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Faye Dunaway, née le 14 janvier 1941 à Bascom en Floride, est une actrice, productrice et scénariste américaine.
Elle commence sa carrière de comédienne au milieu des années 1960. L'immense succès du film Bonnie et Clyde en 1967 fait d'elle une star. Sex-symbol dans les années 1960 et 1970, elle joue les femmes froides et sensuelles, à poigne et névrosées, guettées par la déchéance dans des films comme L'Affaire Thomas Crown, Chinatown ainsi que Network pour lequel elle reçoit un oscar. Sa carrière, qui a connu des hauts et des bas (elle reçut un Razzie Awards dans la catégorie Pire actrice pour Maman très chère), est néanmoins qualifiée d'exceptionnelle par la critique de cinéma.
Considérée comme un « modèle de sophistication et de grâce intemporelle », elle est également connue pour son tempérament difficile. Au cours de sa carrière, elle a travaillé avec les plus grands acteurs sous la direction des plus fameux réalisateurs de sa génération. Les films qu'elle tourne dans les années 1970, de Little Big Man aux Yeux de Laura Mars font d'elle l'une des actrices les plus notables de cette décennie
Biographie de Faye DUNAWAY
Née le 14 janvier 1938 à Bascom, en Floride, Dorothy Faye Dunaway voyagera beaucoup durant son enfance : Utah, Allemagne, Floride… Son militaire de père ne lui ménage pas les déplacements. Peu importe, elle s'enrichit et semble prédestinée à devenir une étudiante modèle.
Alors qu'elle est élève de l'université de Floride, elle commence à fréquenter les planches, et interprète son premier rôle dans "Médée" au sein d'une troupe universitaire.
Devenu l'une des "Sorcières de Salem" avec l'Université de Boston, elle abandonne ses études et la bourse qui devait lui permettre de gagner Londres pour se joindre à la troupe du Lincoln Center. C'est là qu'Elia Kazan la rencontre et la dirige dans les pièces "Après la chute", d'Arthur Miller et "But for whom Charlie", de S. N. Behrman.
Après trois ans dans la troupe, et une petite carrière de “photo-model”, elle fait ses grands débuts au cinéma auprès d'Anthony Quinn dans Les détraqués, une comédie d'Elliot Silverstein. Il ne lui faudra pas attendre longtemps avant d'atteindre des sommets : son rôle de Bonnie Parker dans Bonnie & Clyde (qui lui vaut une première nomination aux Oscars), celui d'une enquêtrice acharnée et amoureuse dans L'affaire Thomas Crown.
Au fil des films, celle qui sait si bien exprimer les failles et les gouffres de la femme moderne, se montrera aussi à l'aise dans des productions hollywoodiennes que dans des films d'auteur, comme en témoigne sa filmographie.
Dans les années 80, l'étoile se fait moins brillante, mais l'actrice ne cesse de tourner.
De téléfilms en séries et en films de seconde catégorie, elle suit son bonhomme de chemin, et on la retrouve finalement, au début des années 90, chez Kusturica (Arizona dream), dans le premier film de Kevin Spacey, Albino alligator, et dans le Jeanne d'Arc de Luc Besson.
Fait assez unique, Faye Dunaway figure dans Thomas Crown, remake du film qui avait fait d'elle une star. Elle a fait paraître, il y a quelques années, ses mémoires sous le titre "Looking for Gatsby".
Faye DUNAWAY a participé à 52 films
1966 - Les détraqués (Silverstein)
1967 - Que vienne la nuit (Otto Preminger)
1967 - The Extraordinary Seaman (John Frankenheimer)
1967 - Bonnie and Clyde (Arthur Penn)
1968 - L'affaire Thomas Crown (Norman Jewison)
1969 - Le temps des amants (De Sica) 1969 - L'arrangement (Elia Kazan)
1969 - Little big man (Arthur Penn)
1970 - Portrait d'une enfant déchue (Jerry Schatzberg)
1971 - Doc Holliday (Perry)
1971 - La maison sous les arbres (René Clément)
1972 - L'or noir de l'Oklahoma (Kramer)
1973 - Les Trois Mousquetaires (Richard Lester)
1974 - Chinatown (Roman Polanski) 1974 - La tour infernale (John Guillermin)
1975 - Les trois jours du Condor (Sydney Pollack)
1974 - On l'appelait Milady (Richard Lester)
1976 - Network, main basse sur la télévision (Sidney Lumet)
1976 - Le voyage des damnés (Stuart Rosenberg)
1978 - Les Yeux de Laura Mars (Irvin Kershner)
1979 - Le champion (Franco Zeffirelli)
1980 - De plein fouet (Brian G. Hutton)
1981 - Maman très chère (Perry)
1983 - The Wicked Lady (Winner)
1983 - Duet for One (O'Neill)
1984 - Supergirl (Jeannot Swarc)
1984 - Ordeal by Innocence (D. Davis)
1987 - Barfly (Barbet Schroeder)
1988 - Midnight Crossing (Halzberg)
1988 - Burning Secret (Andrew Birkin)
1989 - Frames from the Edge (Maben)
1989 - Bandini (Deruddere)
1989 - In una notte di chiaro di luna (Wertmüller)
1990 - La servante écarlate (Volker Schlöndorff)
1990 - Scorchers (Beaird)
1992 - Arizona Dream (Emir Kusturica) 1
1992 - Double Edge (Amos Kollek)
1995 - Don Juan DeMarco (Jeremy Leven)
1995 - Dunston Panique au palace (Kwapis)
1995 - Drunks (Cohn)
1996 - Albino Alligator (Kevin Spacey)
1996 - L'Héritage de la haine (James Foley)
1996 - En brazos de la mujer madura (Lombardero)
1996 - The Twilight of the Golds (Marks)
1999 - Jeanne d'Arc (Luc Besson)
1999 - Thomas Crown (John McTiernan)
1999 - Love Lies Bleeding (Tannen)
1999 - Stanley's Gig (Lazard)
2000 - The Yards (James Gray)
2002 - Les Lois de l'attraction (Roger Avary)
2002 - The Bahama Triangle (Kevin O'Connor)
2005 - Ghosts Never Sleep (Steve Freedman)
SOURCES : Wikipedia - et http://www.cinemapassion.com/filmographie-actrice-Faye%20DUNAWAY-494.html
Naissance 4 janvier 1941 (Bascorn, Floride - Etats-Unis)Avec un père militaire, Faye Dunaway s'est souvent déplacée au cours de sa jeunesse. Studieuse, elle intègre l'université de Floride et commence à fréquenter les planches en décrochant un rôle dans Médée au sein de la troupe universitaire. Elle déménage de nouveau, et se retrouve à l'université de Boston, où elle interprète une des Sorcières de Salem. Trouvant sa véritable vocation, elle abandonne ses études et en 1962 décide de prendre des cours de théâtre à l'American National Theater and Academy, pour ensuite intégrer la Troupe du Lincoln Center. Elia Kazan la remarque et lui offre des rôles dans des différentes pièces : Après la Chute d'Arthur Miller et But for whom Charlie de S.N. Behrman.
Sa première apparition au cinéma date de 1967, dans The Happening d'Elliot Silverstein, aux côtés d'Anthony Quinn. La gloire vient rapidement, lorsque la même année elle accepte le rôle de Bonnie, qui devenait revenir à Jane Fonda, dans Bonnie and Clyde d'Arthur Penn, et offre une très belle inteprétation aux côtés de Warren Beatty. Ce rôle lui permettra une première nomination aux Oscars en 1968. A partir de ce moment, Faye Dunaway travaille avec les plus grands, tant réalisateurs qu'acteurs : Norman Jewison et Steve McQueen dans L'Affaire Thomas Crown, Elia Kazan , Kirk Douglas et Deborah Kerr pour L'Arrangement, ainsi que Dustin Hoffman dans Little Big Man d'Arthur Penn . Parlant couramment le français et ayant un fort potentiel dramatique, René Clément fait appel à elle en 1970 pour La Maison sous les arbres, dont l'histoire se déroule à Paris. Le film sera présenté hors-compétition au Festival de Cannes. De retour aux Etats-Unis, on la retrouve à l'affiche de grands films hollywoodiens : Chinatown de Roman Polanski, pour lequel elle sera de nouveau nommée aux Oscars, et La Tour infernale où elle retrouve Steve McQueen . Sa consécration est à son apogée lorsqu'elle reçoit enfin le Golden Globes et l'Oscar de la meilleure actrice pour son rôle de journaliste ambitieuse dans Network, main basse sur la télévision de Sidney Lumet.
Mais le monde hollywoodien est impitoyable, et les années 80 sont loin d'être aussi glorieuses pour Faye Dunaway. Malgré des films notables, tels que Les Yeux de Laura Mars en 1980, Maman très chère dans lequel elle incarnait l'actrice Joan Crawford (Faye Dunaway reçut pourtant à l'époque le Razzia de la pire actrice pour ce rôle) et Barfly aux côtés de Mickey Rourke, l'actrice ne touche pas le public. C'est en 1993 qu'elle retrouve les honneurs avec la comédie dramatique d'Emir Kusturica, Arizona Dream, où elle donne la réplique à Lili Taylor et Johnny Depp, acteur qu'elle retrouvera deux ans plus tard dans Don Juan DeMarco, avec aussi Marlon Brando au générique. La même année, Kevin Spacey lui offre un des rôles principaux de son premier film, Albino alligator, et elle reçoit un nouveau Golden Globes pour son rôle dans le téléfilm Anatomie d'un top model, dont la vedette était tenue par Angelina Jolie. Clin d'oeil intemporel, elle apparaît rapidement en psychiatre dans Thomas Crown, remake d'un de ses plus grands films tourné au début de sa carrière. Elle se glisse ensuite dans la peau de Yolande d'Aragon, dans la superproduction de Luc Besson, Jeanne d'Arc. L'année 2000 est prolifique pour Faye Dunaway qui s'envole à Cannes pour la présentation en compétition de The Yards, et passe derrière la caméra pour la première fois en réalisant un court-métrage, The Yellow Bird, pour lequel elle endosse les casquettes d'actrice, productrice et scénariste. Loin des premiers rôles qu'elle tenait auparavant, on la remarque néanmoins en 2003 dans Les Lois de l'attraction, en mère accro du Xanac et de l'alcool, qui préfère ignorer l'homosexualité de son fils.Ses premiers pas à l'écran
- The Happening
1967
- Que vienne la nuit
1967
- Bonnie and Clyde
1967
- Le Temps des amants
1968
Ses meilleurs films et séries TV
- Le Champion
1979
- Network, main basse sur la télévision
1976
- Little Big Man
1970
- Chinatown
1974
- The Happening
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Cette photo a été prise en 1942, l'assemblage du fuselage avant de Bombardier d'un bombardier B-17 F. La photo a été prise à l'usine Douglas Aircraft Company à Long Beach, en Californie. Le B-17 a été connu à la «forteresse volante», Le B-17 avait un équipage de 7-9 hommes.
Beaucoup de discussions intéressantes, hier sur le sujet de l'emploi manufacturier aux États-Unis. Je dois admettre que je me demande juste combien a été externalisée. Par exemple, y at-il des usines de tissu courir aux Etats-Unis qui serait capable de prendre en coton, et faire des t-shirts. Notre petite ville a une filature de laine qui peuvent prendre la laine brute à partir d'un mouton, et la transformer en des couvertures vraiment très agréable. Il fonctionne toujours, mais malheureusement, il est un musée maintenant. Il a dû fermer il ya longtemps, car personne ne veut une couverture de laine fine (cher). Tout le monde veut une couverture en polyester de 5 $ par Walmart. Trier du triste que nowdays une usine de laine de fonctionnement ne peut être trouvée dans un musée....continuons la recherche à l'effort Seconde Guerre mondiale Guerre. Aujourd'hui image a été prise en 1942, et montre que les femmes travaillant sur le fuselage de l'Bomber Liberté. La photo a été prise à Ft.. Worth, au Texas, à la Consolidated Aircraft Corporation.
Bienvenue à la Semaine des travailleurs de guerre ici au OPOD. Comme hommes sont entrés dans l'armée pour servir dans la Seconde Guerre mondiale, les femmes ont dû intervenir et combler les postes qui avaient été faites par les hommes. Les femmes déplacées dans des emplois qui étaient traditionnellement occupés par des hommes. La photo ci-dessus a été prise en 1942, et montre une femme peignant les insignes sur l'aile d'un avion américain.
Cette photographie a été prise en 1942. Il montre la formation des infirmières pour la guerre du gaz. Tandis que les femmes sont représentés dans une formation d'exercice , et non d'une attaque réelle de gaz, j'ai toujours pensé que cette photo avait une sorte d' étrange apocalyptiques se tournent vers elle.
Cette image montre des femmes travaillant dans l'effort de guerre Seconde Guerre mondiale. Avec un large segment de la population masculine de servir dans l'armée, les femmes intensifié et rempli de nombreux emplois autrefois considérés comme un travail d'homme. Tout au long de la Seconde Guerre mondiale, les femmes ont démontré qu'elles pouvaient accomplir une variété de métiers et des emplois professionnels. Lorsque les hommes revenaient de la guerre, beaucoup de femmes restaient dans l'effectif.
Aujourd'hui nous vous présentons une photographie d'une travailleuse dans l'effort de guerre Seconde Guerre mondiale. Pendant la guerre, une large fraction de la population active des Etats-Unis a été occupée dans la lutte contre la guerre. Dans le même temps, il y avait une énorme demande pour les travailleurs de construire des avions, des chars, et autres équipements nécessaires pour combattre la guerre. Afin de combler les emplois, de nombreuses femmes avaient commencé à travailler dans des emplois auparavant réservés aux hommes. Cette image montre une femme qui travaille sur le bombardier B-24 Liberator.
Le kamikaze premier libérateur est sorti de la ligne de production Willow Run, ce jour, Novembre 28, dans l'année 1942. Aujourd'hui, nous levons notre chapeau à toutes les femmes s'avancèrent vers de nouveaux emplois et difficiles à aider les Alliés à gagner la guerre.
Aujourd'hui nous terminons notre série de photos sur l'effort de guerre avec cette image d'une femme travaillant à la surface de contrôle d'un stabilisateur d'un bombardier. Elle travaille pour l'entreprise nord-américaine de l'aviation. Je dois dire que j'ai apprécié les photos cette semaine. Il est bon de voir des gens travailler avec leurs mains, en fait de construire quelque chose. Nous avons besoin de plus de ce ces jours-ci.
sources : http://old-photos.blogspot.com/search/label/World%20War%20II
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La Cour Royale était l'organe suprême du pays, elle était composée d'un Roi et des mandarins.
Une "Assemblée Générale" était organisée tous les 1 et 15 de chaque mois au Palais Thai-Hoa. Les mandarins qui siégeaient à la capitale devaient être présents. Ils s'alignaient dans La Cour Royale, devant le Roi, en suivant une règle stricte: les plus haut gradés devant.
A la tête de l'administration, on retrouvait un Tong Doc (Gouverneur général ou Préfet), chargé de l'administration des provinces, il avait sous ses ordres les mandarins chefs de circonscription (tri phu, tri huyên, tri châu) qui devaient faire respecter les lois, les règlements et assurer l’exécution des ordres de l’autorité.
Pour accéder au mandarinat, il fallait être un lettré, et pour cela réussir les examens qui se déroulaient à Nam Dinh tous les 3 ans (voir "La progression sociale").
On reconnaissait l'importance d'un mandarin au nombre de parasols qu'il possédait lors de ses déplacements.
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Les photos d'époque de la Cochinchine (du Sud)
SOURCES : http://nguyentl.free.fr/html/photo_epoque_sud_p3_fr.htm
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BIOGRAPHIE
D'origine sicilienne flamande, il passe son enfance entre la région parisienne et Marseille.
Dès l'âge de 10 ans lors d'une colonie de vacances, il monte sur les planches et interprète un sketch comique. C'est la révélation, entendre son public rire le motive à poursuivre sur cette voie, passionné d'humoristes, ou plutôt comme il aime les appeler : les "Sketchers", ceux qui font des sketches. Il adore fouiner rue des Ecoles à Paris, acheter des disques vinyles ou des k7 de divers sketchers.
A l'âge de 17 ans avec son "frère spirituel", David Salles, ils décident d'aller faire une audition pour une émission de télé à Strasbourg… en vain. Ils ne sont pas pris, mais rencontrent une comédienne dans le train, qui leur conseille de prendre des cours car ils avaient, d'après elle, "quelque chose".
Et c'est à "La Nouvelle Ecole de l'Acteur" avec un professeur guatémaltèque, Rafaël Gozalbo, qu'ils apprennent l'écriture, l'improvisation en groupe, le seul en scène, le 2 en scène, et 3 et 4…Ensuite Bruno part à l'aventure, mais le chemin est long et semé d'embûches, d'embuscades, de petits boulots.
En 1993, il écrit son premier spectacle, "On n'a pas le titre", avec Emmanuel D'ancourt, et sa suite : "On n'a toujours pas le titre !" Puis en 1994, il écrit le one man show "N'est pas cochon d'inde qui veut !"
1996, tout s'enchaîne après un passage chez Graines de Stars, il auditionne au Carré blanc à Paris, et y joue son spectacle en compagnie d'Eric Collado, Jean Dujardin, Eric Massot et Emmanuel Joucla. Chacun d'eux avait son propre spectacle, mais la complicité fut tellement forte qu'avec la plus grande spontanéité, les Nous c Nous ce sont formés, recueillant un grand succès, à la télévision notamment.Il commence la scène en 1991, en jouant dans des petites salles et des MJC. Il a aussi travaillé chez Eurodisney, où il a incarné le personnage Dingo.
Après la dissolution du groupe, il crée deux one man show et joue dans quelques téléfilms. En 2004, il retrouve Jean Dujardin et Eric Collado dans le film Brice de Nice.
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Au cinéma, après une première apparition dans Gamer, il est dans Le carton de Charles Némès etprête sa voix au personnage de Syndrôme dans Les Indestructibles des Studios Pixar. Suivent un petit rôle dans la série télé "Clara Sheller" et dans l'adaptation cinéma de Brice de Nice, face à son complice Jean Dujardin, dans le rôle d'Igor Hossegor.
Alexandre Brasseur, Bruno Salomone et Pierre Mondy
Début 2007 il passe dans le Hellphone de James Huth, avant de tenir le haut de l'affiche -enfin- avec Alexandra Lamy dans Cherche fiancé tous frais payés, une comédie éreintée par la critique et peu suivie du public. Changement de registre quelques semaines plus tard avec La maison de Manuel Poirier, aux côtés de Sergi López et BéréNice Béjo.
En 2007, il joue l'un des personnages principaux de la série de France 2 Fais pas ci, fais pas ça, qui obtient un très beau succès
En 2008, il est à l'affiche de la comédie Fool moon aux côtés de Artus de Penguern. En 2009, on le retrouve à l'affiche de Lucky Luke de James Huth, aux côtés notamment de Jean Dujardin, Michaël Youn et Sylvie Testud. Il y fait la voix du cheval du cowboy : Jolly Jumper.
Filmographie
- 2001 : Gamer de Patrick Levy : Rico
- 2004 : Le Carton de Charles Némès : Vincent
- 2005 : Brice de Nice de James Huth : Igor d'Hossegor
- 2007 : Hellphone de James Huth : Hervé Temmam
- 2007 : Cherche fiancé tous frais payés de Aline Issermann : Yann / Manuel
- 2007 : La Maison de Manuel Poirier : Rémi
- 2008 : Fool Moon de Jérôme L'hotsky : Jean-Pascal
- 2012 : La Clinique de l'amour d'Artus de Penguern
- 2012 : Les vacances de Ducobu de Philippe de Chauveron
Télévision :
- 1996-2000: carré blanc / Nous C Nous
- 1998 : Farce Attaque
- 2002 : Caméra café : 1 épisode
- 2005 : Clara Sheller de Nicolas Mercier : David
- 2005-2009 : Kaamelott de Alexandre Astier : Caius Camillus (13 épisodes)
- 2005 : La Famille Zappon de Amar Arhab et Fabrice Michelin : M. Fester
- 2005 : Un coin d'azur de Heikki Arekallio : Félix
- 2006 : Au secours, les enfants reviennent! de Thierry Binisti : Thomas Brival
- 2007- 2011 : Fais pas ci, fais pas ça (série) : Denis Bouley (4 saisons)
- 2008 : Etat de manque de Claude d'Anna : Aurélien Rinauro
- 2009 : Le Temps est à l'orage de Joyce Buñuel : Paul
- 2009 : Big Jim de Christian Merret-Palmair : Alexandre
- 2010 : Famille décomposée de Claude d'Anna : Léo
- 2011 : La Pire Semaine de ma Vie de Frédéric Auburtin : Stéphane
Voxographie :
- 2000-2002 : Voix off du Burger Quiz
- 2004 : Les Indestructibles (The Incredibles) de Brad Bird : Syndrome (voix française)
- 2006 : Lucas, fourmi malgré lui (The Ant Bully) de John A. Davis : Zoc (voix française)
- 2007 : Cendrillon et le prince (pas trop) Charmant (Happily N'Ever After) de Paul J. Bolger : Rick (voix française)
- 2009 : Lucky Luke de James Huth : Jolly Jumper
- 2010 : Une vie de chat de Alain Gagnol et Jean-Loup Felicioli : Nico
- 2011 : Un monstre à Paris de Bibo Bergeron: Albert
Spectacles
Spectacles Seul en scène:
- 1997 : N'est pas cochon d'Inde qui veut ! capté au Palais des Glaces
- 2001-2002 : Mi-homme, mimolette : capté au « théâtre Trévise » et « Bataclan. »
- 2002-2003 : Bruno Salomone Reloaded : joué au « Bataclan » « Olympia »
SOURCES : WIKIPEDIA et http://www.cinefil.com/star/bruno-salomone
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Dame Elizabeth Rosemond Taylor, communément appelée Liz Taylor, est une actrice britannico-américaine, née le 27 février 1932 à Londres, dans le quartier d'Hampstead, et morte le 23 mars 2011 à Los Angeles.
Elle commence sa carrière à l’âge de dix ans et rencontre aussitôt le succès en tournant dans des films tels que Fidèle Lassie, le mélodrame Le Grand National (qui lui vaut son premier triomphe personnel) réalisé par le directeur favori de Greta Garbo, Clarence Brown, Les Quatre Filles du docteur March mis en scène par Mervyn LeRoy (qui révéla Lana Turner), la comédie Le Père de la mariée de Vincente Minnelli et sa suite… Une place au soleil et Géant, les deux de George Stevens avec respectivement Montgomery Clift, James Dean et Rock Hudson, lui ouvrent, en 1956, les portes de l’immortalité.
Étoile d’Hollywood dans les années 1950 et 1960, elle reçoit deux Oscars pour ses rôles dans La Vénus au vison et Qui a peur de Virginia Woolf ?. Ses autres grands succès incluent La Chatte sur un toit brûlant, Soudain l’été dernier ainsi que Cléopâtre et La Mégère apprivoisée.
Plus rare sur grand écran à partir des années 1970 en raison de sa santé précaire (et de l’insuccès de ses films dès la fin des années 1960), Elizabeth Taylor se consacre à la lutte contre le SIDA avant même le décès de son ami Rock Hudson en 1985.
En 1999, l’American Film Institute distingue Elizabeth Taylor comme la septième plus grande actrice de tous les temps dans le classement AFI’s 100 Years… 100 Stars.
Elizabeth Taylor naît le 27 février 1932 à Hampstead, situé en Angleterre dans la banlieue cossue de Londres, avec la nationalité britannique, de parents tous deux américains et originaires de Kansas City (Missouri). Elle est la seconde enfant de l'actrice Sara Viola Warmbrodt (de son nom de scène Sara Sothern, 1895–1994) et de Francis Taylor (1897–1968), propriétaire d'une galerie d'art. Elle grandit au 8 Wildwood Road d'Hampstead Garden Suburb auprès de ses parents et de son frère aîné Howard Taylor
(né en 1929).
Ses deux prénoms, Elizabeth et Rosemond lui ont été donnés en l'honneur de sa grand-mère paternelle Elizabeth Mary (Rosemond).
Le colonel Victor Cazalet, un des meilleurs amis de la famille, a beaucoup d'influence sur cette dernière. Riche et bien introduit, membre du Parlement et proche de Winston Churchill, il est un passionné d'art et de théâtre. Il persuade les Taylor de s'établir définitivement au Royaume Uni. Adepte de Science chrétienne, ses liens avec la famille sont également d'ordre religieux. Il devient le parrain d'Elizabeth et entraîne la famille sur le chemin de sa propre obédience.
Le biographe Alexander Walker suggère qu'il « est probable que la conversion d'Elizabeth à la religion juive, et son long engagement à la cause d'Israël, a pour origine la vision sympathique qu'elle en a eu chez elle au cours de ces années formatrices. ».
Walter note que Cazalet était un propagandiste actif pour un État hébreu et sa mère a milité activement au sein de groupements caritatifs avec des collecteurs de fonds en faveur du sionisme. Elle se souvient de l'influence de Cazalet sur sa fille en ces termes: « Victor s'assit sur le lit et prit Elizabeth dans ses bras tout en lui parlant de Dieu. Ses grands yeux sombres scrutaient son visage, s'imprégnant de chaque parole, croyant et comprenant [ce qu'il lui disait] p. 14 ».
Peu avant le début de la Deuxième guerre mondiale, fuyant les hostilités, les parents d'Elizabeth décident de rentrer aux États-Unis. Sara part la première avec les enfants. Elle débarque à New York au mois d'avril 1939 .
Le père, resté momentanément à Londres pour emballer les œuvres d'art de son magasin, arrive à son tour au mois de novembre. La famille choisit de s'établir à Los Angeles, Californie, ville dont Sara est originaire et où elle possède de la famille. Francis Taylor y ouvre une galerie où il expose les peintures qu'il a rapportées du Royaume Uni. Son magasin attire rapidement de nombreuses célébrités du tout-Hollywood. D'après Walter, la galerie « ouvre grand les portes aux Taylor, leur donnant accès à la société argentée et prestigieuse » du cinéma hollywoodien. Elizabeth découvre le milieu du cinéma lorsque sa mère la présente aux studios de Hollywood.
Elizabeth bénéficie de la double nationalité. Américaine par ses parents, elle est aussi citoyenne britannique par le fait d'être née sur le sol du Royaume Uni.
Elizabeth Taylor et la religion :
Lors de sa venue à Hollywood, la jeune femme n’était pas croyante. Néanmoins, lorsqu’elle commence à fréquenter Conrad Hilton, son premier mari, elle se convertit au catholicisme.
Début 1959, elle se convertit au Temple Israël à Hollywood, au grand désespoir de ses parents, et reçoit le nom hébreu de Elisheba Rachel. Dans son autobiographie Elizabeth Takes Off, elle déclare que « ça n’a absolument rien à voir avec mon passé. Mes deux maris Mike Todd et Eddie Fisher étaient tous les deux juifs, mais j’avais voulu le devenir avant. ».
Cependant la passion qu’elle a pour cette religion diminue rapidement, et elle n’est allée qu’une fois à la synagogue, sans jamais renoncer pour autant à porter sa croix. Des années plus tard, elle commence à s’intéresser à la spiritualité, à Dieu et à la prière.
En 1998, elle participe à une session de 200 dollars US à 300 dollars US du Centre de la Kabbale].Ce mouvement spirituel repose principalement sur la lecture du Zohar, dont une version originale reliée en vingt-trois volumes est vendue par le centre. Cette pratique est fortement contestée par de nombreux rabbins qui y voient non seulement une appropriation mercantile de leur patrimoine culturel mais également une dérive sectaire. Comme Elizabeth Taylor, de nombreuses stars ont affirmé leur appartenance à ce mouvement comme Madonna, Tippi Hedren ou Demi Moore.
Mariages :
Mis à part sa longue « amitié amoureuse » avec l’acteur Montgomery Clift mais sans lendemain en raison de l’homosexualité de l’acteur, Elizabeth Taylor est mariée huit fois avec sept hommes différents :
du 6 mai 1950 au 29 juin 1951, avec Conrad Nicholson Hilton Jr. (1926-1969) dit Nicky Hilton, héritier de la chaîne des hôtels Hilton et directeur de la TWA. Leur union n'est pas heureuse et se solde par un divorce au bout de neuf mois.
du 21 février 1952 au 26 janvier 1957, avec l’acteur Michael Wilding (1912-1979) qui est son aîné de 20 ans.
du 2 février 1957 au 22 mars 1958, avec le producteur Michael Todd (1909-1958) dit Mike Todd. seule de ses unions à ne pas s’être conclue par un divorce leur idylle prend fin avec la mort du producteur.
du 12 mai 1959 au 6 mars 1964, avec le chanteur Eddie Fisher meilleur ami de Todd et consolateur de la veuve éplorée. Leur idylle alors que Fisher est encore marié à Debbie Reynolds crée un scandale dans l'Amérique puritaine de l'époque. Elizabeth le quitte lorsqu'elle entame une liaison avec Richard Burton.
du 15 mars 1964 au 26 juin 1974, avec Richard Burton (premier mariage). Richard Burton joue au théâtre à Toronto. Elizabeth et lui viennent d’obtenir leur divorce respectif du Mexique, un papier que ne voudront pas reconnaître les autorités à Toronto, qui refusent donc au célèbre couple le droit de se marier sur leur territoire.
Un avocat appelle alors le Ritz Carlton, à Montréal, où Elizabeth Taylor et Richard Burton ont décidé de venir se marier puisqu’au Québec, les lois sont moins sévères. En toute discrétion, ils se disent oui une première fois, dans le salon royal de l’hôtel Ritz Carlton, à Montréal. Minée par le fait qu'elle n'obtient aucun rôle, elle devient boulimique et prend du poids. Elle divorce au bout de dix ans de mariage.
du 10 octobre 1975 au 29 juillet 1976, avec Richard Burton (second mariage).
Seize mois après avoir divorcé, ils se remarient en privé à Kasane, Botswana mais se séparent rapidement et divorcent à nouveau en 1976. Burton est opposé à l'image qu'on se fait de sa beauté.
Il admet volontiers qu'elle a « des yeux magnifiques » mais que « [l'apellation] de plus belle femme au monde est un non sens. Elle a... un double menton, une poitrine volumineuse, est plutôt courte sur pattes ».
En 1976 il déclare que, lors de leur première rencontre, « elle était incontestablement splendide. Je n'ai pas d'autre mot pour décrire cette combinaison de plénitude, de frugalité, d'abondance, de minceur. Elle était somptueuse. Elle était d'une grande générosité. En bref, elle était superbe »
du 4 décembre 1976 au 7 novembre 1982, avec le sénateur John Warner (né en 1927) Comme pour Burton, l'actrice s'imaginait qu'être la femme d'un sénateur républicain la ferait connaître. Peine perdue. Elle est admise pour une dépression à la Betty Ford Clinic.
du 6 octobre 1991 au 31 octobre 1996, avec l’ouvrier en bâtiment Larry Fortensky qu'elle a rencontré à l'occasion d'une deuxième cure de désintoxication à la Betty Ford Clinic. Ils se marient au Ranch de Neverland, la résidence de Michael Jackson.
En 2010, un neuvième mariage avait été évoqué avec l'agent et compagnon de la comédienne depuis quelques années, Jason Winters, de presque trente ans son cadet. Elle déclare à la journaliste Liz Smith « Jason Winters est l'un des hommes les plus merveilleux que j'ai jamais connu et c'est la raison pour laquelle je l'aime. Il nous a acheté la plus belle maison d'Hawaï et nous nous y rendons le plus souvent possible ». Taylor et Winters ont été aperçus fêtant l'Independence Day sur un yacht à Santa Monica, Californie.
Lorsqu'on lui demande pourquoi elle a épousé tant d'hommes, elle répond: « Je ne sais pas, chéri. Cela chasse sûrement le démon qui est en moi » mais en fait, la réalité est toute autre: Elizabeth Taylor n'a jamais été heureuse.
Amants :
C. David Heymann, dans son livre Liz : La biographie non autorisée d’Elizabeth Taylor, dresse la liste des amants de la belle actrice, grande séductrice de l’écran dotée d’une vitalité extraordinaire (en témoigne sa résistance à ses problèmes de santé et à ses abus divers). Outre ses amitiés amoureuses avec les plus célèbres homosexuels d’Hollywood (Montgomery Clift, Rock Hudson...) et ses liaisons déjà citées avec les réalisateurs Stanley Donen et Richard Brooks et avec l’acteur George Hamilton, le biographe détaille (de façon parfois choquante) les passades de Taylor, avec les acteurs Peter Lawford, Victor Mature, et le chanteur et acteur Frank Sinatra parmi les plus connus de ses amants.
Enfants :
De ses différentes unions, Elizabeth Taylor a eu plusieurs enfants :
- avec Michael Wilding :
- avec Michael Todd :
- avec Richard Burton:
- Une fille adoptive, Maria Burton (née le 1er août 1961, adoptée en 1964). Les démarches d'adoption ont été faites à l'époque où Elizabeth Taylor était mariée à Eddie Fisher mais ont abouti lorsque l'actrice eut épousé Burton.
Elizabeth Taylor est grand-mère pour la première fois en 1971, à l'âge de 39 ans. À la fin de sa vie, elle est la grand-mère de dix-petits enfants et arrière-grand-mère de quatre.
Tous étaient présents lors de son décès.
SOURCES : WIKIPEDIA - http://fr.wikipedia.org/wiki/Elizabeth_Taylor