, datant du XVIIIe siècle et aujourd'hui inopérante, se trouve à l'angle de la rue Mouffetard ; elle est également classées aux Monuments historiques depuis 1925[4].

     

    Dans sa partie attenante à la rue Mouffetard elle bénéficie aujourd'hui de son activité touristique et festive, avec de très nombreux petits restaurants.

      

    V° Arr. - La Rue Linné a l'angle de la Rue des Boulangers - 1914

      

    Précédemment dénommée Neuve des Boulangers, cette rue tient son nom de la présence de nombreuses boulangeries dès la fin du Moyen Âge

      

     

    La rue Linné, comme la rue Geoffroy-Saint-Hilaire qui la prolonge et la rue Jussieu, sont des anciennes sections de la rue du Faubourg-Saint-Victor. À l'emplacement de l'actuel no 2 de la rue des Écoles s'est élevée de 1210 à 1684 la porte Saint-Victor de l'enceinte Philippe Auguste, ce nom de Saint-Victor étant celui de l'abbaye que l'on rencontrait sitôt franchie la porte de Paris[1].

     

    Elle a été nommée d'après le naturaliste suédois Carl von Linné.

      

      

      

    V° Arr. - Maison disparue sur la Rue du Haut Pavé a l'angle de la Rue de la Bûcherie - 1914

      

    Cette ancienne rue s'appelait à l'origine rue d'Amboise  puis rue Pavée-Saint-Victor en relation avec son quartier d'appartenance avant de s'appeler rue Haut-Pavé en raison de sa pente escarpée d'alors.  

     

    Près de la cathédrale de Notre-Dame de Paris et de la place Maubert, entre la Seine et le Boulevard Saint-Germain, la rue de la Bûcherie est une des plus anciennes rues de la rive gauche de Paris présente sous ce nom dès le XIIe siècle. La « Bûcherie » vient de l'ancien français Port aux Bûches — où les bûches étaient déchargées[1]. Au Moyen Âge, c'était une rue où de la viande avariée était salée et bouillie pour nourrir les habitants les plus misérables de Paris[2].

    Jusqu'à la fin des années 1970, cet endroit était une rue parisienne populaire avec divers restaurants modestes (libanais, asiatiques, pakistanais), des magasins d'antiquités et des galeries d'art. Dans les années 1970, la galerie d'art contemporain d'Annick Gendron s'installa au no 1.

     

     

     

    En 1235, la partie comprise entre la rue du Roi-de-Sicile et la rue des Francs-Bourgeois existait, et s'appelait la « rue du Petit-Marivaux ». Rebaptisée en 1406 « rue du Petit-Marais », puis « rue Marivaux », son nom fut remplacé vers 1450 par « rue Pavée-au-Marais », puis « rue Pavée ». Prolongée en 1838, jusqu'à la « vieille rue Saint-Antoine », elle a été raccourcie lors du percement en 1854 de la rue de Rivoli.

     

    La rue s'arrêtait à l'enceinte Philippe-Auguste, dont on voit encore les vestiges à droite de l'hôtel d'Angoulême Lamoignon, faisant pignon avec l'ancien bâtiment de la Prison de la Petite-Force.

     

    La rue étaient huppée, et bordée d'hôtels particuliers (hôtel de Brienne, hôtel de Savoisy) dont seul l'hôtel d'Angoulême subsiste.

     

    La « moindre largeur » de la rue a été fixée à 8 m par une décision ministérielle du 23 brumaire an VIII, signée « Quinette », puis à 10 m en vertu d'une ordonnance royale du 14 octobre 1838.

     

    D'autres « rues pavées » parisiennes ont été ainsi dénommées: rive gauche, par exemple, il a longtemps existé une « rue Pavée », dès 1300 qui est devenue « rue Pavée-Saint-André-des-Arts » et aujourd'hui rue Séguier, (où logea par exemple en 1281 Pierre Chauchat, renommé professeur en Sorbonne, ou en 1358 l'évêque de Laon, Robert Le Coq, proche d'Étienne Marcel), ainsi que des rues Pavée-Saint-Sauveur ou Pavée-Saint-Antoine.

     

      

     

    iV° Arr.- Rue de Venise/ Impasse de la Baudroire - 1914

      

     

    C'est l'enseigne : " L’Écu de Venise ", qui est à l'origine du nom de la rue.

     

    Dans les actes du XIIe siècle siècle elle set désignée sous le nom de Erembourg, ou Hérambourg de la Tréfelière, sous Philippe le Bel, (1285-1314). Guillot en 1300, l'appelle: rue Sendebours La Tréfilière et en 1312, elle a pour nom : rue Bertaut Qui Dort, qu'elle porte toujours sous Jean Le Bon, (1350-1364)ou l'on cite à l'angle de la rue Saint-Martin une maison qui aboutissait par derrière à la Maison de Bertaut-Qui-Dort

    C'est en 1512 qu'elle prend le nom de : rue de Venise. C'est la première partie de la rue de Venise la seconde séparée par la rue Saint-Martin ne tombait pas tout à fait en face, ce qui témoigne de leur origine différente. Cette rue s'étendait autrefois entre la rue Beaubourg et la rue Saint-Martin. Cette partie fut supprimée en 1936, après expropriation et démolition des immeubles situés dans le périmètre de cet îlot, numéro 1, classé insalubre.

      

    Elle fut déclassée par arrêt du 13 août 1971. Cette portion de rue s'appelait autrefois : Guillot la nomme: rue Lingarière en 1300, vers la même époque on cite également l'appellation: rue de la Platrière et vers 1313; rue de la Corroierie nom qu'elle a toujours au XVIe siècle siècle, avec une variante orthographique: rue Corroier ou rue de la Conroirie. Elle pourrait être la rue de la Bloquerie, désignée par Gilles Corrozet. Une partie fut aussi rue des Cinq-Diamants et fut ajoutée à la rue Quincampoix.

     

    C'est une rue sordide, dont les rez-de-chaussées sont occupés par des commerces de chiffons[3]. Les étages étant peuplés d'une clientéle de miséreux. C'est ici qu'au Moyen Âge, les usuriers entassaient leurs richesses qui en sortirent au temps de Law par la rue Quincampoix sous la forme de papier-monnaie. Les agioteurs étaient ici légions, se volant mutuellement. C'est dans cette ruelle que sous la Régence du Duc d'Orléans, trois assassins criblés de dettes décidérent de se refaire en trucidant un de ces riches agioteurs de la rue Quincampoix du nom de Lacroix, qu'ils attirèrent sous prétexte de négociation dans la rue de Venise et là l'occire en le lardant de coups de poignard, afin de lui voler son portefeuille. Un des compères du nom de: de l'Estang, fils d'un banquier belge, qui faisait le guet, pris la fuite en entendant la victime hurler et la populace sortir. Il se rendit à son Hôtel rue de Tournon, emportant ses valeurs et disparu.

    Les deux autres, le comte Antoine Joseph de Horn, capitaine réformé et Laurent de Mille lui aussi Capitaine réformé, furent saisis et roués vifs en Place de Grève. Cet événement c'est déroulé devant l'auberge de L'Epée de Bois dont le propriétaire sorti le premier porter secours au malheureux. Cet endroit se situeau N°27 là ou aujourd'hui est établi un marchand de vin (1875).

     

    Il y avait, un passage de Venise qui fut supprimé au profit du boulevard de Strasbourg dont la formation à travers le jardin du Couvent de Saint-Magloire était contemporaine de l'émission des assignats. Il y avait de même la Cour Batave qui tout près occupait la place de l'Hôpital du Saint-Sépulcre et qui a fait appeler impasse Batave jusqu'en 1806, un cul-de-sac de Venise et Quincampoix, confinant au jardin des filles de Saint-Magloire. Ce cul-de-sac disparu avait fait partie d'une rue de Bièvre et de Berne entre les XIIIe siècle et XVIIe siècle siècle

     

    C'est par décision ministérielle du 12 prairial an X signée de Chaptal qui fixa la largeur de cette voie à 7 mètres et une autre du 30 novembre 1822, signée Corbière et l'ordonnance royale du 29 avril 1839 l'ont porté à 10 mètres

      

      

     

    I° Arr - La rue de Viarmes - 25 Juin 1914 - Auguste Léon

    La voie a été ouverte sous la prévôté de Jean-Baptiste de Pontcarré de Viarmes, qui avait fait reconstruire l’ancienne Halle au Blé, devenue Bourse du Commerce.  

     

      

    Rue de Rivoli

     

    Son nom rappelle celui d'une ville italienne, siège d'une victoire remportée par Napoléon Bonaparte sur l'Autriche en 1797.

     

    Le percement de la rue de Rivoli (initialement rue Impériale) fut décidée en vertu d'un arrêté du 17 vendémiaire, an X (9 octobre 1801) selon le projet des architectes Percier et Fontaine. Sa construction se fit en plusieurs étapes :

     

      

    Rue du Montparnasse

     

    La rue du Montparnasse est une réalisation du règne de Louis XVI. C'était à l'origine un chemin rural desservant des parcelles situées au sud de la rue Notre-Dame-des-Champs (voir le plan de Turgot de 1739), nommées le marais de la Cure, et où se situait la ferme du Grand-Pressoir.

    Sa création s’est faite suite à l'ordonnance royale de Fontainebleau du mois d'octobre 1773, mais celle-ci ne fut enregistrée par le parlement de Paris que le 5 septembre 1775. Sa dénomination faisait suite à une déclaration du 16 mai 1769 sur la nécessité d'ouvrir une voie entre la rue Notre-Dame-des-Champs et les boulevards parisiens, en l'occurrence le cours du Midy, percé en 1700.

     

      

      

    Angle Boulevard Raspail/ Rue Notre Dame des Champs

      

      

      

    Angle du Boulevard Beaumarchais et de la Rue du Pas de la Mule Paris, juin1914

     

    Rue des Martyrs

      

      

      

      

      

      

      

      

      

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    Extremely Rare Color Photography of Early 1900s Paris

    • 1900s Paris in Color Although some of these images might look like a modern day photography and some of them like painted pictures, actually it is real colored photographies, taken at the beginning of the 20th century Paris (France). It is extremely astonishing to look at the world now long gone, the world which you are used to see in black & white images and often with poor quality.
    • All the images shown below were taken using Autochrome Lumière technology. It's an early color photography process, patented in 1903 and invented by the famous French Auguste and Louis Lumière, populary known as Lumière Brothers. They were the earliest filmmakers in history.
    • So, here it is! The city of love: the streets, the architecture, the people, interiors and grand events – all of them in their true colors.

     

     

     

     

     

     

     

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